Graeme Allwright (original) (raw)
Sydney Graeme Allwright[1] [ɡɹeɪm ˈɔːlɹaɪt][2], né le 7 novembre 1926 à Lyall Bay (Nouvelle-Zélande) et mort le 16 février 2020 à Couilly-Pont-aux-Dames (Seine-et-Marne), est un auteur-compositeur-interprète franco-néo-zélandais.
Parmi ses chansons les plus connues, on peut citer Il faut que je m'en aille (Les Retrouvailles), texte autobiographique, La Ligne Hollworth et Le Jour de clarté, qui portent des messages non-violents et engagés pour une société plus humaine, comme également La Ballade de la désescalade. Il adapte et fait connaître dans la francophonie de nombreuses chansons de Leonard Cohen (Suzanne, L'Étranger, Demain sera bien), de Bob Dylan (Qui a tué Davy Moore ?), de Woody Guthrie (Le Trimardeur), de Pete Seeger (Jusqu'à la ceinture) ou de Tom Paxton (Sacrée bouteille) et des chansons du répertoire américain, telles Emmène-moi, Comme un vrai gamin, J'm'envolerai ou Petit Garçon (Old Toy Trains).
Graeme Allwright naît le 7 novembre 1926 à Lyall Bay (Nouvelle-Zélande), où il passe toute son enfance avec sa famille. Son père est chef de gare, ses parents chantent pour la paroisse. Adolescent, il est passionné de théâtre. Ayant obtenu une bourse pour intégrer la compagnie du théâtre Old Vic de Londres, il décide de quitter sa famille pour s'installer à Londres et y apprendre le théâtre. Désargenté, il fait la traversée en s’engageant comme mousse sur un bateau[3] pour se payer le voyage. À Londres, il fait la rencontre de la comédienne Catherine Dasté[4], issue d'une famille du théâtre, puisqu'elle est la petite-fille de Jacques Copeau (fondateur du théâtre du Vieux-Colombier) et la fille de Jean Dasté (directeur de la Comédie de Saint-Étienne) et de Marie-Hélène Dasté[5].
En 1948, amoureux de Catherine Dasté, il s'installe en France et l'épouse en 1951 à Pernand-Vergelesses (Côte-d'Or), le village de Jacques Copeau. Ils ont trois fils, Nicolas (né en 1952), Christophe (né en 1955) et Jacques (né en 1958)[6]. Graeme Allwright exerce alors de très nombreux métiers dans la troupe de Jean Dasté (fondateur de ce qui deviendra la Comédie de Saint-Étienne), de la scène à la régie, en particulier dans des spectacles itinérants de village en village. En 1952, aux côtés de Jean-Louis Trintignant, Graeme Allwright interprète le rôle de Seyton dans la tragédie de Shakespeare Macbeth[3],[7]. En 1956, il joue Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais, au festival d'Avignon dans la troupe de Jean Vilar, fondateur du festival[8]. Il devient ensuite apiculteur, animateur pour enfants à l’hôpital, moniteur en hôpital psychiatrique[9], professeur d'anglais[3] (il a notamment comme élève le chanteur Philippe Lavil[10]) et de théâtre à l'école secondaire de la Roseraie à Dieulefit (Drôme).
Graeme Allwright en 1965. Photo d'identité (Sacem).
La mairie du village de Pernand-Vergelesses.
Encouragé par Jacques Gandebeuf, un journaliste de la presse stéphanoise grand amateur de musique folk et de blues et qui reste jusqu'au bout son plus fidèle ami, il redécouvre la guitare, qu'il avait délaissée pour le théâtre, et multiplie de petits concerts improvisés dans la région avant de se rendre à Paris au début des années 1960. Il chante dans des cabarets (notamment à La Contrescarpe, où il chante « sept soirs sur sept pour des clopinettes »). Les conditions sont dures. Il rode souvent ses chansons chez des amis peintres ou sculpteurs à La Ruche, à Montparnasse. Il est alors accompagné par le guitariste stéphanois Genny Detto[3], qui le suit. Au Centre américain du boulevard Raspail, sous l'égide de Lionel Rocheman, il retrouve bientôt deux musiciens de folk traditionnel, Steve Waring et Roger Mason. Son talent séduit Colette Magny, qui le présente au chanteur Marcel Mouloudji. Ce dernier le pousse à enregistrer son premier disque, Le Trimardeur, produit par Mouloudji en 1965 alors que Graeme Allwright est âgé de 39 ans[11]. S'ensuit un premier contrat avec Philips, et ses deux albums de 1966 et de 1968, aux tonalités de protest-song (chants de révolte), le projettent au premier plan parmi la jeunesse de cette période marquée par les idéaux d'émancipation de la contre-culture et de Mai 68.
Assez rapidement, le succès l'effraie et il préfère s'éloigner de l'industrie du spectacle[12]. Refusant la relation artiste-admirateur classique malgré son succès dans les années 1970, il mène une carrière en marge des médias. Sa participation à la lutte du Larzac et contre les essais nucléaires français lui vaut d'être censuré[13] (il s'adresse directement à Valéry Giscard d'Estaing à ce sujet dans sa chanson Pacific blues)[3]. « Dépassé » par son succès, craignant sous la pression du « show-bizz » de perdre de sa liberté, déstabilisé psychologiquement (il est d'abord patient à la clinique psychiatrique de la Chesnaie avant d'en devenir animateur[14]), il préfère multiplier les séjours à l’étranger (en Éthiopie notamment), au retour desquels il enregistre des albums. Il fait de nombreux séjours en Inde, participe dans les années 1970 à l'aventure de la cité utopique d'Auroville, initiée par La Mère, compagne de Sri Aurobindo, en travaillant au reboisement de cette zone alors désertifiée.
En 1970, après les deux disques qui ont fait son succès, il produit deux albums en anglais, A Long Distant Present From Thee… Becoming et Recollections, qui sont peu connus (et non réédités en format numérique). Le premier de ces disques, qui met en musique des textes de William Shakespeare et développe un genre folk psychédélique, tranche avec la période précédente de Graeme Allwright, tandis que l'autre album contient certaines de ses propres chansons mais interprétées en anglais.
En 1975, il découvre l'île de La Réunion, où il vit pendant un an et demi (l’album Questions lui est en grande partie consacré)[15]. Il y fait la rencontre d'excellents artistes malgaches, dont Erick Manana et Dina Rakotomanga, qui dès lors l’accompagnent très souvent lors de ses tournées en France. Il divorce de Catherine Dasté dont il est déjà séparé et se marie avec Claire Bataille[16], son agent artistique. Ils ont une fille, Jeanne, née en 1975[15],[17]. Durant le mois d'avril 1978, il participe à la 2e édition du festival du Printemps de Bourges[18].
Durant les années 1980, il produit plusieurs albums où l'on retrouve une association de titres à consonance folk et d'interprétations de textes d'amis poètes ou penseurs dont Maurice Cocagnac et Luis Porquet. En 1980, il monte sur scène à la 5e édition du festival du Printemps de Bourges et chante avec Maxime Le Forestier au Palais des sports[19],[20]. Les bénéfices des concerts et du double album sont entièrement reversés à l'association Partage pour les enfants du tiers monde, fondée par Pierre Marchand, et que Graeme Allwright a soutenue à ses débuts. Pour sa 7e édition en 1983, il chante au festival du Printemps de Bourges[21],[15]. En 1984, Graeme Allwright interprète des adaptations en anglais de chansons de Georges Brassens adaptées par Andrew Kelly.
Plusieurs de ses chansons deviennent des classiques familiers de la chanson française : Les Retrouvailles (Il faut que je m'en aille), Petit Garçon (adaptation en français de la chanson Old Toy Trains de Roger Miller), Jolie Bouteille, Jusqu'à la ceinture , etc. Ses classiques sont connus de plusieurs générations en France, même si le nom de leur auteur est souvent ignoré[22].
Graeme Allwright en concert à Peuton, commune de 203 habitants en Mayenne, en plein champ, années 2000.
Dans les années 2000, il ajoute le jazz, passion de son adolescence, à son répertoire (album Tant de joies avec le Glenn Ferris quartet)[23]. Puis il reprend inlassablement la scène, accompagné le plus souvent de ses amis musiciens malgaches Erik Manana et Dina Rakatomanga[22], offrant toujours régulièrement « dans les p’tits patelins » de chaleureux concerts, au cours desquels, en toute simplicité et dans une intense empathie, il communique sa quête « d'une étoile qu'il n'a jamais vraiment nommée ».
En 2005, il retourne sur la terre de son enfance en effectuant une tournée en Nouvelle-Zélande, son pays d'origine, où il était totalement inconnu (le film Pacific Blues réalisé en 2009 par Chantal Perrin et Arnaud Delplagne retrace ce voyage, et pour une des premières fois, l'artiste s'y livre sur sa vie et son œuvre).
En janvier 2010, l’Académie Charles-Cros lui décerne un « grand prix in honorem » pour l’ensemble de sa carrière[22], et un « coup de cœur » pour son album Des inédits… Pour le plaisir. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. En 2014, son adaptation française de la chanson Petit garçon (Old Toy Trains, de Roger Miller) devient l'hymne du Téléthon. Alors qu'il avait déclaré vouloir continuer à chanter pour apporter du bonheur tant que sa santé le lui permettrait, il annonce dans ses concerts de 2015, à l'âge de 89 ans, arrêter la scène. En 2017, il cosigne avec l'artiste Yanne Matis la chanson Leonard, en hommage à son « double », Leonard Cohen, mort l'année précédente.
Graeme Allwright meurt dans son sommeil à l’âge de 93 ans, le 16 février 2020 à la maison de retraite des artistes de Couilly-Pont-aux-Dames, où il était entré un an auparavant[24],[25]. Il est enterré à Pernand-Vergelesses[26].
Graeme Allwright en 2012.
Graeme Allwright est, avec Hugues Aufray dans les années 1960, parmi les premiers introducteurs en France du folk américain, mais dans sa veine protest-song. Il se revendique chanteur, il écrit assez peu, préférant « [se] glisser dans les mots d'un autre » quand il ressent que le message est commun. Il s'inscrit dans la lignée de Woody Guthrie et de Pete Seeger. Il adapte de nombreux textes de Woody Guthrie, parmi lesquels sa première chanson Le Trimardeur (Hard Travelin’), que suivent Le Clochard américain, La Femme du mineur, La Mouche bleue, etc. Il adapte également Tom Paxton (Sacrée bouteille), Pete Seeger (Jusqu'à la ceinture), Malvina Reynolds (Petites boîtes). Il adapte également plusieurs chansons de Bob Dylan : Qui a tué Davy Moore ? (1966), Blowin' in the wind (1973) (Soufflé par le vent[a]), L'homme donna des noms aux animaux (1992), Ring them bells ou Sonne les cloches. Ses mots simples et son accent charmeur donnent à ses textes une proximité immédiate et une force empathique singulière.
Il contribue également largement, par ses adaptations très fidèles[27], à faire découvrir Leonard Cohen au public francophone. Dès le premier album de Leonard Cohen, Graeme Allwright se sent très proche de l'univers de celui-ci. Leonard Cohen explique de son côté que les adaptations de Graeme Allwright l'aident à accepter ses propres chansons. Les deux chanteurs sont amis, et au moment de leur sortie, Leonard Cohen donne ses nouvelles chansons à Graeme Allwright, afin que celui-ci en fasse une adaptation en français (en général, Graeme Allwright adapte deux chansons de Leonard Cohen par album). Graeme Allwright adapte ainsi en français : Suzanne (1968), L'Étranger (1968), Jeanne d'Arc (1972), Les Sœurs de la miséricorde (1972), Demain sera bien (1973), L'Homme de l'an passé (1973), Diamants dans la mine (1973), Vagabonde (1973), Avalanche (1973), De passage (1975), Lover, Lover, Lover (1975), Je voulais te quitter (1975), So Long, Marianne (1979), Danse-moi vers la fin de l'amour (1985), Si c'est ta volonté (1985), Tout le monde le sait (2008), Hallelujah (adaptation terminée par Sylvie Die, chantée sur scène mais jamais enregistrée par Graeme Allwright, interprétée par son petit-fils Adrien, sur l'album posthume Les retrouvailles).
Les propres textes de Graeme Allwright portent également des messages profonds (Les Retrouvailles (Il faut que je m'en aille), Johnny, Joue joue joue, etc.). Politiquement engagé pour la non-violence, contre les essais nucléaires, contre la société de consommation, il écrit ou adapte de nombreux textes de protest-song (le Jour de clarté, la Ligne Holworth, Jusqu'à la ceinture, etc.)
Graeme Allwright fait de sa chanson un art de vivre, une philosophie, et un partage. Ses textes où l'émotion, la dénonciation moqueuse du conformisme ou des injustices et les appels à la liberté se conjuguent à des mélodies country, folk ou blues, remportent l’adhésion d'un public de tout âge.
Graeme Allwright milite contre l'injustice sociale et la mainmise des « grands » sur les faibles. Son œuvre et sa pensée sont fortement imprégnées de la philosophie du penseur indien Sri Aurobindo (la chanson Lumière est un exemple de cette influence): Graeme Allwright prône ainsi un changement du monde par un travail de conscience de chacun, plus que par un mouvement révolutionnaire[28]. Il pense que ce monde-ci, matérialiste, doit aller à son terme, parallèlement à des mutations évolutives de la conscience humaine, avant qu'un grand changement ne survienne.
Graeme Allwright chante également de nombreux textes du dominicain Maurice Cocagnac, ami de Jean Dasté, porteurs et de l'ouverture de Vatican 2 dans l'église catholique d'alors, et d'influences spirituelles orientales.
En 2005, la loi Fillon impose l'apprentissage des paroles de La Marseillaise dans toutes les écoles de France. En apprenant cela, et jugeant les paroles de la Marseillaise «belliqueuses» et «racistes», Graeme Allwright est «choqué» que l'on puisse enseigner ces « paroles épouvantables » à de jeunes enfants à l'école.
Il propose alors de nouvelles paroles pour l'hymne national français, et en enregistre une version en compagnie de Sylvie Dien[29].
Il milite depuis lors pour que les paroles de La Marseillaise soient changées. Ainsi au début de chacun de ses concerts, où plusieurs générations se retrouvent avec enthousiasme, il propose au public d'entonner cet hymne connu de tous, mais avec des paroles nouvelles comprenant un message d'amour et de paix, ajoutant[30]:
« Je crois que cela sera un grand jour pour la France quand on décidera de changer ces paroles. »
- 1956 : Aujourd'hui ou Les Coréens, de Michel Vinaver, mise en scène Roger Planchon, théâtre de la Comédie de Lyon[31] ;
- 1957 : Les Coréens, de Michel Vinaver, mise en scène Jean-Marie Serreau, théâtre de l'Alliance française[32] ;
- 1960 : Les Coréens, de Michel Vinaver, mise en scène Gabriel Monnet, Aix-en-Provence[réf. nécessaire] ;
- 1960 : Monsieur Bonhomme et les Incendiaires, de Max Frisch (version française de Philippe Pilliod), mise en scène de Graeme Allwright et Jean-Marie Lancelot, Comédie de Saint-Étienne[33].
- En 1966, il interprète la chanson Akou, du générique final du film Ne nous fâchons pas, de Georges Lautner ;
- En 1967 et 1976, il contribue à la bande originale des films L'Or des pistoleros, de William A. Graham, et Le Petit Marcel, de Jacques Fansten ;
- En 1973, il participe au Concert pour les orphelins du Vietnam, durant lequel il interprète deux chansons : La Plage et l'inédit Hymne à Himalaya ;
- Le 25 février 1978, il participe à deux concerts de reprises de chansons de Woody Guthrie, sur l'initiative de Jacques Vassal, de Jean-François Millier et de la maison de la culture du Havre, en compagnie d'autres artistes tels Roger Mason, Marc Robine ou Steve Waring. Un double album en public Hommage à Woody Guthrie enregistré à cette occasion sort en 1978 (réf. Le Chant du Monde LDX 74684/74685). Graeme Allwright y interprète deux chansons : This train is bound for glory et Roll on, Columbia.
- En 1995, il incarne le rôle de Paddy, le gardien de phare, dans le conte musical Le Petit Arthur, de l'auteur-compositeur Alan Simon. Il y interprète la chanson La Berceuse ;
- En 2002, il chante On peut bien, avec Indigo et Philippe Roussel, sur le CD Les Voisins de ce dernier.
Le Trimardeur
Le Joueur
La Mouche bleue
Well Met
Le Clochard américain
La Mort du cow-boy
L'As de pique
La Femme du mineur
Billy Boy
Venezuela
La Chauve-souris
Le Fils du roulier
Joue, joue, joue
Johnny
Emmène-moi
Henrik
La mer est immense
Qui a tué Davy Moore ?
La Plage
Ça je ne l'ai jamais vu
Deux jeunes frères
Dommage
Jusqu'à la ceinture
Suzanne (traduction française de la chanson en anglais de Leonard Cohen)
Le Jour de clarté
Viendras-tu avec moi ?
Je perds ou bien je gagne
Ne laisse pas partir ta chance
Garde le souvenir
Sacrée bouteille
Qu'as-tu appris à l'école ?
La Ligne Holworth
L'Étranger (traduction française de la chanson en anglais de Leonard Cohen)
The Pen
On the Words That Tumble in a Jumble
Give Me a Coffee Hot
My Cells Are Changing
To Thy Own Self Be True
You Who Are Going Too Fast
With Martine on the Rocks
Virginia
Sitting in my Room
The Right Kind of Place
The Beach
Take Me Home
Play Play Play
Don't Forget It
My Flocks Feed Not
Jeanne d'Arc
Les Sœurs de la miséricorde
Ballade de la désescalade
La Petite Souris
How Can I Possibly Sing to You
Le monde se prépare à un grand changement
Demain sera bien
L'Homme de l'an passé
Suzanne
L'Étranger
Diamants dans la mine
Vagabonde
Les Sœurs de la miséricorde
Jeanne d'Arc
Avalanche
Disque 1, face A
- How Can I Possibly Sing to You
- Pacific Blues
- Ballade de la désescalade
- Blowin' the Wind[b]
Disque 1, face B
- Jeanne d'Arc
- La Ligne Holworth
- L'Homme de l'an passé
- Jolie bouteille, sacrée bouteille
Disque 2, face A
- Qui a tué Davy Moore ?
- Vagabonde
- This Train (Is Bound for Glory)
- Petites boîtes
- L'Étranger
Disque 2, face B
Emmène-moi
Suzanne
Jusqu'à la ceinture
Il faut que je m'en aille
De passage...
Jageshwar
Lover, Lover, Lover
For Mother
Prison Song
Let It Be
Je voulais te quitter
Thank You
Tomorrow and Tomorrow and Tomorrow
Last Night I Had the Strangest Dream
Larzac 75
La Ronde des joyeux prisonniers
Message
Dans la fumée de mon cigare
Identity
Comment faire pour te chanter
Mache média
La Rivière Taniers
Questions…
La Réunion
Bonne chance
Disque 1 :
- Comment faire pour te chanter
- Love Song
- Lover Lover Lover
- La Plage
- Johnny
- Message
- I'm Going Down
- Viendras-tu avec moi ?
- Thank You
- P'tite fleur fanée
Disque 2 :
- La Rivière Taniers
- You and Me
- Prison Song
- Questions
- De passage
- So Long Marianne
- Identity
- La Petite Souris
- Jolie bouteille, sacrée bouteille
- Demain sera bien
- Petit garçon
- Enregistrement public à l'Olympia en juin 1978.
- Condamnés…
- Chasseur de qui ?
- Le Poète solitaire
- La Berceuse du clochard
- Géronimo
- Au cœur de l'arbre
- On a Very Special Birthday
- Humpty Dumpty
- Le Passage du fleuve
- Le Sommet
- La Chanson de l'adieu
Disque 1, face 1
- Suzanne
- Mentir
- Humpty Dumpty
- À l'ombre du cœur de ma mie
- Chasseur de qui ?
- Qu'as-tu appris à l'école ?
Disque 1, face 2
- En Amérique sur Seine
- Antipodes
- Star of Love
- All My Life (par Catherine Le Forestier)
- On a voulu (par Catherine Le Forestier)
- Je suis de là-bas ba ba (par Catherine Le Forestier)
Disque 2, face 1
- When I Go
- Partage
- Les Petits Morts
- La Berceuse du clochard
- L'Amour obligatoire
Disque 2, face 2
Rio
Hymne à sept temps
Jolie bouteille, sacrée bouteille
San Francisco
Emmène-moi
Moi j'y vais pas
Les Impatients
The Last Death
Les Ouvriers de la carrière
L'Ombre
Automne
Mon frère est mort
Tant de joies
Les Trous noirs
Pour avoir confié au nuage
Chanson pour un peuple perdu
Pourquoi pas ?
Buddies First of All (Les Copains d'abord)
The Daisy (La Marguerite)
A Sinner Repents (Le Mauvais Sujet repenti)
The Passers-by (Les Passantes)
Nine-and-a-Half Times (Quatre-vingt-quinze pour cent)
The School Mistress (La Maîtresse d'école)
Saturn (Saturne)
My Lovely Flower She's as Hard as Iron (Une jolie fleur)
Friends Like Evergreens (Au bois de mon cœur)
The Thunderstorm (L'Orage)
To Anne, September Fifteenth (Le Vingt-deux septembre)
Die for What You Believe in (Mourir pour des idées)
Danse-moi vers la fin de l'amour
Si c'est ta volonté
Comme un vrai gamin
L'homme donna des noms aux animaux
Lumière
La Petite Route
No man's land
La Gomme
Petite fille
Star of Love
Le Sens des affaires
Day
Mangina zaza
Le Bagne
Le Vagabond
Oh, si tu savais
No Man's Land
Arthur
Cailloux bambous
Danse-moi
La Petite Route
Le P'tit Rouge du père blanc
L'Hosto Saint-Jacques
Le Sens des affaires
Natural Mystique
L'homme donna des noms aux animaux
Sonne les cloches
Le matou revient
La Plage
Album enregistré à Paris en mars 1993, au Passage du Nord-Ouest.
Au cœur de l'arbre
J'm'envolerai
Tu n'es plus là cet automne
Demain sera bien
Lumières
Petites Boîtes
La mer est immense
Emmène-moi
L'Étranger
La Petite Route
L'homme donna des noms aux animaux
Danse-moi vers la fin de l'amour
La Gomme
Petit garçon
Il faut que je m'en aille
La Chanson de l'adieu
Tant de joies
Third World Blues
Pour avoir confié aux nuages
Pourquoi pas
Abouelita
I've Seen the Seas Unsettled
Transformation Blues
Magie pour un nouveau monde
Stepping Stones
Nirvana
Sun Song
Love Is a Circle
Moon of Two Hemispheres
Trance
Flamewind
Pall of Black Night
In Horis Aeternum
Dream Boat
Divine Hearing
Lost Boat
The River
Journey's End
CD Des inédits… Pour le plaisir :
- Le Contrebandier (Maurice Cocagnac / Graeme Allwright)
- Tout le monde le sait « Everybody Knows » (Leonard Cohen / adaptation Graeme Allwright)
- Soufflé par le vent « Blowin' in the Wind » (Bob Dylan / adaptation Graeme Allwright)
- Océane (Patrick germain / Graeme Allwright)
- Laura (David Raksin / Johnny Mercer / adaptation Graeme Allwright)
- Rencontre d'un drôle de type (Maurice Cocagnac / Graeme Allwright)
- Méditation (Antônio Carlos Jobim / adaptation Rémy Hourcade)
- O Amor em Paz (Antônio Carlos Jobim / Ray Gilbert / adaptation Rémy Hourcade)
- Wave (Antônio Carlos Jobim / adaptation Rémy Hourcade)
- Corcovado (Antônio Carlos Jobim / adaptation Graeme Allwright)
- Desafinado (Antônio Carlos Jobim / Jon Hendricks & Jessie Cavanaugh)
- It Might as Well Be Spring (Richard Rodgers / Oscar Hammerstein II)
- Petit garçon (titre bonus enregistré à l'Olympia en 2001. Version chantée par Alice, la petite-fille de Graeme Allwright)
- Océane (bis. Version accordéon)
DVD Un soir de concert (enregistré les 21 et 22 septembre 2007 dans la salle du Chat Huant à Sadirac) :
- La Marseillaise (Graeme Allwright - Sylvie Dien)
- De passage « Passing Through » (Dick Blakeslee arr. Leonard Cohen / adaptation Graeme Allwright)
- Ne laisse pas partir ta chance (Graeme Allwright)
- Lumière (d'après Shri Aurobindo / adaptation Graeme Allwright)
- P'tite fleur fanée (Georges Fourcade / Jules Fossy / adaptation Graeme Allwright)
- Rêve d'automne (Jean-Luc Morel / Jean-Marc Lobjeois)
- Demain sera bien « Tonight Will Be Fine » (Leonard Cohen / adaptation Graeme Allwright)
- L'Étranger (Vahiny) « Stranger Song » (Leonard Cohen / adaptation Graeme Allwright & Erick Manana)
- Petites boîtes « Little Boxes » (Malvina Reynolds / adaptation Graeme Allwright)
- Comme un vrai gamin « On the Road Again » (Willie Nelson / adaptation de Graeme Allwright & Steve Waring)
- Emmène-moi « Take Me Home » (Jack Clement - Allen Reynolds / adaptation Graeme Allwright)
- J'm'envolerai « I'll Fly Away » (Albert E. Brumley / adaptation Graeme Allwright & Steve Waring)
- Les Retrouvailles (Il faut que je m'en aille) (Graeme Allwright)
- La Ligne Holworth (Graeme Allwright - John Napper / Graeme Allwright)
Accompagné d'un deuxième album interprété par Christophe, Alice et Adrien Allwright
- Léonard (avec Yanne Matis)
- Comme un oiseau (avec Yanne Matis)
- I never knew (avec Christophe et Alice Allwright)
- Les impatients
- Rêve d automne
- Les chevaux de lumière
- Tout le monde le sait
- Tant de joie
- Marée montante
- One day
- It had to be you
- Fly me to the moon
- Try
- Les retrouvailles
- Akou (générique de fin du film Ne nous fâchons pas, 1966) ;
- Au cœur de l'arbre (paroles de Maurice Cocagnac) ;
- Automne ;
- Avalanche (Leonard Cohen) ;
- Ballade de la désescalade ;
- Billy Boy ;
- Bonne chance ;
- Ça je ne l’ai jamais vu (proche de Seven Drunken Nights) ;
- Chanson pour un peuple perdu ;
- Chasseur de qui ? ;
- Comme un vrai gamin (On the road again, Willie Nelson) ;
- Comment faire pour te chanter ? ;
- Condamnés ;
- Dans la fumée de mon cigare ;
- Danse-moi vers la fin de l’amour (Dance Me to The End of Love, Leonard Cohen) ;
- De passage (Leonard Cohen) ;
- Demain sera bien (Tonight Will Be Fine, Leonard Cohen) ;
- Deux jeunes frères ;
- Diamants dans la mine (Diamonds in The Mine, Leonard Cohen) ;
- Dommage ;
- Emmène-moi (Take Me Home, Johnny Cash) ;
- Garde le souvenir ;
- Henrik ;
- Identity (chanson de Youenn Gwernig) ;
- Il faut que je m'en aille (Les Retrouvailles) ;
- J'm'envolerai (I'll fly away, composé par Albert E. Brumley en 1929, devenu un gospel traditionnel américain, repris notamment par Willie Nelson) ;
- Je perds ou bien je gagne (Blues Run The Game, Jackson C. Frank) ;
- Je veux quitter ce monde, heureux, Maxime Le Forestier ;
- Je voulais te quitter (I tried to leave you, Leonard Cohen) ;
- Jeanne d’Arc (Leonard Cohen) ;
- Johnny ;
- Joue, joue, joue ;
- Jusqu'à la ceinture (Waist Deep in the Big Muddy, Pete Seeger) ;
- L’Étranger (The Stranger Song, Leonard Cohen) ;
- L'Homme de l'an passé (Last year's man, Leonard Cohen) ;
- L'homme donna des noms aux animaux (Man Gave Names to All the Animals, Bob Dylan) ;
- La Berceuse du clochard ;
- La Chanson de l'adieu (paroles de Luis Porquet, musique de Graeme Allwright, 1979 ; reprise par Nana Mouskouri, 1994) ;
- La Femme du mineur ;
- La Gomme ;
- La Ligne Holworth ;
- La Marseillaise (nouvelles paroles pour l'hymne national français) ;
- La Mer est immense (The water is wide (en), traditionnel écossais) ;
- La Petite route ;
- La Petite souris ;
- La Plage ;
- La Mort du cow-boy (Bury Me Not on the Lone Prairie, traditionnel américain)
- Leonard (avec Yanne Matis) ;
- Le Jour de clarté (Very Last Day, Peter, Paul & Mary) ;
- Le Trimardeur (Hard Travelin’, Woody Guthrie)
- Les Sœurs de la miséricorde (The Sisters of Mercy, Leonard Cohen) ;
- Lover, Lover, Lover (Leonard Cohen) ;
- Lumière ;
- Michael ;
- Ne laisse pas passer ta chance ;
- Océane ;
- Petit Garçon (Old Toy Trains, Roger Miller) ;
- Petites boîtes (Little Boxes, Malvina Reynolds) ;
- Qu’as-tu appris à l’école ? (What Did You Learn in School Today?, Tom Paxton) ;
- Qui a tué Davy Moore ? (Who Killed Davey Moore?, Bob Dylan) ;
- Sacrée bouteille (Bottle of Wine, Tom Paxton) ;
- Si c'est ta volonté (If it be your will, Leonard Cohen) ;
- Suzanne (adaptation en français de la chanson de Leonard Cohen) ;
- Tant de joies ;
- Tu n'es plus là cet automne (paroles de Jean-Louis Morel, musique de Graeme Allwright et Solorazaf) ;
- Tout le monde le sait (Everybody Knows, Leonard Cohen) ;
- Vagabonde (Winter Lady, Leonard Cohen) ;
- Viendras-tu avec moi ?
↑ Les deux morceaux sont enregistrés live (sur les albums À l’Olympia et Des Inédits… pour le plaisir) et, pour le premier, la pochette du disque indique ‘’Blowin’ the Wind’’ d'après http://www.encyclopedisque.fr/disque/58354.html. Il n’en existe pas de version studio.
↑ Le titre de la chanson est écrit ainsi sur la pochette http://www.encyclopedisque.fr/disque/58354.html
↑ INSEE, fichiers des personnes décédées.
↑ Prononciation en anglais néo-zélandais retranscrite selon la norme API.
↑ a b c d et e Une biographie de Graeme Allwright, publié le 6 juin 2018 par Bernard Gensane, sur les blogs.mediapart.fr (consulté le 17 février 2020).
↑ Entretien avec Catherine Dasté : Mes souvenirs de l'École du Old Vic, propos recueillis par Sonia Pavlik durant l'été 2008, publié sur le site OpenEdition Journals (consulté le 18 février 2020).
↑ « Mes souvenirs de l'École du Old Vic », publié par Catherine Dasté, sur le site michelsaintdenis.net (consulté le 18 février 2020).
↑ Graeme Allwright par lui-même, par Jacques Vassal.
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↑ « Côté Jardin - Informations et légendes », sur Maison Jean Vilar - Un lieu de mémoire,…, 12 mai 2021 (consulté le 18 avril 2023).
↑ À la clinique de la Chesnaie, à Chailles, où il avait été un temps patient, pour ensuite devenir… animateur, à la demande du docteur Claude Jeangirard : Quand il marchait pieds nus à Périgny Mort du chanteur folk Graeme Allwright, qui a longtemps vécu à Niort
↑ Fabien Lecoeuvre, 1001 histoires secrètes de chansons (Dictionnaire), Monaco, Éditions du Rocher, 2017, 608 p., 24 cm (ISBN 978-2-268-09848-7 et 2-268-09848-6, OCLC 1088604704, BNF 45397948, présentation en ligne, lire en ligne), p. 258.
↑ « Ça va jazzer - Graeme Allwright et Colette Magny, les Magnifiques - Libération.fr », Liberation.fr, 1er juillet 2018 (lire en ligne, consulté le 17 février 2020).
↑ « Le chanteur folk Graeme Allwright est mort », Le Monde, 16 février 2020 (ISSN 1950-6244, consulté le 17 février 2020).
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↑ Édition 1983, publié sur le site edition2012.printemps-bourges.com (consulté le 18 février 2020).
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↑ Le chanteur folk Graeme Allwright sera enterré à Pernand-Vergelesses
↑ De la difficulté à traduire, adapter en français Leonard Cohen Extrait de l'émission 'À voix nue', France Culture, par Victor Massé Lépinay.
↑ « 10 Poems by Sri Aurobindo » (version du 1er juillet 2014 sur Internet Archive) (consulté le 17 février 2020).
↑ Diffusée sur le site de son association : : La Marseillaise de Graeme Allwright et de Sylvie Dien [Site officiel] (consulté le 17 février 2020).
↑ [vidéo] « Graeme Allwright - Nouvelle Marseillaise », sur YouTube, publié le 16 juin 2008 (consulté le 18 février 2020).
↑ Jean-Marie Serreau par Michel Vinaver, publié le 8 février 2013 sur le site theatre-ouvert-archives.com (consulté le 17 février 2020).
↑ Les coréens sur data.bnf.fr, représentation au théâtre de l'Alliance française du 18 janvier 1957 (consulté le 17 février 2020).
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↑ Musikéla, publié sur le site Discogs (consulté le 16 février 2020).
- Jacques Vassal, Graeme Allwright par lui-même, Paris, Le Cherche midi, coll. « Autoportraits imprévus », 2018, 288 p. (ISBN 978-2-7491-5272-1, lire en ligne). .
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