Oissel (original) (raw)

Oissel
Oissel Le manoir de la Chapelle, Logo monument historique Classé MH (1946) pour son puits monumental.
Blason de OisselBlason Oissel
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire Mandat Stéphane Barré 2020-2026
Code postal 76350
Code commune 76484
Démographie
Gentilé Osseliens
Population municipale 12 367 hab. (2021 en évolution de +8,91 % par rapport à 2015)
Densité 557 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 41″ nord, 1° 05′ 52″ est
Altitude Min. 2 mMax. 128 m
Superficie 22,19 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Rouen (banlieue)
Aire d'attraction Rouen (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-du-Rouvray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-oissel.fr
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Oissel est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La commune est située à 10 km au sud de Rouen, dans le centre de la Métropole Rouen Normandie, en bordure de la Seine.

Oissel est desservie par les bus du réseau Astuce.

La ligne F3 relie Oissel au centre-ville de Sotteville-lès-Rouen en 45 minutes environ avec un bus toutes les dix minutes en moyenne. Cette ligne est placée en correspondance avec la ligne de métro à Hôtel-de-Ville de Sotteville en direction de Rouen.

La ligne F relie le pôle multimodal d'Oissel jusqu'à la Z.I. l'Oison de la ville de Saint-Pierre-lès-Elbeuf, en 45 minutes environ avec une fréquence d'un bus toutes les 20 minutes. Elle passe par le centre commercial de Tourville-la-Rivière.

La ligne I relie l'école de police d'Oissel jusqu'au Centre commercial de Tourville avec un bus toute les 1 heure.

Oissel dispose d'une gare TER du réseau TER Normandie placée en correspondance des lignes de bus F3, F et I . Cette gare est située sur les lignes Paris - Le Havre et Yvetot - Saint-Aubin-lès-Elbeuf et propose des allers-retours à une fréquence élevée entre Rouen et Oissel.

La commune est bordée par la Seine qui, au fil du temps, y a constitué plusieurs îles.

L'île Mayeux et l'île aux Bœufs sont partagées entre la commune et Tourville-la-Rivière ; elles sont classées en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[1].

Il en est de même pour les îles Durand et Sainte-Catherine[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au 1er janvier 2024, Oissel est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,9 %), zones urbanisées (14,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,9 %), prairies (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), eaux continentales[Note 4] (4,4 %), terres arables (2,4 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Oscellus au IXe siècle (Miracula Germani), Oscellum en 996 - 1026, Oizsel entre 1055 et 1066[16],[17].

Le nom du lieu appartient à toute une série bien connue de toponymes, tels qu'Oisseau, Ussel, Usseau, etc. qui sont issus du gaulois uxsello-[18] signifiant « haut » (cf. irlandais uasal, gallois uchel et breton uhel), ou encore « élevé » et qui sert de qualificatif à une divinité païenne dans des inscriptions celto-latines :

Deo Marti Ocello (Carlisle, Angleterre)

Deo Uxello (Bibl. Nat. Bronze)

Ocello Vellauno (Evans)

Jovi optimo maximo uxellimo (Allemagne)[17]

Ça semble bien être le cas ici, puisqu’Oissel ne se trouve pas sur un lieu élevé mais dans la vallée de la Seine[17]. Peut-être un culte à sainte Catherine a-t-il remplacé un culte à une divinité païenne initiale au moment de la christianisation selon un processus bien connu par ailleurs ? En tout cas, dès le Moyen Âge, il est fait référence à une île d'Oissel dénommée Sainte-Catherine.

C'est de cet endroit que les Vikings seraient partis pour lancer leurs raids dans la vallée de la Seine. Apparemment, ils vont eux-mêmes rebaptiser l'île d'Oissel en Thorholmr « île de Thor » qu'on retrouve par exemple dans un titre de Robert le Magnifique en 1030 sous la forme latinisée Torhulmus, mais contrairement à celui de l'île de Korholmr (Petit et Grand-Couronne), son nom norrois va disparaitre, remplacé définitivement par Sainte-Catherine.

Il n'est pas certain que le nom de Thor (Þórr) fasse référence au dieu, en effet l'île d'Oissel est située juste en face de Tourville-la-Rivière (Tor villam 996 - 1026) qui s'explique bien plutôt par un nom de personnage Þórr (Thor), fréquemment attesté comme anthroponyme dans l'onomastique norroise. Ce genre de relation entre deux lieux contigus se retrouve à plusieurs reprises dans la toponymie normande.

Situé en bord de Seine, au pied d'un plateau couvert de forêt riche en gibier, le site d'Oissel est occupé dès la préhistoire. Gaulois et Gallo-romains y ont laissé des voies de communication et un temple, au lieu-dit la Mare-du-Puits.

Des sarcophages mérovingiens furent également mis au jour.

Les Vikings y créèrent une forteresse qu'ils utilisèrent comme base pour leurs raids vers Rouen et Paris. En automne 858, elle est assiégée par les troupes du roi Charles II le Chauve.

Les seigneurs et personnages ayant possédé des propriétés ou ayant résidé (1120 - 1793)

Année (vers) Prénom Nom Titres Commentaires
1120 Roland (ou Rolland) d'Oissel seigneur d'Aurelandois (ce fief est le fief Herlandois, plus tard nommé le fief Faucon, du nom de son propriétaire, sis en la paroisse d'Oissel (arr. de Rouen). Ce nom de "Au relandoia" vient, sans aucun doute, de Roland d'Oissel[19] Henri Ier, vers 1120, rend sa terre avec toutes ses prérogatives, à charge de fournir au duc de la paille pour son lit et une couette de dun, lorsqu'il viendrait à son manoir d'Oissel. Henri Ier accorda à ce seigneur, pour lui et pour ses héritiers, le privilège de tenir son fief "libère et quiele in civitatibus et castellit in bosco et piano, in aquie et molcndinis, et piscariit, et pamagiit, et pasturagiie, et herbagiis, et tanleiis in nundinis et forie". (Cartul. norm., u° 1er et p. 273.)[20] Il est question du manoir royal d'Oissel, ainsi que de l'obligation singulière du seigneur d'Oissel, dans le Coutumier des forêts de Normandie (forêt de Rouvrai.) Cf. Aveux au Roi, Archives départementales de la Seine-Maritime, B. 204, Michel Toussaint Chrétien Duplessis, Description géographique et historique de la Haute Normandie, II, 67[20]Rolland d'Oissel jouissait de l'église Saint-Martin et des deux tiers de la dîme d'Oissel, comme d'un fief ; il donna le tout au Chapitre de l'Église de Rouen en présence de l'archevêque Robert Poulain au commencement de l'année 1208, et en passa a&e au mois d'octobre de la même année (Archives de la cathédrale de Rouen)[21].
11?? Robert de Lyvet - -
1204 Guillaume Roland d'Oissel - -
1251 Robert Roland - -
1251 Jean de Saint-Sanson - Époux de Emmeline Roland
1251 Gaultier de Luzarches - Époux de Marie de Saint-Sanson
1261 Robert Roland - Époux d'Agnès Deschamps
1268 Richard de Saint-Sanson - -
???? Robert de Saint-Sanson - -
1280 Jean de Livet Chevalier -
1317 Alix Faucon Veuve de Jean Faucon Jean Faucon disputa à la famille Rolland le patronage de la cure de l'église Saint-Martin d'Oissel ; à l'échiquier de la Saint Michel 1317, il y eut un arrêt en forme de concordat entre Alix, veuve de Jean Faucon et le chapitre de Rouen, par lequel il fut dit que le patronage de cette cure serait alternatif entre elle ou ses héritiers et le chapitre, pourvu que le Concordat fut ratifié par le roi. Le roi Philippe V le confirma au mois de décembre 1317 (Archives de la cathédrale de Rouen). Malgré cela, il paraît que le chapitre n'a plus aucun droit au patronage de la cure ; du moins, on l'avoue ainsi dans le Pouillé de Rouen de l'an 1738 et selon un aveu du 30 octobre 1686, ce patronage est alternatif entre le plein fief de haubert d'Oissel et le fief Faucon (Archives de la Chambre des comptes de Rouen). Selon un autre aveu du 1er février 1715, le fief Faucon, autrement appelé Herlandois, sis en la paroisse d'Oissel & aux environs, a droit de présenter à la cure d'Oissel alternativement avec les héritiers du Président du Hamel, représentant le Chapitre de N.-D. de Rouen. (ibid.)
1383 Hue Bécourt Noble homme, écuyer, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Époux d'Ameline La Prévoste, dite La Forestière, aveu au roi du 3 avril 1383 (Archives nationales, Chambre des comptes, cote P277/I folio 119 Inv 119)
1383 Robin (ou Robert) Faucon Écuyer Aveu du 11 mai 1383 (Archives nationales, page 307, no 401) « confessa tenir du roy nostre sire sa terre d'Oissel par un VIIIe. de fief de haubert, dont le chef est assis en la vicomté de Rouen, en la dite parroisse d'Oissel et les parroisses d'illec environ, par lui faisant hommage, et par trouvant feure à l'usage de sa chambre, et coulle de dun (duvet) pour son lit, quant il viendra en sa maison d'Oissel, et feure pour sa boulellerle, et, quant il se partira de sa dite maison d'Oissel, le dit Robert doit ravoir et garder la dicte coulte[22]. »Robert Faucon, à cause de son fief d'Oissel, devait fournir de l'estrain (paille) pour la chambre du roi quand il venait chasser dans la forêt de Rouvray, ainsi que de la couette de dun (du duvet pour son lit)[23]
1410 Guillaume de Montpoignant - -
1419 Jehan Leprévost Noble homme, écuyer, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la Sergenterie et de la Chapelle Saint Bonnet Aveu au roi du 2 février 1419 (Archives nationales, Chambre des comptes, cote P277/2 folio 169 Inv 319)
1423 Robert Faucon Écuyer -
1458 Guillaume de Bigars - -
1467 Guillard Noble homme, écuyer, sergent en la forêt de Rouvray -
1475 Colin de Gaugy Seigneur de la Roseraie, chevalier d'honneur au Présidial de Rouen -
- Guernet Lynant Conseiller en Cour Laye, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la Sergenterie et de la Chapelle Saint Bonnet -
1480 Jacques Lynant Noble homme, écuyer, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Vend et transmet à fin d'héritage ses propriétés à Jehan Vauquelin le 23 mars 1480 (Archives départementales de Seine-Maritime, registres du tabellionage, année 1480/1481)
1484 Jehan Vauquelin Conseiller en Cour Laye, noble homme, escuyer, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la Sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Aveu au roi du 26 août 1484 (Archives nationales, Chambre des comptes, cote P277/3 folio 266 Inv 407). Époux de Colette Letellier (1450-1503).
1500 Robert de Gaugy Escuyer Fils de Colin de Gaugy, époux de Catherine de Nollent
1504 Guillaume Abaro Seigneur du fief Faucon -
1515 Jacques Vauquelin PBRE, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Aveu au roi du 30 juillet 1515 (Archives nationales, Chambre des comptes, anciens hommages aux baillis de Rouen, cote P280/1 folio 207 Inv 20)
1532 Robin Duhaze Procureur au Parlement de Rouen, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Héritier par sa mère Anne Vauquelin, aveu au roi du 1er juin 1532 (Archives départementales de Seine-Maritime, Chambre des comptes, aveux aux baillis de Rouen, cote IIB441, pièce no 72, ex-volume 205)
1540 Jean Despernon Sieur d'Oissel Député aux États-Généraux de Normandie par la noblesse en 1545
1545 Jean Lami Nommé vicomte de la Neuville et sénéchal d'Oissel -
1560 Guillaume Duhaze Procureur au Parlement de Rouen, sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet -
1570 Pierre d'Econtes Sieur de La Chapelle -
1598 Jacques de Gaugy Sieur de Fourneau et lieutenant-général des eaux et forêts du bailliage de Rouen Fils de Robert de Gaugy, époux de Jeanne Jeanneton Primout (1540-1614), sa chambrière, dite « La pécheresse d'Oissel »
16e siècle Pierre de Launay Chevalier, seigneur d'Oissel et de Fontaine, né à Rouen -
16e siècle Henri Cleutin (1510 – 20 juin 1566) seigneur d'Oissel et de Villeparis gentilhomme de la Maison du roi, fut de 1546 à 1560 ministre plénipotentiaire de France en Écosse, puis ambassadeur de Marie Ire d'Écosse. Il tenta sans succès de réprimer la Réforme écossaise.
1605 Anthoine Duhaze (1574-1616) Sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Seul fils de Guillaume Duhaze, aveu au roi du 13 août 1605[24]. Époux de Jeanne De Gaugy (1575-1616)
1614 Jehan-Jacques de Brèvedent Sieur de Castellier et d'Oissel Époux de Marguerite de Caradas
1614 Charles de Canouville Capitaine de cinquante hommes d'armes Époux de Marye Gontier, dame du Castellier, et d'un fief assis en la paroisse d'Oyssel
1615 Nicolas Legentil Sieur de la Brosse -
1618 Barthélemy Sanadon Avocat en la cour du parlement de Normandie -
1619 Antoine de Gaugy Sieur de la Rosaye, écuyer verdier en la forêt de Rouvray Fils de Jacques de Gaugy, époux de Geneviève Deshaies
1623 Charles Maignard Noble homme Maistre, seigneur de Bernières, conseiller du roi en son conseil d'État, président en sa cour du parlement de Normandie -
1628 Jacques de Tirmois Chevalier seigneur de Saint-Bonnet, conseiller du roi en son parlement de Normandie -
1655 Robert de Brèvedent Écuyer, seigneur et patron d'Oissel -
1659 Nicolas THouroude Sieur d'Aptot, garde des sceaux de la chancellerie du palais à Rouen -
1663 Roger de Martinville Messire, chevalier marquis de Thionville, seigneur de Claville, Oissel, Port-Saint-Ouen, seigneur des nobles fiefs Faucon et Montpoignant -
1670 Jean Pierre Lecamus Chevalier, seigneur de Saint-Bonnet et de La Chapelle -
1675 Pierre de Pagalde Écuyer, sieur du Sivro -
1676 Robert de Nollent Messire, chevalier, seigneur de Maillot -
???? Louis de Brèvedent Écuyer -
1678 Antoine Duhaze (1621-1685) Sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Aveu au roi du 5 septembre 1678 (Archives départementales de Seine-Maritime, Chambre des comptes, cote IIB441, pièce no 72, ex-volume 205). Époux de Jeanne Caron (1635-1694).
1679 Léonor de Brèvedent Écuyer, sieur d'Oissel -
1678 Antoine Duhaze (1655-1702) Sergent de la garde du roi en la forêt du Rouvray, propriétaire de la sergenterie et de la chapelle Saint-Bonnet Aveu au roi du 30 septembre 1686 (Archives départementales de Seine-Maritime, Chambre des comptes, aveux au bailly de Rouen, cote IIB441, pièce no 74, ex-volume 205). Époux de Marie Marguerite Dieppedalle (1660-1703).
1684 Jacques Duhamel, seigneur d'Oissel (1684-1777) - -
1687 Jean-Baptiste de Pagalde Écuyer, sieur de Pagalde -
1690 Louis Maignard Seigneur de Bautot, etc., et des fiefs de Saint-Laurent et de Livet assis en la paroisse d'Oissel, conseiller du roi en son parlement de Normandie -
1690 François Alexandre de Cavrey Messire, escuyer, seigneur d'Asnières et Claville seigneur en partye et patron alternatif de la paroisse d'Oissel et autres lieux, conseiller du roi en sa cour et parlement de Normandie -
1615 Pierre-Albert, baron de Launay Seigneur d'Oissel et de Fontaine, gentilhomme ordinaire de la maison du roi -
1711 Nicolas de Masselay Sieur de la Mothe mestre de la verrerie d'Oissel -
1713 Nicolas Leplaquois Prieur des marchands de Rouen, syndic de la chambre de commerce de Normandie, conseiller échevin de la ville de Rouen, ancien administrateur de l'hôpital, ancien juge consul -
1713 Louis Marie Duhamel (1692-1744), marquis d'Oissel, fils de Jacques et Marie Scott de Fumechon - -
1724 François Morin Écuyer, seigneur, haut justicier de Tourville-la-Rivière et les authels sur le Port-Saint-Ouen, seigneur et patron des paroisses d'Oissel, Saint-Étienne-du-Rouvray, seigneur des fiefs, terres et seigneuries de Livet, Saint-Laurent, Faucon, du Catellier, de Fécamp, de la Chevalerie, du Gravier, Belenclos et autres fiefs dont les chefs-mois sont assis dans les paroisses d'Oissel, Saint-Étienne et s'étendent en icelles et autres paroisses -
1736 Marquis de Saint-Pierre - -
1737 Deshommets Chevalier, seigneur de Guichainville, conseiller du roi, maitre ordinaire, en sa cour des comptes, aydes et finances de Normandie -
1737 Jean-Baptiste-Martial Guillot Écuyer, sieur de Fourmetot -
1738 Pierre Hély Écuyer, conseiller du roi, président trésorier de France au bureau des finances en la généralité de Rouen Époux de Marie-Louise Lebaillif, ménager, fait l'acquisition des fiefs d'Oissel et prend les mêmes titres que François Morin, son vendeur
1738 Raoul de Tiremois Seigneur de Sacy, conseiller en la grande chambre du parlement de Normandie Époux de noble dame Angélique de Motteville
1739 Guillaume Jourdain Écuyer, conseiller du roi, auditeur en la chambre des comptes, aydes et finances de Normandie -
1743 Édouard-Pierre Scolt Chevalier, seigneur de Rois -
1745 Charles-Adrien de Gonord - Époux de Renée Touroulde d'Aptot
1748 David Le Couteulx Écuyer, secrétaire du Roy maison et couronne de France -
1748 Antoine Le Couteulx Messire, écuyer, seigneur et patron de Canteleu, président de la cour des comptes, aydes et finances de Normandie -
1756 Abdon Victor Hély d'Oissel Chevalier, conseiller du roi en la cour et parlement de Normandie Père d'Abdon-Patrocle-Frédéric Hély d'Oissel
1761 Louis-Alexandre Dambourney Secrétaire de l'Académie de Rouen, savant distingué Il fit la première découverte à Oissel, en 1774, de cercueils en plâtre et en pierre, dans le terrain qui avoisine le Champ de foire et qui faisait alors partie de sa propriété.
1763 Aimé de Paul de Réneville Chevalier, seigneur, châtelain de Gouy, du Port-Saint-Ouen, etc., conseiller du roi, maître ordinaire en la cour des comptes, aydes et finances de Normandie, grand panetier hérédital pour le Roi au duché de Normandie, franc juge en ses forêts, etc. -
1764 Nicolas Midy Duperreux Écuyer, conseiller secrétaire du Roy, maison et couronne de France176 -
1764 Aimé Laurent Thomas de Paul de Marbeuf Conseiller du roi au parlement de Normandie, officier dans les armées royales, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis -
1780 Jean-Baptiste Duchesne Écuyer, seigneur du Catelier, ancien capitaine des carabiniers, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis -
1781 Henri-François de Brévedent chevalier, est en 1781 seigneur d'Oissel, de Giverny et de Sahurs. -
1786 Antoine Raoul Comte Lebègue de Germiny, capitaine au colonel général des dragons -
1793 Charles-Henri Dambray - -
1793 Florimont Bachelet M. l'abbé Mort curé de Saint-Honoré, dont la famille habitait Oissel, passa les jours de la Terreur dans cette commune sans y être inquiété ; il fut rejoint dans sa retraite par le vénérable abbé Motte, mort curé de la métropole de Rouen.

Source : De la vicomté de l'Eau de Rouen et de ses coutumes au XIIIe et au XIVe siècle par Charles de Beaurepaire, 1856, imp. Herissey à Évreux, p. 35

Source : Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie_, 2e série, 6e volume, 16e volume de la collection, 1852, Derache à Paris, Didron à Paris, Hardel à Caen, Le Brument à Rouen, p. 273_

Source : Georges Dubosc, Par-ci, par-là : études d'histoire et de mœurs normandes_, série 3, Rouen, H. Defontaine, Impr. du Journal de Rouen, 1922-1933, p. 112_

Source : Bibliographie, référence 2.

En 1082, Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d'Angleterre, y réunit un concile de hauts dignitaires de l'Église en présence de barons anglo-normands au sujet d'un différend sur la peine de mort entre l'archevêque de Rouen et l'abbé de Saint-Wandrille. Fief royal, Richard Cœur de Lion y installa un rendez-vous de chasse où séjourna Philippe le Bel en 1312. Ce manoir, profondément modifié au cours des siècles, est aujourd'hui la mairie.

Vers 1250, le roi Louis IX (Saint-Louis) créa la sergenterie d'Oissel en la paroisse de Saint-Martin en la vicomté de Rouen. Elle comprenait dès son origine la glèbe de la franche sergenterie de bois fieffés et héréditaire en la forêt du Rouvray, des fiefs tenus en perpétuel héritage de divers fiefs de haubert.

Parmi les sergents de la garde du roi en la forêt du Rouvray, qui devaient rendre foi et hommage au roi, puis faire aveu de leurs avoirs, on trouve les noms de Hue Bécourt (aveu du 3 avril 1383), Jehan Leprevost (aveu du 2 février 1419), Guernet Lynant et Jacques Lynant, ce dernier vendant et transmettant à fin d’héritage l’ensemble de la Sergenterie le 23 mars 1480 à Jehan Vauquelin (aveu du 26 août 1484), Jacques Vauquelin en hérita (aveu du 31 juillet 1515). Puis se succède la longue lignée des Duhaze, avec Robin Duhaze qui en hérita par sa mère Anne Vauquelin (aveu du 1er juin 1532), jusqu'à Antoine Duhaze (aveu du 30 septembre 1686), et Jean Thomas Duhaze. La sergenterie fut supprimée vers 1764.

Le manoir de La Chapelle porta différents noms : ferme de la Chapelle, ferme à Dupont au début du XXe siècle. Elle a été acquise par les Papeteries de La Chapelle en 1929 et dotée alors d'un château. Le colombier à pied et le puits à colonnes (bien que ce dernier fût déplacé à plusieurs reprises) sont parvenus relativement intacts depuis le XVIe siècle.

En 1639, lors de la révolte des va-nu-pieds contre les impôts et la famine, c'est à Oissel que les troupes envoyées par le roi furent hébergées. L'épidémie de peste de 1649-1650 dévasta la commune, une nouvelle épidémie de choléra en 1832 fit de nombreuses victimes.

Après la guerre franco-allemande de 1870, les Prussiens s'installèrent en 1871 dans la ville et incendièrent en partie la mairie.

La Première Guerre mondiale fit de nombreux ravages puisque 20 % de la population adulte fut décimée[réf. nécessaire]. En septembre 1914, un commando allemand fut chargé de faire sauter les ponts d'Oissel. Il fut arrêté in extremis à Sotteville-sous-le-Val.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, de 1940 à 1944, les Allemands s'installèrent à nouveau à Oissel pour défendre le nœud ferroviaire stratégique entre la Normandie et Paris. 43 bombardements alliés en 5 ans firent des dégâts considérables : 249 immeubles furent détruits, 1 475 autres endommagés. Au cours de ces trois conflits, les Osseliens montrèrent un esprit de résistance et de solidarité rare comme Édouard Turgis, Paul Henri Mongis et Émile Billoquet, trois noms inscrits à jamais dans la mémoire d'Oissel.

Le 71e régiment du génie, basé à Oissel, est dissous en 1997.

Depuis avril 2004, Oissel est le lieu d'implantation du Centre de rétention administrative d'Oissel, habilité à accueillir des familles (19 lits), en vue de l'instruction administrative de leur retour dans leur pays d'origine. Les étrangers en situation irrégulière qui y sont retenus entre deux et 90 jours viennent de toutes les régions de France, et principalement des régions limitrophes de la Normandie.

Oissel dispose d'une École nationale de police[25].

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie de 1793 à 1801 du canton d'Elbeuf, année où elle intègre le canton de Grand-Couronne. En 1903, elle est rattachée au Sotteville puis, en 1982, au canton de Saint-Étienne-du-Rouvray[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais incluse dans le canton de Saint-Étienne-du-Rouvray.

La commune était membre de l'agglomération de Rouen, une communauté d'agglomération créée le 1er janvier et qui succédait au SIVOM de l'agglomération rouennaise est créée en 1974.

Le 1er janvier 2010, celle-ci a fusionné avec l'Agglo d'Elbeuf et les communautés de communes de Seine-Austreberthe et du Trait-Yainville afin de former la Communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui s'est transformée en 2015 en Métropole Rouen-Normandie, dont la commune est toujours membre.

Aux élections européennes du 9 juin 2024, Jordan Bardella (Rassemblement national) arrive en tête et en hausse de 9 points[27](36,50% contre 27,49% en 2019)[28],[29],dans le sillage des 7 points gagnés au niveau national. Dans cette commune, Manon Aubry arrive deuxième (14,06% contre 9,89% en 2019)[28],[29], et la liste du Parti communiste français troisième (10,77% contre 11,46% en 2019)[28],[29]. La participation est en baisse, à 49,18% contre 52,33%[28],[29], devenant inférieure à la moyenne nationale (52,50%).

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 12 367 habitants[Note 6], en évolution de +8,91 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population [ modifier ]

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 340 2 380 2 584 2 794 3 113 3 192 3 201 3 607 3 482

Évolution de la population [ modifier ], suite (1)

1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 589 3 685 4 181 4 211 3 951 4 015 4 080 3 948 3 855

Évolution de la population [ modifier ], suite (2)

1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 280 4 475 4 712 5 746 6 304 7 560 7 501 7 228 9 284

Évolution de la population [ modifier ], suite (3)

1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 962 9 949 10 501 11 712 11 444 11 053 11 558 11 395 11 647

Évolution de la population [ modifier ], suite (4)

2021 - - - - - - - -
12 367 - - - - - - - -

Histogramme de l'évolution démographique

Malgré les destructions des guerres et la modernisation nécessaire, la ville d’Oissel a conservé de nombreuses traces de son passé. C’est d’abord en centre ville l’urbanisation qui vit le jour autour des filatures. Il est ainsi possible de retrouver les lotissements ouvriers nés autour des usines, les maisons des contremaîtres, des ingénieurs et des industriels. Il reste aussi trace des fermes ; si deux seulement sont encore en activité, les autres ont souvent été transformées en logements.

L’église d’Oissel, dédiée à saint Martin, fut fondée à l’époque mérovingienne. Mais le bâtiment fréquenté aujourd’hui par les fidèles ou par les passionnés de musique est une construction débutée au XVIe siècle, agrandie et achevée en 1871 (Jacques-Eugène Barthélémy architecte).

Vers 1250, le roi Louis IX (Saint-Louis) créa la sergenterie d’Oissel en la paroisse de Saint-Martin en la vicomté de Rouen. La sergenterie fut supprimée vers 1764. La chapelle Saint-Bonnet porta au fil du temps différents noms : ferme de la Chapelle, manoir de la Chapelle Logo monument historique Classé MH (1946)[41], ferme à Dupont au début du XXe siècle. Elle a été acquise par les Papeteries de La Chapelle (aujourd'hui Otor) en 1929. Elle a été dotée d’un château d’époque relativement récente. Mais le miracle est que le colombier à pied et le puits à colonnes (bien que ce dernier fût déplacé à plusieurs reprises) sont parvenus jusqu'à nous en restant relativement intacts depuis le XVIe siècle.

Château de la marquise.

Le château des Roches, lieu-dit Le Catelier, résidence de la famille Hély d'Oissel, qui abrita Raoul Grimoin-Sanson est une belle construction du XIXe siècle sur l'emplacement d’un château datant de Louis XIII dont il ne reste que le logement du directeur du Centre de formation Jean-L’Herminier. Dans le parc, on voit une chapelle néo-classique, bâtie par Raoul Grimoin-Sanson au début du XXe siècle pour les besoins de son film Le Comte de Griolet. Dans le parc municipal peuvent être découverts le château de la marquise de Frondeville[42], dit aussi de la Perreuse, bâtisse du XVIIIe siècle, le pavillon Dambray de style Louis XVI, et la ferme normande.

Au Cercle des Loisirs, dans l’ancienne filature Dantan, peuvent être vus la machine à vapeur qui actionnait les métiers, le four l’alimentant en vapeur et la dynamo produisant l’électricité. (Machine Sabrou - 1920).

Enfin, on trouve le vestige rare d'une maison de fer[43] dans celle située avenue du Général-de-Gaulle[44]. Son inscription au titre des monuments historiques remonte à l'arrêté du 30 juillet 2012. Son dernier usage semble avoir été celui d'un garage de réparation à l'enseigne marque SIMCA.

Blason de Oissel Blason Parti au 1) d’argent à la cornue du même remplie à moitié de gueules, au 2) d’azur à la gerbe d’or ; sur le tout au chef de gueules chargé d’un léopard d’or armé et lampassé d’azur.
Détails Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie.

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.

  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.

  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

  7. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

  8. ZNIEFF 230030831 - Les îles aux Bœufs et Mayeux sur le site de l’INPN..

  9. ZNIEFF 230030833 - Les îles Durand et Sainte-Catherine sur le site de l’INPN..

  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 20 décembre 2023)

  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 20 décembre 2023)

  12. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, 30 octobre 2020, 18 p. (lire en ligne), p. 2

  13. « Orthodromie entre Oissel et Boos », sur fr.distance.to (consulté le 20 décembre 2023).

  14. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 20 décembre 2023)

  15. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 20 décembre 2023)

  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 20 décembre 2023)

  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).

  18. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).

  19. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».

  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).

  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).

  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 13 mai 2021).

  23. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) », in Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958, p. 315.

  24. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 119.

  25. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Édition errance 1994. (ISBN 2-87772-089-6).

  26. Charles de Beaurepaire, De la vicomté de l'Eau de Rouen et de ses coutumes au XIIIe et au XIVe siècle, Évreux, imp. Herissey, 1856, p. 35

  27. a et b Charles de Beaurepaire, De la vicomté de l'Eau de Rouen et de ses coutumes au XIIIe et au XIVe siècle, Évreux, imp. Herissey, 1856, p. 34

  28. Michel Toussaint Chrétien Duplessis, Description géographique et historique de la Haute Normandie : Le Vexin, vol. 2, Pierre-François Giffart, 1740, ?, p. 671 et 672.

  29. Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, 2e série, 6e volume, 16e volume de la collection, 1852, Derache à Paris, Didron à Paris, Hardel à Caen, Le Brument à Rouen, p. 273

  30. Georges Dubosc, Par-ci, par-là : études d'histoire et de mœurs normandes, série 3, Rouen, H. Defontaine, Impr. du Journal de Rouen, 1922-1933, p. 112

  31. Archives départementales de Seine-Maritime, Chambre des comptes, aveux aux baillis de Rouen, cote IIB, pièce no 1 du no 446, ex-volume 210

  32. Tënk Mediapart, « « La Cité de l’ordre », dans la citadelle assiégée de la police », sur Mediapart (consulté le 3 juillet 2022).

  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.

  34. « Résultats des élections européennes 2024 : Oissel (76350) 12ème arrondissement », sur actu.fr (consulté le 15 juin 2024).

  35. a b c et d [1]

  36. a b c et d [2]

  37. « Les maires successifs de OISSEL », Seine76, 7 avril 2018 (consulté le 24 mai 2018).

  38. « Maurice Gautier (1881 - 1965) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.

  39. https://maitron.fr/spip.php?article4237, notice GAUTIER Maurice, Paul par Marcel Boivin, version mise en ligne le 30 juin 2008, dernière modification le 5 avril 2019.

  40. https://maitron.fr/spip.php?article194315, notice TOUTAIN Pierre, Roger, Yves par Jacques Defortescu, version mise en ligne le 1er août 2017, dernière modification le 7 février 2019.

  41. « Au Sénat, ces élus de Normandie à des postes clés : portrait de l’élu PCF : Thierry Foucaud, maire-adjoint de Oissel, a été réélu vice-président du Sénat, mercredi 8 octobre 2014. Il est l'un des deux élus PCF, sauvés par les grands électeurs », 76actu,‎ 11 octobre 2014 (lire en ligne, consulté le 24 mai 2018).

  42. « Oissel : La première victoire de Stéphane Barré (PCF) », Paris Normandie,‎ 23 mars 2014 (lire en ligne, consulté le 24 mai 2018) « Stéphane Barré a été élu, ce dimanche 23 mars, maire de Oissel, dès le 1er tour avec 63,47% des suffrages ».

  43. « Stéphane Barré et Alban Bruneau entrent au Conseil départemental », Communiqué, Blog des conseillers départementaux communistes et républicains / Front de gauche de Seine-Maritime, 10 septembre 2017 (consulté le 24 mai 2018).

  44. « Municipales 2020. À Oissel, Stéphane Barré retrouve son fauteuil de maire : Le conseil municipal s’est réuni à huis clos le jeudi 28 mai 2020 à l’auditorium Roland-Leroy. Le maire communiste sortant a été réélu », Paris-Normandie,‎ 2 juin 2020 (lire en ligne, consulté le 6 septembre 2020) « Stéphane Barré a été maintenu au siège de maire à l’unanimité ».

  45. a b et c « Oissel à l'international »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ville-oissel.fr.

  46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.

  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

  48. « Ancien manoir de la chapelle. Puits et parc classés », notice no PA00100782, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  49. « Manoir au lieu-dit La Perreuse. », notice no IA00021116, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  50. La maison de fer d'Oissel, paragraphe 38.

  51. « Maison métallique Duclos », notice no PA76000095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

  52. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 4016. In-folio papier, 24 fos.

  53. Gilbert Buti et Philippe Hrodej (dir.), Dictionnaire des corsaires et pirates, Paris, CNRS éditions, 2013, pp. 484-485.

  54. Archivo general de Indias (Séville), Patronato 267, n.1, ramo 53, f°2v°.

  55. Édouard Delobette, « Les mutations du commerce du Havre (1680-1763) [Seconde partie] », Annales de Normandie, vol. 53, no 1,‎ 2003, p. 19–68 (ISSN 0003-4134, DOI 10.3406/annor.2003.1434, lire en ligne, consulté le 2 juin 2023)

  56. Archives départementales de la Seine-Maritime, 2 E 1/2249, Tabellionage de Rouen, Héritages 2e série, in-folio, fos 102-103.

  57. « Recherche géographique », sur anom.archivesnationales.culture.gouv.fr (consulté le 2 juin 2023).

  58. Acte de concession par la Compagnie de la Nouvelle-France à Simon Le Maître (LeMaître), conseiller du roi, receveur général des décimes en Normandie, d'une l'étendue de terres, à savoir la rivière Bruyante, située au pays de la Nouvelle-France, avec six lieues de profondeur dans les terres et trois lieues de chaque côté de la rivière, pour en jouir toute propriété à titre de fief et seigneurie à perpétuité, 15 janvier 1636, BAnQ Québec, Fonds Intendants, (03Q,E1,S4,SS1,D11,P1).

  59. [PDF] Guy Levé, La saga des Hély d’Oissel de 1688 à 2008

  60. François Huzar, « Le Comte de Griolet de Raoul Grimoin-Sanson (1920-1924) et l’opéra filmé synchronique au temps du muet », 1895, no 90,‎ 1er mai 2020, p. 40–61 (ISSN 0769-0959 et 1960-6176, DOI 10.4000/1895.7702, lire en ligne, consulté le 2 juin 2023)

  61. « Chapitre 3 : Les films d’opéras-comiques », sur Opéra Comique (consulté le 2 juin 2023).

v · mCommunes de la Métropole Rouen Normandie
Plus de 100 000 habitants Rouen
Plus de 20 000 habitants Sotteville-lès-Rouen Saint-Étienne-du-Rouvray Le Grand-Quevilly Le Petit-Quevilly Mont-Saint-Aignan
Plus de 10 000 habitants Elbeuf Canteleu Bois-Guillaume Maromme Oissel Déville-lès-Rouen
Plus de 8 000 habitants Caudebec-lès-Elbeuf Darnétal Grand-Couronne Petit-Couronne Bihorel Saint-Aubin-lès-Elbeuf Saint-Pierre-lès-Elbeuf
Plus de 2 000 habitants Amfreville-la-Mi-Voie Belbeuf Bonsecours Boos Cléon Duclair Franqueville-Saint-Pierre Le Houlme Houppeville Isneauville La Londe Malaunay Le Mesnil-Esnard Notre-Dame-de-Bondeville Saint-Jacques-sur-Darnétal Saint-Léger-du-Bourg-Denis Saint-Pierre-de-Varengeville Tourville-la-Rivière Le Trait
Plus de 1 000 habitants Les Authieux-sur-le-Port-Saint-Ouen Hénouville Jumièges Montmain La Neuville-Chant-d’Oisel Roncherolles-sur-le-Vivier Sahurs Saint-Martin-de-Boscherville Saint-Martin-du-Vivier Saint-Paër Sainte-Marguerite-sur-Duclair Yainville Ymare
Moins de 1 000 habitants Anneville-Ambourville Bardouville Berville-sur-Seine La Bouille Épinay-sur-Duclair Fontaine-sous-Préaux Freneuse Gouy Hautot-sur-Seine Le Mesnil-sous-Jumièges Moulineaux Orival Quevillon Quévreville-la-Poterie Saint-Aubin-Celloville Saint-Aubin-Épinay Saint-Pierre-de-Manneville Sotteville-sous-le-Val Val-de-la-Haye Yville-sur-Seine
v · mCommunes les plus peuplées de NormandieLes communes de plus de 3 000 habitants
Plus de 10 000 habitants Plus de 150 000 habitants Le Havre 76 (165 830 hab.) Plus de 100 000 habitants Rouen 76 (114 187 hab.) Caen 14 (107 250 hab.) Plus de 40 000 habitants Cherbourg-en-Cotentin 50 (77 189 hab.) Évreux 27 (46 869 hab.) Plus de 25 000 habitants Sotteville-lès-Rouen 76 (29 071 hab.) Saint-Étienne-du-Rouvray 76 (28 331 hab.) Dieppe 76 (28 091 hab.) Le Grand-Quevilly 76 (26 034 hab.) Alençon 61 (25 744 hab.) Plus de 20 000 habitants Vernon 27 (24 056 hab.) Hérouville-Saint-Clair 14 (22 150 hab.) Le Petit-Quevilly 76 (21 997 hab.) Plus de 15 000 habitants Lisieux 14 (19 755 hab.) Mont-Saint-Aignan 76 (19 686 hab.) Saint-Lô 50 (19 024 hab.) Louviers 27 (18 348 hab.) Fécamp 76 (18 251 hab.) Vire Normandie 14 (16 885 hab.) Elbeuf 76 (16 205 hab.) Montivilliers 76 (15 564 hab.) Plus de 10 000 habitants Flers 61 (14 779 hab.) Bois-Guillaume 76 (14 309 hab.) Canteleu 76 (14 244 hab.) Argentan 61 (13 730 hab.) Val-de-Reuil 27 (13 114 hab.) Bayeux 14 (13 017 hab.) Granville 50 (12 567 hab.) Barentin 76 (12 211 hab.) Oissel 76 (12 202 hab.) Gisors 27 (11 674 hab.) Yvetot 76 (11 627 hab.) Bolbec 76 (11 605 hab.) Ifs 14 (11 567 hab.) La Hague 50 (11 387 hab.) Maromme 76 (10 730 hab.) Déville-lès-Rouen 76 (10 461 hab.) Avranches 50 (10 246 hab.) Port-Jérôme-sur-Seine 76 (10 157 hab.) Caudebec-lès-Elbeuf 76 (10 156 hab.) Pont-Audemer 27 (10 120 hab.) Carentan-les-Marais 50 (10 084 hab.)
De 5 000 à 10 000 habitants Plus de 7 500 habitants Bernay 27 (9 951 hab.) Mondeville 14 (9 893 hab.) Darnétal 76 (9 773 hab.) Grand-Couronne 76 (9 716 hab.) Mézidon Vallée d'Auge 14 (9 607 hab.) Petit-Caux 76 (9 590 hab.) Gonfreville-l'Orcher 76 (9 102 hab.) Ouistreham 14 (9 250 hab.) Souleuvre en Bocage 14 (8 899 hab.) Lillebonne 76 (8 845 hab.) Petit-Couronne 76 (8 655 hab.) Coutances 50 (8 454 hab.) Saint-Pierre-lès-Elbeuf 76 (8 305 hab.) Bihorel 76 (8 331 hab.) Harfleur 76 (8 395 hab.) Saint-Aubin-lès-Elbeuf 76 (8 277 hab.) Les Andelys 27 (8 092 hab.) Falaise 14 (8 086 hab.) L'Aigle 61 (8 019 hab.) Le Mesnil-Esnard 76 (7 927 hab.) Verneuil d'Avre et d'Iton 27 (7 854 hab.) Saint-Pierre-en-Auge 14 (7 503 hab.) Plus de 5 000 habitants Sainte-Adresse 76 (7 349 hab.) Notre-Dame-de-Bondeville 76 (6 990 hab.) Colombelles 14 (6 941 hab.) Gaillon 27 (6 892 hab.) Honfleur 14 (7 138 hab.) Valognes 50 (6 827 hab.) Condé-en-Normandie 14 (6 524 hab.) Bonsecours 76 (6 429 hab.) Eu 76 (6 771 hab.) Pavilly 76 (6 260 hab.) Livarot-Pays-d'Auge 14 (6 254 hab.) Thue et Mue 14 (6 139 hab.) Malaunay 76 (6 126 hab.) Mesnils-sur-Iton 27 (6 126 hab.) Franqueville-Saint-Pierre 76 (6 111 hab.) Gournay-en-Bray 76 (6 051 hab.) Vexin-sur-Epte 27 (6 008 hab.) Octeville-sur-Mer 76 (5 987 hab.) Blainville-sur-Orne 14 (5 942 hab.) Saint-Hilaire-du-Harcouët 50 (5 932 hab.) Bricquebec-en-Cotentin 50 (5 869 hab.) Valdallière 14 (5 853 hab.) Dives-sur-Mer 14 (5 814 hab.) Saint-Sébastien-de-Morsent 27 (5 646 hab.) Le Val d'Hazey 27 (5 451 hab.) La Ferté Macé 61 (5 207 hab.) Pacy-sur-Eure 27 (5 069 hab.) Conches-en-Ouche 27 (5 004 hab.)
De 3 000 à 5 000 habitants Plus de 4 000 habitants Douvres-la-Délivrande 14 (4 999 hab.) Cormelles-le-Royal 14 (4 959 hab.) Fleury-sur-Orne 14 (4 954 hab.) Giberville 14 (4 951 hab.) Cléon 76 (4 943 hab.) Saint-James 50 (4 902 hab.) Tinchebray-Bocage 61 (4 902 hab.) Le Trait 76 (4 900 hab.) Le Tréport 76 (4 723 hab.) Montville 76 (4 661 hab.) Neufchâtel-en-Bray 76 (4 711 hab.) Les Monts d'Aunay 14 (4 654 hab.) Pont-l'Évêque 14 (4 634 hab.) Mesnil-en-Ouche 27 (4 623 hab.) Beuzeville 27 (4 619 hab.) Trouville-sur-Mer 14 (4 614 hab.) Saint-Marcel 27 (4 446 hab.) Noues de Sienne 14 (4 388 hab.) Torigny-les-Villes 50 (4 379 hab.) Breteuil 27 (4 353 hab.) Pontorson 50 (4 330 hab.) Courseulles-sur-Mer 14 (4 242 hab.) Brionne 27 (4 238 hab.) Athis-Val de Rouvre 61 (4 236 hab.) Domfront en Poiraie 61 (4 211 hab.) Le Neubourg 27 (4 204 hab.) Rives-en-Seine 76 (4 203 hab.) Sées 61 (4 193 hab.) Saint-Romain-de-Colbosc 76 (4 172 hab.) Terres-de-Caux 76 (4 167 hab.) Pont-de-l'Arche 27 (4 151 hab.) Duclair 76 (4 135 hab.) Agneaux 50 (4 061 hab.) Saint-Pair-sur-Mer 50 (4 053 hab.) Condé-sur-Vire 50 (4 033 hab.) Le Houlme 76 (4 033 hab.) Plus de 3 500 habitants Saint-André-de-l'Eure 27 (3 996 hab.) La Haye 50 (3 989 hab.) Gravigny 27 (3 967 hab.) Bourg-Achard 27 (3 945 hab.) Bretteville-sur-Odon 14 (3 919 hab.) Saint-Valery-en-Caux 76 (3 907 hab.) Grand Bourgtheroulde 27 (3 876 hab.) Boos 76 (3 867 hab.) Villedieu-les-Poêles-Rouffigny 50 (3 865 hab.) Forges-les-Eaux 76 (3 813 hab.) Mortagne-au-Perche 61 (3 801 hab.) Saint-Germain-du-Corbéis 61 (3 789 hab.) Argences 14 (3 756 hab.) Étrépagny 27 (3 753 hab.) Saint-Nicolas-d'Aliermont 76 (3 715 hab.) Gouffern en Auge 61 (3 712 hab.) Le Vaudreuil 27 (3 701 hab.) Ézy-sur-Eure 27 (3 690 hab.) Touques 14 (3 676 hab.) Le Thuit de l'Oison 27 (3 670 hab.) Verson 14 (3 649 hab.) Le Hom 14 (3 659 hab.) Isigny-sur-Mer 14 (3 619 hab.) Bosroumois 27 (3 613 hab.) Cabourg 14 (3 604 hab.) Deauville 14 (3 595 hab.) Saint-Sauveur-Villages 50 (3 593 hab.) Saint-Léger-du-Bourg-Denis 76 (3 577 hab.) Val-au-Perche 61 (3 526 hab.) Plus de 3 000 habitants Troarn 14 (3 481 hab.) Bréhal 50 (3 438 hab.) La Chapelle-Longueville 27 (3 325 hab.) Amfreville-la-Mi-Voie 76 (3 324 hab.)* Romilly-sur-Andelle 27 (3 277 hab.) Isigny-le-Buat 50 (3 272 hab.) Picauville 50 (3 270 hab.) Luc-sur-Mer 14 (3 228 hab.) Les Pieux 50 (3 222 hab.) Vimoutiers 61 (3 224 hab.) Démouville 14 (3 169 hab.) Sourdeval 50 (3 165 hab.) Gruchet-le-Valasse 76 (3 163 hab.) Saint-Georges-des-Groseillers 61 (3 160 hab.) La Ferté-en-Ouche 61 (3 154 hab.) Donville-les-Bains 50 (3 138 hab.) Villers-Bocage 14 (3 134 hab.) Offranville 76 (3 124 hab.) Tourouvre au Perche 61 (3 115 hab.) Gasny 27 (3 065 hab.) Cany-Barville 76 (3 051 hab.) Rives d'Andaine 61 (3 050 hab.) Le Molay-Littry 14 (3 003 hab.) Longny les Villages 61 (3 002 hab.)
Gras : Préfecture régionale et départementale Gras : Préfectures départementales Gras : sous-préfectures