Ludovic Trommenschlager | Bibliothèque nationale de France (original) (raw)
Papers by Ludovic Trommenschlager
Avec les 9 ensembles publiés dans ce nouveau volume de Trésors Monétaires, le vingt-sixième de la... more Avec les 9 ensembles publiés dans ce nouveau volume de Trésors Monétaires, le vingt-sixième de la collection, on dépasse désormais les 200 000 notices. Ce vingt-sixième volume de Trésors monétaires est consacré à l’Antiquité romaine. Il rassemble six contributions portant sur neuf trésors tous enfouis dans la moitié nord de la France au IIIe siècle après J.-C. Cette concentration ne doit pas surprendre : la production monétaire du IIIe siècle a été abondante et les troubles – invasions barbares, successions d’empereurs militaires, crise monétaire, épidémie – ont conduit à une thésaurisation plus fréquente. Cela porte à 4 032 le nombre de monnaies publiées dans ce volume. Ces trésors offrent une vue très diversifiée sur les modes de thésaurisation, sur la nature de la circulation monétaire et sur les effets des réformes monétaires du IIIe siècle. 2014-2015 | Le trésor de sesterces de Saint-Sauveur (Somme), Un trésor de bronzes romains du Haut-Empire provenant du village de Bray (Eure), Le trésor de Courcelles-sur-Nied (Moselle) 132 deniers et 59 antoniniens, 253 AD et autres trésors
RT SENA, 2019
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Journal of archaeological numismatics, 2016
Dans le nord de la Gaule, les phases de démantèlement et de récupération sur les sites demeuren... more Dans le nord de la Gaule, les phases
de démantèlement et de récupération sur les
sites demeurent fréquentes. Malgré cela, il est
généralement difficile d’apporter une interprétation
approfondie de leur mobilier. En effet, provenant
majoritairement de remblais, une part importante
des artefacts issus de ces contextes est supposée
résiduelle. De ce fait, ce mobilier est généralement
considéré comme secondaire et n’est pas toujours
pris en compte dans les études, même s’il peut
fournir des indications essentielles sur les périodes
d’occupation. Par conséquent, la nature de ce type
d’unité stratigraphique (US) limite les possibles
interprétations. Ainsi, lorsque plusieurs monnaies
proviennent d’un même remblai correspondant à la phase de démantèlement, les espèces les plus récentes
permettent de proposer un terminus post quem
(TPQ) sans pour autant assurer que ces monnaies
sont directement contemporaines de celui-ci ; il en
va de même pour la céramique. Ces remblais datés
fin IVe
-début Ve
s. sont généralement constitués de
différentes couches d’origine anthropique prélevées
à proximité et provenant de phases antérieures.
Les exemples de la fouille programmée de la « Rue
du Ruisseau » de Grand (Vosges) et de la fouille
préventive de la villa de Grigy à Metz (Moselle)
permettent de proposer une première méthodologie
afin d’établir une étude du mobilier numismatique et
céramique résiduel et de survivance, deux termes qui
font l’objet d’une définition.
La monnaie en contexte : dater la monnaie/dater le contexte
Journée d'étude organisée par Ludovic Trommenschlager, Jean-Marc Doyen et Jean-Patrick Duchemin
Marc Bompaire Trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : un bouquet de que... more Marc Bompaire
Trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : un bouquet de questions
Thibault Cardon
Monnaies de bronze en contexte médiéval : la position du problème en France
Flavia Marani
La position du problème en Italie. Quelle circulation : monétaire, résiduelle, « funéraire » ?
Alessia Rovelli
The Circulation of Late Roman Bronze Coinage in Early Medieval Italy: an update
Jean-Marc Doyen
Quelques réflexions sur les modalités de l’introduction du monnayage théodosien dans le circuit économique de la Gaule septentrionale (v. 390-480 apr. J.-C.)
Ludovic Trommenschlager, Gaël Brkojewitsch, Marion Legagneux
& Sandrine Marquié
Le monnayage issu des phases de démantèlement : une réalité complexe à interpréter
Marie-Laure Le Brazidec
Usages monétaires et ornementaux à la période mérovingienne en Picardie : trois exemples de nécropoles dans l’Oise
Ruth Pliego
The circulation of copper coins in the Iberian Peninsula during the Visigothic
Period: new approaches
125
Andrea Saccocci
La circolazione di moneta bronzea tardo-romana e bizantina in Italia Settentrionale: non soltanto una questione archeologica
Joël Françoise, Cécile Morrisson
Monnaies de bronze tardives et byzantines en Provence au VIe s. apr. J.-C.
Philippe Schiesser
Des decanummi de Théodebert (534-548) frappés à Marseille ?
Marie-Laure Le Brazidec
La circulation des monnaies de bronze tardives en Languedoc-Roussillon
Marc Parvérie
La circulation des bronzes d’al-Andalus en Narbonnaise au VIIIe s.
David Billoin & Jean-Marc Doyen
La circulation monétaire sur les sites de hauteur tardo-romains et alto-médiévaux du massif jurassien (vers 400-900 apr. J.-C.)
Jens Christian Moesgaard
Monnaies romaines au Moyen Âge : l’apport des contextes archéologiques
Vincent Geneviève
Les trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval et leur possible circulation à cette période : quelques exemples issus de l’archéologie et des trésors monétaires du Sud‑Ouest de la France
Thibault Cardon
Étude de cas et éléments d’une synthèse régionale en Champagne-Ardenne (France)
Nicolas Clément
Les monnaies du Bas-Empire dans des contextes médiévaux (Ve-XIVe s.) en Vivarais
Table-ronde et conclusions
Olivier Bruand
Les monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : réflexions sur des observations en cours
Cécile Morrisson
Monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : le point de vue d’un observateur « oriental »
Constantin et la Gaule. Autour de la vision de Grand, 2016
Sanctuaire d'Apollon Grannus et vision de Constantin à Grand ? Compte-rendu des données archéolog... more Sanctuaire d'Apollon Grannus et vision de Constantin à Grand ? Compte-rendu des données archéologiques et historiques pouvant étayer ou déconstruire les hypothèses.
Découvert en 2013, le dépôt de Saint-Sauveur (Somme) fait partie de ces thésaurisations de la fin... more Découvert en 2013, le dépôt de Saint-Sauveur (Somme) fait partie de ces thésaurisations de la fin du ii siècle/début e du iii siècle constituées exclusivement de sesterces. Le trésor composé de 37 monnaies couvre un vaste intervalle chronologique s’étendant de Vespasien à Commode. Engendrant une usure importante, la circulation prolongée des sesterces les plus précoces les a rendus quasiment illisibles. Les monnaies de Marc Aurèle et de Commode montrant également une usure conséquente, il est possible de décaler la date d’enfouissement du dépôt au cours du iii siècle. La systématisation de la fouille minutieuse en laboratoire ou sur le terrain de ce type de découverte permettra sans aucun doute dans un futur proche de mettre au jour les méthodes et les phases de thésaurisation des dépôts étudiés.
Journal articles by Ludovic Trommenschlager
J.-M. DOYEN & J.-P. DUCHEMIN (éd.), Monnaies de sites et trésors de l’Antiquité aux Temps Modernes, Dossiers du CEN, 2018
Monnaies et monétarisation dans les campagnes de la Gaule du Nord et de l’Est, de l’âge du Fer à l’Antiquité tardive, 2016
Suite aux découvertes importantes d'établissements ruraux antiques durant les fouilles préventive... more Suite aux découvertes importantes d'établissements ruraux antiques durant les fouilles préventives de ces dernières décennies, il est maintenant possible de présenter une première synthèse sur les villae situées aux abords de la capitale médiomatrique, bien que les données numismatiques de cette dernière, éparses, ne permettent pas de la comparer avec les résidences rurales environnantes. En plus de présenter les données actuellement disponibles, ce travail sera l’occasion de rappeler quelques-uns des biais liés à la fois à la collecte du mobilier numismatique et à la manière de l’approcher, qu’une meilleure prise en compte du contexte archéologique permet en partie de corriger.
Actes du congrès international de numismatique de 2015
En 2004, Pierre Fetet, président de l’association Escles-Archéologie, a appris de manière fortuit... more En 2004, Pierre Fetet, président de l’association Escles-Archéologie, a appris de manière fortuite qu’un trésor monétaire avait été découvert dans la forêt de Martinvelle dans le département des Vosges, lors de prospections non autorisées. Suite à une recherche ardue sur le terrain et à une enquête de près d’un an, il a pu rencontrer l’inventeur du trésor qui a accepté de lui indiquer l’emplacement du site et de lui confier le dépôt. Celui-ci se composait à l’origine de 84 monnaies d’alliage cuivreux (nummi tétrarchiques) et 49 objets monétiformes interprétés alors comme de possibles « flans » découverts dans le secteur 2 et 7 tronçons de boudins. Cet ensemble découvert illégalement sur un terrain appartenant à l’ONF appartient par conséquent entièrement à l’Etat.
Ce lot suggérant un atelier monétaire, il nous a semblé important de réaliser une première opération à l’endroit de la découverte afin de vérifier les propos du prospecteur. Les sondages ont pu être réalisés en 2007 par Pierre Fetet ainsi qu'une fouille en 2014. L'article présente les premiers résultats concernant la fouille de cet atelier de faux monnayage.
Three rescue excavations conducted in the years between 2007 and 2012, covering a total surface o... more Three rescue excavations conducted in the years between 2007 and 2012, covering a total surface of 17,790 m2 and a campaign of geophysical prospection conducted in 2014 (total surface investigated: 20,000 m2 ) allowed to investigate extensively the archaeological remains of a Roman villa at the locality Entre Deux Cours, municipality of Laquenexy (Moselle, Lorraine, France). While the rescue excavations focused principally on the remains of the pars rustica, the geophysical prospection made it possible to investigate the maximal extension of the villa and to obtain first results concerning the features and architectural organization of the pars urbana. The architectural plan of the villa is well-fitting into the established typology of the villae of northeastern Gaule: the villa of Laquenexy belongs to the type of the villae “à pavillons multiples alignés” (villae of axial organisation, characterized by opposite rows of annexe buildings surrounding the central courtyard of the pars rustica). The agricultural part of the villa complex is characterized by five buildings constructed on stone foundations, but there have been also some wooden, probably timber-framed buildings, and, furthermore, the excavation revealed several postholes, hearths and ditches. These remains are characterizing this extended villa and agricultural exploitation, covering a total surface of about 4 hectares. Several features (circular oven constructions with straight fireying pit and corn drying kiln are indicating the importance of cereal production within the agricultural economy of the Gallo-Roman site. Archaeobotanical analysis has revealed valuable information concerning the agricultural activities and cereal production. The archaeological finds unearthed during the different excavations (iron tools, small metal objects, stone-made objects) have been studied extensively. This focus of the archaeological research enables us to characterize the find assemblage. Furthermore, a paleo-metallurgical study of slags has delivered remarkable results concerning activities like blacksmithing and metalworking.
Stratigraphic information confronted with the results of the find analysis (ceramics, coins…) and two radiocarbon dates enable us to fix the chronological time frame of the Gallo-Roman occupation between the 1st and the 4th c. AD.
Translation: Julian Wiethold
Mots-clés. Villa « à pavillons multiples alignés », annexe agricole, séchoir, four, céramique, mobilier métallique, monnaie, macrorestes végétaux, céréaliculture, charbons de bois, paléométallurgie, gallo-romain.
Résumé.
Trois fouilles de sauvetage menées entre 2007 et 2012 (surface totale fouillée : 17 790 m2) et une campagne de prospection géophysique réalisée en 2014 (surface totale étudiée : 20 000 m2) ont permis l’identification en intégralité d’une villa gallo-romaine sur la commune de Laquenexy (Moselle), au lieu-dit Entre Deux Cours. Alors que les recherches archéologiques ont porté principalement sur la pars rustica, la prospection a révélé l’extension maximale du domaine et a fourni des indices sur la nature des vestiges enfouis de la pars urbana. Le plan que dessine cet établissement l’inscrit dans une typologie courante dans le nord-est de la Gaule : les villae « à pavillons multiples alignés ». Dans la partie agricole, cinq bâtiments édifiés sur des fondations en pierre, des constructions en matériaux périssables ainsi que des poteaux, des fosses, des foyers et des fossés indiquent l’existence d’un vaste établissement de près de 4 ha. Plusieurs structures (fours circulaires à alandier droit et séchoir) soulignent l’importance de la céréaliculture dans cet établissement antique. L’étude des carporestes a apporté des précisions sur la nature des activités agricoles. Les artéfacts découverts lors des différentes opérations archéologiques (quincaillerie, petit mobilier métallique, céramique, mobilier en pierre) sont étudiés dans leur globalité. Cette démarche fait ressortir la spécificité du corpus. Une étude paléométallurgique sur les scories a livré des résultats significatifs
permettant d’argumenter en faveur d’activités artisanales de forgeage. La confrontation des données stratigraphiques avec l’étude du mobilier archéologique (céramique, monnaie) et deux datations radiocarbone ont permis de fixer l’occupation gallo-romaine entre le Ier s. apr. J.-C. et le début du Ve s. apr. J.-C.
Conference Presentations by Ludovic Trommenschlager
L’utilisation de la monnaie comme marqueur chronologique se place au centre d’un épineux problème... more L’utilisation de la monnaie comme marqueur chronologique se place au centre d’un épineux problème que les archéologues rencontrent quotidiennement : comment dater au mieux un contexte archéologique ? Mais avant d’en arriver là, il faut se poser cette question : quelle information chronologique nous fournit un mobilier et plus spécifiquement que date la monnaie ? Il est aisé de comprendre que la monnaie fournit, en règle générale, une datation correspondant au moment de sa fabrication ce qui n’est pas toujours le cas des autres mobiliers. Ainsi, le travail initial du numismate est de fournir une date probable ou assurée pour sa fabrication. Les autres datations qui seront déduites à partir de celle-ci ne seront, par conséquent, que des extrapolations. Or, en archéologie, la datation primordiale pour un mobilier demeure celle de sa perte ou de son dépôt définitif et non celle de sa fabrication, car seule cette seconde datation permettra de se rapprocher au plus près du moment de constitution et/ou de fermeture de l’unité stratigraphique (US) qui intéresse plus spécifiquement l’archéologue. Ainsi, cette date de fabrication peut, par exemple, être complétée par une estimation de la durée de circulation de la monnaie. Les numismates s’intéressent à cette question généralement par la mesure du degré d’usure, et ce depuis plusieurs décennies. Néanmoins, cette méthode qui concernait, au départ, essentiellement les trésors est plus complexe à appliquer pour des monnaies isolées. Elle permet tout de même de proposer un nouveau terminus post quem (TPQ) se rapprochant de la véritable date de perte de la monnaie. A contrario, la prise en compte du contexte et des autres mobiliers permet également de fournir des indices sur les durées de circulation des monnaies. Ces travaux impliquant les numismates demeurent récents. L’interdisciplinarité permet également d’agréger les propositions chronologiques afin de déterminer au mieux la datation du contexte. En prenant en compte les monnaies, la céramique, les fibules, etc., il est possible d’avoir un faisceau d’indices pour déterminer une datation pour la fermeture d’une US ainsi que sa durée de fonctionnement. L’interaction entre spécialistes et archéologues devient, par conséquent, essentielle pour déterminer au mieux le TPQ attribuable à une US. En parallèle, la méthode de datation d’un contexte archéologique doit prendre en compte sa caractérisation. En effet, la datation d’un mobilier peut s’interpréter différemment selon qu’il provient d’un remblai, d’un sol, d’un niveau d’occupation ou encore d’une sépulture. À partir de ces données déjà délicates à obtenir, l’archéologue cherche ensuite à construire une chronologie relative, voire absolue, pour les faits, les structures et les phases du site : comment passer d’une chronologie relative à une chronologie absolue sans extrapoler ? Comment passer d’une datation correspondant à la fabrication d’un objet, à celle de sa perte, et comment relier ces données à la constitution d’une unité stratigraphique ou à une phase d’occupation d’un site ? A l’inverse, les mobiliers qui ne peuvent être reliés à une datation absolue par leurs caractéristiques intrinsèques se doivent d’être datables par d’autres méthodes : le contexte, les autres mobiliers, la typologie... Comment dater, par exemple, des oboles mérovingiennes ou un monnayage gaulois par leur contexte ? Les travaux numismatiques les plus récents intègrent non seulement des données typologiques, mais également archéologiques pour classer et mieux dater ces monnayages. De même, la datation des monnayages non officiels pose généralement problème, car elle doit prendre en compte les connaissances actuelles concernant leur production, leur diffusion et leur utilisation, qui dépendent bien souvent de spécificités régionales. Par prudence, les numismates leur attribuent le plus souvent les datations des prototypes officiels qu’ils copient, mais plusieurs synthèses récentes montrent qu’il est possible d’améliorer ces datations en prenant en compte les contextes et les spécificités régionales de la circulation monétaire.
Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à dé... more Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à décrire le plus objectivement une lettre afin de mettre en place une fonte et de mettre en évidence les disparités régionales et temporelles des légendes monétaires. Je présente ici la mise en place des critères retenus pour différencier les allographes.
Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à dé... more Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à décrire le plus objectivement une lettre afin de mettre en place une fonte et de mettre en évidence les disparités régionales et temporelles des légendes monétaires. Je présente ici la mise en place des critères retenus pour différencier les allographes.
Avec les 9 ensembles publiés dans ce nouveau volume de Trésors Monétaires, le vingt-sixième de la... more Avec les 9 ensembles publiés dans ce nouveau volume de Trésors Monétaires, le vingt-sixième de la collection, on dépasse désormais les 200 000 notices. Ce vingt-sixième volume de Trésors monétaires est consacré à l’Antiquité romaine. Il rassemble six contributions portant sur neuf trésors tous enfouis dans la moitié nord de la France au IIIe siècle après J.-C. Cette concentration ne doit pas surprendre : la production monétaire du IIIe siècle a été abondante et les troubles – invasions barbares, successions d’empereurs militaires, crise monétaire, épidémie – ont conduit à une thésaurisation plus fréquente. Cela porte à 4 032 le nombre de monnaies publiées dans ce volume. Ces trésors offrent une vue très diversifiée sur les modes de thésaurisation, sur la nature de la circulation monétaire et sur les effets des réformes monétaires du IIIe siècle. 2014-2015 | Le trésor de sesterces de Saint-Sauveur (Somme), Un trésor de bronzes romains du Haut-Empire provenant du village de Bray (Eure), Le trésor de Courcelles-sur-Nied (Moselle) 132 deniers et 59 antoniniens, 253 AD et autres trésors
RT SENA, 2019
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Journal of archaeological numismatics, 2016
Dans le nord de la Gaule, les phases de démantèlement et de récupération sur les sites demeuren... more Dans le nord de la Gaule, les phases
de démantèlement et de récupération sur les
sites demeurent fréquentes. Malgré cela, il est
généralement difficile d’apporter une interprétation
approfondie de leur mobilier. En effet, provenant
majoritairement de remblais, une part importante
des artefacts issus de ces contextes est supposée
résiduelle. De ce fait, ce mobilier est généralement
considéré comme secondaire et n’est pas toujours
pris en compte dans les études, même s’il peut
fournir des indications essentielles sur les périodes
d’occupation. Par conséquent, la nature de ce type
d’unité stratigraphique (US) limite les possibles
interprétations. Ainsi, lorsque plusieurs monnaies
proviennent d’un même remblai correspondant à la phase de démantèlement, les espèces les plus récentes
permettent de proposer un terminus post quem
(TPQ) sans pour autant assurer que ces monnaies
sont directement contemporaines de celui-ci ; il en
va de même pour la céramique. Ces remblais datés
fin IVe
-début Ve
s. sont généralement constitués de
différentes couches d’origine anthropique prélevées
à proximité et provenant de phases antérieures.
Les exemples de la fouille programmée de la « Rue
du Ruisseau » de Grand (Vosges) et de la fouille
préventive de la villa de Grigy à Metz (Moselle)
permettent de proposer une première méthodologie
afin d’établir une étude du mobilier numismatique et
céramique résiduel et de survivance, deux termes qui
font l’objet d’une définition.
La monnaie en contexte : dater la monnaie/dater le contexte
Journée d'étude organisée par Ludovic Trommenschlager, Jean-Marc Doyen et Jean-Patrick Duchemin
Marc Bompaire Trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : un bouquet de que... more Marc Bompaire
Trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : un bouquet de questions
Thibault Cardon
Monnaies de bronze en contexte médiéval : la position du problème en France
Flavia Marani
La position du problème en Italie. Quelle circulation : monétaire, résiduelle, « funéraire » ?
Alessia Rovelli
The Circulation of Late Roman Bronze Coinage in Early Medieval Italy: an update
Jean-Marc Doyen
Quelques réflexions sur les modalités de l’introduction du monnayage théodosien dans le circuit économique de la Gaule septentrionale (v. 390-480 apr. J.-C.)
Ludovic Trommenschlager, Gaël Brkojewitsch, Marion Legagneux
& Sandrine Marquié
Le monnayage issu des phases de démantèlement : une réalité complexe à interpréter
Marie-Laure Le Brazidec
Usages monétaires et ornementaux à la période mérovingienne en Picardie : trois exemples de nécropoles dans l’Oise
Ruth Pliego
The circulation of copper coins in the Iberian Peninsula during the Visigothic
Period: new approaches
125
Andrea Saccocci
La circolazione di moneta bronzea tardo-romana e bizantina in Italia Settentrionale: non soltanto una questione archeologica
Joël Françoise, Cécile Morrisson
Monnaies de bronze tardives et byzantines en Provence au VIe s. apr. J.-C.
Philippe Schiesser
Des decanummi de Théodebert (534-548) frappés à Marseille ?
Marie-Laure Le Brazidec
La circulation des monnaies de bronze tardives en Languedoc-Roussillon
Marc Parvérie
La circulation des bronzes d’al-Andalus en Narbonnaise au VIIIe s.
David Billoin & Jean-Marc Doyen
La circulation monétaire sur les sites de hauteur tardo-romains et alto-médiévaux du massif jurassien (vers 400-900 apr. J.-C.)
Jens Christian Moesgaard
Monnaies romaines au Moyen Âge : l’apport des contextes archéologiques
Vincent Geneviève
Les trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval et leur possible circulation à cette période : quelques exemples issus de l’archéologie et des trésors monétaires du Sud‑Ouest de la France
Thibault Cardon
Étude de cas et éléments d’une synthèse régionale en Champagne-Ardenne (France)
Nicolas Clément
Les monnaies du Bas-Empire dans des contextes médiévaux (Ve-XIVe s.) en Vivarais
Table-ronde et conclusions
Olivier Bruand
Les monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : réflexions sur des observations en cours
Cécile Morrisson
Monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : le point de vue d’un observateur « oriental »
Constantin et la Gaule. Autour de la vision de Grand, 2016
Sanctuaire d'Apollon Grannus et vision de Constantin à Grand ? Compte-rendu des données archéolog... more Sanctuaire d'Apollon Grannus et vision de Constantin à Grand ? Compte-rendu des données archéologiques et historiques pouvant étayer ou déconstruire les hypothèses.
Découvert en 2013, le dépôt de Saint-Sauveur (Somme) fait partie de ces thésaurisations de la fin... more Découvert en 2013, le dépôt de Saint-Sauveur (Somme) fait partie de ces thésaurisations de la fin du ii siècle/début e du iii siècle constituées exclusivement de sesterces. Le trésor composé de 37 monnaies couvre un vaste intervalle chronologique s’étendant de Vespasien à Commode. Engendrant une usure importante, la circulation prolongée des sesterces les plus précoces les a rendus quasiment illisibles. Les monnaies de Marc Aurèle et de Commode montrant également une usure conséquente, il est possible de décaler la date d’enfouissement du dépôt au cours du iii siècle. La systématisation de la fouille minutieuse en laboratoire ou sur le terrain de ce type de découverte permettra sans aucun doute dans un futur proche de mettre au jour les méthodes et les phases de thésaurisation des dépôts étudiés.
J.-M. DOYEN & J.-P. DUCHEMIN (éd.), Monnaies de sites et trésors de l’Antiquité aux Temps Modernes, Dossiers du CEN, 2018
Monnaies et monétarisation dans les campagnes de la Gaule du Nord et de l’Est, de l’âge du Fer à l’Antiquité tardive, 2016
Suite aux découvertes importantes d'établissements ruraux antiques durant les fouilles préventive... more Suite aux découvertes importantes d'établissements ruraux antiques durant les fouilles préventives de ces dernières décennies, il est maintenant possible de présenter une première synthèse sur les villae situées aux abords de la capitale médiomatrique, bien que les données numismatiques de cette dernière, éparses, ne permettent pas de la comparer avec les résidences rurales environnantes. En plus de présenter les données actuellement disponibles, ce travail sera l’occasion de rappeler quelques-uns des biais liés à la fois à la collecte du mobilier numismatique et à la manière de l’approcher, qu’une meilleure prise en compte du contexte archéologique permet en partie de corriger.
Actes du congrès international de numismatique de 2015
En 2004, Pierre Fetet, président de l’association Escles-Archéologie, a appris de manière fortuit... more En 2004, Pierre Fetet, président de l’association Escles-Archéologie, a appris de manière fortuite qu’un trésor monétaire avait été découvert dans la forêt de Martinvelle dans le département des Vosges, lors de prospections non autorisées. Suite à une recherche ardue sur le terrain et à une enquête de près d’un an, il a pu rencontrer l’inventeur du trésor qui a accepté de lui indiquer l’emplacement du site et de lui confier le dépôt. Celui-ci se composait à l’origine de 84 monnaies d’alliage cuivreux (nummi tétrarchiques) et 49 objets monétiformes interprétés alors comme de possibles « flans » découverts dans le secteur 2 et 7 tronçons de boudins. Cet ensemble découvert illégalement sur un terrain appartenant à l’ONF appartient par conséquent entièrement à l’Etat.
Ce lot suggérant un atelier monétaire, il nous a semblé important de réaliser une première opération à l’endroit de la découverte afin de vérifier les propos du prospecteur. Les sondages ont pu être réalisés en 2007 par Pierre Fetet ainsi qu'une fouille en 2014. L'article présente les premiers résultats concernant la fouille de cet atelier de faux monnayage.
Three rescue excavations conducted in the years between 2007 and 2012, covering a total surface o... more Three rescue excavations conducted in the years between 2007 and 2012, covering a total surface of 17,790 m2 and a campaign of geophysical prospection conducted in 2014 (total surface investigated: 20,000 m2 ) allowed to investigate extensively the archaeological remains of a Roman villa at the locality Entre Deux Cours, municipality of Laquenexy (Moselle, Lorraine, France). While the rescue excavations focused principally on the remains of the pars rustica, the geophysical prospection made it possible to investigate the maximal extension of the villa and to obtain first results concerning the features and architectural organization of the pars urbana. The architectural plan of the villa is well-fitting into the established typology of the villae of northeastern Gaule: the villa of Laquenexy belongs to the type of the villae “à pavillons multiples alignés” (villae of axial organisation, characterized by opposite rows of annexe buildings surrounding the central courtyard of the pars rustica). The agricultural part of the villa complex is characterized by five buildings constructed on stone foundations, but there have been also some wooden, probably timber-framed buildings, and, furthermore, the excavation revealed several postholes, hearths and ditches. These remains are characterizing this extended villa and agricultural exploitation, covering a total surface of about 4 hectares. Several features (circular oven constructions with straight fireying pit and corn drying kiln are indicating the importance of cereal production within the agricultural economy of the Gallo-Roman site. Archaeobotanical analysis has revealed valuable information concerning the agricultural activities and cereal production. The archaeological finds unearthed during the different excavations (iron tools, small metal objects, stone-made objects) have been studied extensively. This focus of the archaeological research enables us to characterize the find assemblage. Furthermore, a paleo-metallurgical study of slags has delivered remarkable results concerning activities like blacksmithing and metalworking.
Stratigraphic information confronted with the results of the find analysis (ceramics, coins…) and two radiocarbon dates enable us to fix the chronological time frame of the Gallo-Roman occupation between the 1st and the 4th c. AD.
Translation: Julian Wiethold
Mots-clés. Villa « à pavillons multiples alignés », annexe agricole, séchoir, four, céramique, mobilier métallique, monnaie, macrorestes végétaux, céréaliculture, charbons de bois, paléométallurgie, gallo-romain.
Résumé.
Trois fouilles de sauvetage menées entre 2007 et 2012 (surface totale fouillée : 17 790 m2) et une campagne de prospection géophysique réalisée en 2014 (surface totale étudiée : 20 000 m2) ont permis l’identification en intégralité d’une villa gallo-romaine sur la commune de Laquenexy (Moselle), au lieu-dit Entre Deux Cours. Alors que les recherches archéologiques ont porté principalement sur la pars rustica, la prospection a révélé l’extension maximale du domaine et a fourni des indices sur la nature des vestiges enfouis de la pars urbana. Le plan que dessine cet établissement l’inscrit dans une typologie courante dans le nord-est de la Gaule : les villae « à pavillons multiples alignés ». Dans la partie agricole, cinq bâtiments édifiés sur des fondations en pierre, des constructions en matériaux périssables ainsi que des poteaux, des fosses, des foyers et des fossés indiquent l’existence d’un vaste établissement de près de 4 ha. Plusieurs structures (fours circulaires à alandier droit et séchoir) soulignent l’importance de la céréaliculture dans cet établissement antique. L’étude des carporestes a apporté des précisions sur la nature des activités agricoles. Les artéfacts découverts lors des différentes opérations archéologiques (quincaillerie, petit mobilier métallique, céramique, mobilier en pierre) sont étudiés dans leur globalité. Cette démarche fait ressortir la spécificité du corpus. Une étude paléométallurgique sur les scories a livré des résultats significatifs
permettant d’argumenter en faveur d’activités artisanales de forgeage. La confrontation des données stratigraphiques avec l’étude du mobilier archéologique (céramique, monnaie) et deux datations radiocarbone ont permis de fixer l’occupation gallo-romaine entre le Ier s. apr. J.-C. et le début du Ve s. apr. J.-C.
L’utilisation de la monnaie comme marqueur chronologique se place au centre d’un épineux problème... more L’utilisation de la monnaie comme marqueur chronologique se place au centre d’un épineux problème que les archéologues rencontrent quotidiennement : comment dater au mieux un contexte archéologique ? Mais avant d’en arriver là, il faut se poser cette question : quelle information chronologique nous fournit un mobilier et plus spécifiquement que date la monnaie ? Il est aisé de comprendre que la monnaie fournit, en règle générale, une datation correspondant au moment de sa fabrication ce qui n’est pas toujours le cas des autres mobiliers. Ainsi, le travail initial du numismate est de fournir une date probable ou assurée pour sa fabrication. Les autres datations qui seront déduites à partir de celle-ci ne seront, par conséquent, que des extrapolations. Or, en archéologie, la datation primordiale pour un mobilier demeure celle de sa perte ou de son dépôt définitif et non celle de sa fabrication, car seule cette seconde datation permettra de se rapprocher au plus près du moment de constitution et/ou de fermeture de l’unité stratigraphique (US) qui intéresse plus spécifiquement l’archéologue. Ainsi, cette date de fabrication peut, par exemple, être complétée par une estimation de la durée de circulation de la monnaie. Les numismates s’intéressent à cette question généralement par la mesure du degré d’usure, et ce depuis plusieurs décennies. Néanmoins, cette méthode qui concernait, au départ, essentiellement les trésors est plus complexe à appliquer pour des monnaies isolées. Elle permet tout de même de proposer un nouveau terminus post quem (TPQ) se rapprochant de la véritable date de perte de la monnaie. A contrario, la prise en compte du contexte et des autres mobiliers permet également de fournir des indices sur les durées de circulation des monnaies. Ces travaux impliquant les numismates demeurent récents. L’interdisciplinarité permet également d’agréger les propositions chronologiques afin de déterminer au mieux la datation du contexte. En prenant en compte les monnaies, la céramique, les fibules, etc., il est possible d’avoir un faisceau d’indices pour déterminer une datation pour la fermeture d’une US ainsi que sa durée de fonctionnement. L’interaction entre spécialistes et archéologues devient, par conséquent, essentielle pour déterminer au mieux le TPQ attribuable à une US. En parallèle, la méthode de datation d’un contexte archéologique doit prendre en compte sa caractérisation. En effet, la datation d’un mobilier peut s’interpréter différemment selon qu’il provient d’un remblai, d’un sol, d’un niveau d’occupation ou encore d’une sépulture. À partir de ces données déjà délicates à obtenir, l’archéologue cherche ensuite à construire une chronologie relative, voire absolue, pour les faits, les structures et les phases du site : comment passer d’une chronologie relative à une chronologie absolue sans extrapoler ? Comment passer d’une datation correspondant à la fabrication d’un objet, à celle de sa perte, et comment relier ces données à la constitution d’une unité stratigraphique ou à une phase d’occupation d’un site ? A l’inverse, les mobiliers qui ne peuvent être reliés à une datation absolue par leurs caractéristiques intrinsèques se doivent d’être datables par d’autres méthodes : le contexte, les autres mobiliers, la typologie... Comment dater, par exemple, des oboles mérovingiennes ou un monnayage gaulois par leur contexte ? Les travaux numismatiques les plus récents intègrent non seulement des données typologiques, mais également archéologiques pour classer et mieux dater ces monnayages. De même, la datation des monnayages non officiels pose généralement problème, car elle doit prendre en compte les connaissances actuelles concernant leur production, leur diffusion et leur utilisation, qui dépendent bien souvent de spécificités régionales. Par prudence, les numismates leur attribuent le plus souvent les datations des prototypes officiels qu’ils copient, mais plusieurs synthèses récentes montrent qu’il est possible d’améliorer ces datations en prenant en compte les contextes et les spécificités régionales de la circulation monétaire.
Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à dé... more Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à décrire le plus objectivement une lettre afin de mettre en place une fonte et de mettre en évidence les disparités régionales et temporelles des légendes monétaires. Je présente ici la mise en place des critères retenus pour différencier les allographes.
Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à dé... more Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à décrire le plus objectivement une lettre afin de mettre en place une fonte et de mettre en évidence les disparités régionales et temporelles des légendes monétaires. Je présente ici la mise en place des critères retenus pour différencier les allographes.
Présentation des problématiques liées à ma thèse sur les questions de circulation et de temps de ... more Présentation des problématiques liées à ma thèse sur les questions de circulation et de temps de circulation.
Actes du Colloque "Les trouvailles de monnaies romaines en contexte médiéval" organisé par Marc B... more Actes du Colloque "Les trouvailles de monnaies romaines en contexte médiéval" organisé par Marc BOMPAIRE, Thibault CARDON & Flavia MARANI
Marc Bompaire
Trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : un bouquet de questions
Thibault Cardon
Monnaies de bronze en contexte médiéval : la position du problème en France
Flavia Marani
La position du problème en Italie. Quelle circulation : monétaire, résiduelle, « funéraire » ?
Alessia Rovelli
The Circulation of Late Roman Bronze Coinage in Early Medieval Italy: an update
Jean-Marc Doyen
Quelques réflexions sur les modalités de l’introduction du monnayage théodosien dans le circuit économique de la Gaule septentrionale (v. 390-480 apr. J.-C.)
Ludovic Trommenschlager, Gaël Brkojewitsch, Marion Legagneux
& Sandrine Marquié
Le monnayage issu des phases de démantèlement : une réalité complexe à interpréter
Marie-Laure Le Brazidec
Usages monétaires et ornementaux à la période mérovingienne en Picardie : trois exemples de nécropoles dans l’Oise
Ruth Pliego
The circulation of copper coins in the Iberian Peninsula during the Visigothic
Period: new approaches
Andrea Saccocci
La circolazione di moneta bronzea tardo-romana e bizantina in Italia Settentrionale: non soltanto una questione archeologica
Joël Françoise, Cécile Morrisson
Monnaies de bronze tardives et byzantines en Provence au VIe s. apr. J.-C.
Philippe Schiesser
Des decanummi de Théodebert (534-548) frappés à Marseille ?
Marie-Laure Le Brazidec
La circulation des monnaies de bronze tardives en Languedoc-Roussillon
Marc Parvérie
La circulation des bronzes d’al-Andalus en Narbonnaise au VIIIe s.
David Billoin & Jean-Marc Doyen
La circulation monétaire sur les sites de hauteur tardo-romains et alto-médiévaux du massif jurassien (vers 400-900 apr. J.-C.)
Jens Christian Moesgaard
Monnaies romaines au Moyen Âge : l’apport des contextes archéologiques
Vincent Geneviève
Les trouvailles de monnaies de bronze romaines en contexte médiéval et leur possible circulation à cette période : quelques exemples issus de l’archéologie et des trésors monétaires du Sud‑Ouest de la France
Thibault Cardon
Étude de cas et éléments d’une synthèse régionale en Champagne-Ardenne (France)
Nicolas Clément
Les monnaies du Bas-Empire dans des contextes médiévaux (Ve-XIVe s.) en Vivarais
Table-ronde et conclusions
Olivier Bruand
Les monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : réflexions sur des observations en cours
Cécile Morrisson
Monnaies de bronze romaines en contexte médiéval : le point de vue d’un observateur « oriental »
Ritz S., Bonaventure B. (dir.), Rodriguez M., Thouvenot E., Trommenschlager L. – L’agglomération ... more Ritz S., Bonaventure B. (dir.), Rodriguez M., Thouvenot E., Trommenschlager L. – L’agglomération antique de Senon-
Amel (Meuse) : programme de prospection thématique pluriannuel (2016-2018), Rapport d’activité 2017 : sondages
programmés aux lieux-dits de la Petite Hayette et Sèche-Pré à Amel-sur-l’Étang, Nancy/Metz : Université de Lorraine/
Service Régional de l’Archéologie de Lorraine, 2017, 195 p.
Commune : Niedersteinbach Lieu-dit : Maimont Numéro du site : 673340006 AH Coordonnées Lambert 19... more Commune : Niedersteinbach Lieu-dit : Maimont Numéro du site : 673340006 AH Coordonnées Lambert 1993 : X = 1043904 Y = 6893863 Altitude : 513 m NGF Propriétaire : Office National des Forêts Alsace, Agence Nord-Alsace Responsable de l'opération : Rémy Wassong (Docteur, UMR 7044 -Archimède) Autorisation de fouille : Arrêté préfectoral SRA n° 2017/ A 185 du 2 juin 2017, arrêté préfectoral SRA n° 2018/ A 163 du 23 mai 2018 N° opération : 017060 Financement : Ministère de la Culture, DRAC Grand-Est : 4000 € Équipe de fouille :
Commune : Niedersteinbach Lieu-dit : Maimont Numéro du site : 673340006 AH Coordonnées Lambert 19... more Commune : Niedersteinbach Lieu-dit : Maimont Numéro du site : 673340006 AH Coordonnées Lambert 1993 : X = 1043904 Y = 6893863 Altitude : 513 m NGF Propriétaire : Office National des Forêts Alsace, Agence Nord-Alsace
Voici le programme de la deuxième journée d’actualité ATEG (Antiquité tardive en Gaule). Elle ... more Voici le programme de la deuxième journée d’actualité ATEG (Antiquité tardive en Gaule). Elle se tiendra le samedi 7 déc. 2019 – Paris, INHA, salle Vasari. 19 communications brèves sur l'actualité de la recherche archéologique, historique et numismatique de la Gaule tardoantique. Informations complémentaires sur le blog: https://ateg.hypotheses.org/ Vous êtes bienvenu(e)s !
Journal of archaeological numismatics, 2017
ISBN 9781784913991 (versión impresa) ISBN 9781784914004 (publicación electrónica). Precio: £75 (i... more ISBN 9781784913991 (versión impresa) ISBN 9781784914004 (publicación electrónica). Precio: £75 (impresa); £19 (electrónica).