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Thesis Chapters by Eric Tremault

Research paper thumbnail of Structure et sensation dans la psychologie de la forme, chez Maurice Merleau-Ponty et William James

We are trying here to object to Maurice Merleau-Ponty’s attempt to reduce qualia to structural pr... more We are trying here to object to Maurice Merleau-Ponty’s attempt to reduce qualia to structural predicates, which is the way we understand his ontology of the “flesh”, as he seems to us to develop it already in his first works on “expression”. We are more generally objecting through him to any kind of “structural” theory concerning sensation, meaning by this any theory which claims that one cannot attribute a relation to a sensorial content without intrinsically altering it. Our task is complicated by the great number of empirical facts that Merleau-Ponty calls for to prove his structural theory. He notably finds great help in the structural interpretation Kurt Koffka had already laid down for these facts as a Gestalt psychologist. Consequently, we begin with the examination of this theory and of the facts that support it, showing that they cannot seem to corroborate a structural theory unless one confuses “abstraction” and “real separation” of a quale from its context. We then call for William James to support these conclusions, reminding that he had already showed the illegitimacy of the claim by the neo-Hegelian writers of his time to find empirical proof for their own structural theories in similar psychological data. He had also suggested a “knowledge by acquaintance” theory against those writers that we are trying to use in defense for introspection pure and simple.

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Books by Eric Tremault

Research paper thumbnail of Structure et sensation. Une critique de la psychologie de la forme

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Papers by Eric Tremault

Research paper thumbnail of L'unité de la représentation : William James lecteur de Franz Brentano

Enquête sur les représentations mentales, N. Depraz & R. Künstler (dir.), Editions Matériologiques, 2020

Comment les représentations s'unissent-elles, que ce soit simultanément ou successivement, pour f... more Comment les représentations s'unissent-elles, que ce soit simultanément ou successivement, pour former une unique représentation d'ensemble ? Je voudrais montrer que la pensée de James sur ce point s'est construite en dialogue constant avec celle de Brentano depuis les Principes de psychologie (1890) jusqu'à L'univers pluraliste (1909).

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Research paper thumbnail of « Do we need pre-reflective self-consciousness? About Sartre and Brentano »

S. Miguens, C.B. Morando, G. Preyer (eds.), Early Sartre in the Context of Contemporary Philosophy of Mind, Routledge, 2015

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Research paper thumbnail of « Pouvons-nous comprendre nos émotions ? Sur la théorie dynamique des émotions dans la psychologie de la forme »

Implications philosophiques, Dec 2013

La psychologie de la forme cherche à penser les émotions comme des relations causales, psychologi... more La psychologie de la forme cherche à penser les émotions comme des relations causales, psychologiquement « manifestes », c'est-à-dire ressenties, entre les corrélats physiologiques des objets perçus et le corrélat physiologique de notre corps propre. Les émotions ne sont alors pas, comme dans la théorie James-Lange, des effets de la causalité des objets perçus sur notre organisme et sur le sentiment que nous en avons, mais cette causalité elle-même, qui conduit éventuellement à ces effets. Cette théorie a l’avantage de rendre compte très simplement de plusieurs caractéristiques des émotions : d’abord, elles nous renseignent immédiatement sur leurs causes (j’ai peur du serpent) ; ensuite, et surtout, elles sont indivisiblement une propriété de l’Ego qui les éprouve (j’ai peur) et une propriété de l’objet qui les provoque (le serpent est effrayant). On rend facilement compte de cette dernière caractéristique dès lors qu’on fait des « émotions » égologiques (la peur) et des « caractères expressifs » des objets (le caractère « effrayant » du serpent) de simples prédicats relationnels, réductibles ontologiquement à la relation dynamique dont ils ne sont, pour parler comme Russell, que des « expressions embarrassées » : « j’ai peur du serpent » signifierait seulement qu’il y a une relation dynamique sensible (et qualitativement caractérisée) entre le serpent et moi.
Mais les psychologues de la forme semblent prêter un avantage supplémentaire et décisif à cette théorie : elle permettrait de rendre compte de la « compréhension » que nous avons souvent de nos émotions, au sens où nous saurions en les éprouvant qu’elles découlent nécessairement de la nature de l’objet qui les provoque. C’est cette thèse de l’intelligibilité intrinsèque des émotions que nous voudrions discuter, en les distinguant d’autres relations entre l’Ego et les objets, par lesquelles les objets reçoivent, non plus des « caractères expressifs », mais des « caractères de demande », et qui ne sont plus dynamiques ou causales, mais logiques : la condition pour que nous puissions « comprendre » nos émotions est qu’elles soient sous-tendues par des relations de motivation entre l’objet et un projet de l’Ego. Mais alors on pourra se demander si elles méritent encore le nom d’émotions.

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Research paper thumbnail of Mental "structures" in the Berlin school of Gestalt psychology: can sensation be described as "structural"?

Shapes 2013 The Shape of Things, Proceedings of the Second Interdisciplinary Workshop The Shape of Things, pp. 151-162., Jul 2013

It is not exaggerated to affirm that the modern notion of structure arises in Koffka’s Growth of ... more It is not exaggerated to affirm that the modern notion of structure arises in Koffka’s Growth of the
Mind and in his following article, “Perception : An introduction to the Gestalt-theorie” (1922). The
importance of the notion of structure as Koffka uses it lies in the fact that it is designed to replace the old
empiricist notion of “sensation” as a real and separable element of the phenomenal field, corresponding
to a definite stimulus. But, yielding to many suggestions by Köhler, Koffka does not only understand
the interdependency of sensations in a structure as a causal one: in fact, he decidedly understands it as
a logical one. Thus he defines structures as “very elementary reactions, which phenomenally are not
composed of constituent elements, their members being what they are by virtue of their ‘member-
character,’ their place in the whole; their essential nature being derived from the whole whose members
they are” (“Perception”, p. 543).
I mean to show that the parts in such structures can only be what it is classical to name “relational
attributes” or “relational predicates”. In other words, structures are now internal relations between
their terms, and more precisely still “directly constitutive internal relations”, not internal relations re-
ducing to the existence of their terms as were the internal relations against which Russell struggled,
but relations to which their terms reduce. But the
real importance of this notion of structure is that it rests and is built upon a truly impressive amount
of empirical data. Nevertheless, I want to show that Koffka’s conception of sensation is fundamentally
impossible to conceive, and that the belief that it is empirically grounded rests mainly on a confusion
between abstraction of a sense-datum and real separation of the stimuli underlying such a datum. As
a consequence, phenomenal structures, if they exist, can only be external to their terms, as they are in
Köhler’s view, in spite of many ambiguities in his formulations. However, I will end by showing that, cor-
rectly understood, the notion of structure can still be of great help in phenomenology and psychology
since it provides a naturalistic means to understand how a non-intentional “meaning” can be passively
present at a sensory level.

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Research paper thumbnail of L’absoluité de la sensation : pour une critique jamesienne de la notion de « structure » chez Kurt Koffka et Maurice Merleau-Ponty

Bulletin d'Analyse Phénoménologique, Volume 9 (2013) Numéro 2

Je m’oppose ici à la théorie « structurale » de la sensation développée par Kurt Koffka dans les ... more Je m’oppose ici à la théorie « structurale » de la sensation développée par Kurt Koffka dans les années 1920, et reprise notamment par Merleau-Ponty, qui en fait le centre théorique des analyses de la psychologie de la forme. Je commence donc par examiner cette théorie et les faits sur lesquels elle repose, en montrant notamment, à l’aide de la méréologie husserlienne, qu’ils ne peuvent paraître corroborer une théorie structurale de la sensation que si l’on confond « abstraire » et « séparer réellement » une qualité de son contexte. Il s’agit par là plus largement de montrer l’impossibilité, en fait comme en droit, de toute philosophie de la perception qui chercherait à réduire les sensations ou « qualia » à des prédicats relationnels. Je convoque alors William James à l’appui de ces conclusions, en rappelant qu’il avait déjà montré contre les théories néo-hégéliennes de son époque l’illégitimité de leur prétention à se réclamer de faits psychologiques similaires, et qu’il avait soutenu contre eux une théorie de la connaissance par accointance et de l’absoluité ontologique des qualités sensorielles que je cherche à reprendre à mon compte.

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Research paper thumbnail of "Pragmatisme"

Dictionnaire de culture générale, sous la direction de Francis Foreaux, Cap Prépa, Pearson Education France, Paris, 2010

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Research paper thumbnail of Sartre's 'Alternative' Conception of Phenomena in Being and Nothingness

Sartre Studies International, Jan 1, 2009

In Being and Nothingness, Sartre explains that being-in-itself is transphenomenal and becomes a p... more In Being and Nothingness, Sartre explains that being-in-itself is transphenomenal and becomes a phenomenon only through the process by which consciousness qualifies itself as its negation. Thus, there can be no phenomenon except as the object that consciousness (consciously) negates. This ontology of phenomena proves contradictory because one does not understand how consciousness can negate what does not appear to it, especially if it needs to do so as an existentialist freedom, which has to choose (in terms of phenomena) the end towards which it negates being. Sartre's theory of facticity as 'body' then comes as an alternative conception of phenomena, answering these problems by ultimately tending to present being-in-itself as a non-objective, hence non-conscious, phenomenon. Intentional consciousness thus becomes a transcendental condition for objectivity only and not for phenomenality in general.

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Research paper thumbnail of Structure et sensation dans la psychologie de la forme, chez Maurice Merleau-Ponty et William James

We are trying here to object to Maurice Merleau-Ponty’s attempt to reduce qualia to structural pr... more We are trying here to object to Maurice Merleau-Ponty’s attempt to reduce qualia to structural predicates, which is the way we understand his ontology of the “flesh”, as he seems to us to develop it already in his first works on “expression”. We are more generally objecting through him to any kind of “structural” theory concerning sensation, meaning by this any theory which claims that one cannot attribute a relation to a sensorial content without intrinsically altering it. Our task is complicated by the great number of empirical facts that Merleau-Ponty calls for to prove his structural theory. He notably finds great help in the structural interpretation Kurt Koffka had already laid down for these facts as a Gestalt psychologist. Consequently, we begin with the examination of this theory and of the facts that support it, showing that they cannot seem to corroborate a structural theory unless one confuses “abstraction” and “real separation” of a quale from its context. We then call for William James to support these conclusions, reminding that he had already showed the illegitimacy of the claim by the neo-Hegelian writers of his time to find empirical proof for their own structural theories in similar psychological data. He had also suggested a “knowledge by acquaintance” theory against those writers that we are trying to use in defense for introspection pure and simple.

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Research paper thumbnail of L'unité de la représentation : William James lecteur de Franz Brentano

Enquête sur les représentations mentales, N. Depraz & R. Künstler (dir.), Editions Matériologiques, 2020

Comment les représentations s'unissent-elles, que ce soit simultanément ou successivement, pour f... more Comment les représentations s'unissent-elles, que ce soit simultanément ou successivement, pour former une unique représentation d'ensemble ? Je voudrais montrer que la pensée de James sur ce point s'est construite en dialogue constant avec celle de Brentano depuis les Principes de psychologie (1890) jusqu'à L'univers pluraliste (1909).

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Research paper thumbnail of « Do we need pre-reflective self-consciousness? About Sartre and Brentano »

S. Miguens, C.B. Morando, G. Preyer (eds.), Early Sartre in the Context of Contemporary Philosophy of Mind, Routledge, 2015

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Research paper thumbnail of « Pouvons-nous comprendre nos émotions ? Sur la théorie dynamique des émotions dans la psychologie de la forme »

Implications philosophiques, Dec 2013

La psychologie de la forme cherche à penser les émotions comme des relations causales, psychologi... more La psychologie de la forme cherche à penser les émotions comme des relations causales, psychologiquement « manifestes », c'est-à-dire ressenties, entre les corrélats physiologiques des objets perçus et le corrélat physiologique de notre corps propre. Les émotions ne sont alors pas, comme dans la théorie James-Lange, des effets de la causalité des objets perçus sur notre organisme et sur le sentiment que nous en avons, mais cette causalité elle-même, qui conduit éventuellement à ces effets. Cette théorie a l’avantage de rendre compte très simplement de plusieurs caractéristiques des émotions : d’abord, elles nous renseignent immédiatement sur leurs causes (j’ai peur du serpent) ; ensuite, et surtout, elles sont indivisiblement une propriété de l’Ego qui les éprouve (j’ai peur) et une propriété de l’objet qui les provoque (le serpent est effrayant). On rend facilement compte de cette dernière caractéristique dès lors qu’on fait des « émotions » égologiques (la peur) et des « caractères expressifs » des objets (le caractère « effrayant » du serpent) de simples prédicats relationnels, réductibles ontologiquement à la relation dynamique dont ils ne sont, pour parler comme Russell, que des « expressions embarrassées » : « j’ai peur du serpent » signifierait seulement qu’il y a une relation dynamique sensible (et qualitativement caractérisée) entre le serpent et moi.
Mais les psychologues de la forme semblent prêter un avantage supplémentaire et décisif à cette théorie : elle permettrait de rendre compte de la « compréhension » que nous avons souvent de nos émotions, au sens où nous saurions en les éprouvant qu’elles découlent nécessairement de la nature de l’objet qui les provoque. C’est cette thèse de l’intelligibilité intrinsèque des émotions que nous voudrions discuter, en les distinguant d’autres relations entre l’Ego et les objets, par lesquelles les objets reçoivent, non plus des « caractères expressifs », mais des « caractères de demande », et qui ne sont plus dynamiques ou causales, mais logiques : la condition pour que nous puissions « comprendre » nos émotions est qu’elles soient sous-tendues par des relations de motivation entre l’objet et un projet de l’Ego. Mais alors on pourra se demander si elles méritent encore le nom d’émotions.

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Research paper thumbnail of Mental "structures" in the Berlin school of Gestalt psychology: can sensation be described as "structural"?

Shapes 2013 The Shape of Things, Proceedings of the Second Interdisciplinary Workshop The Shape of Things, pp. 151-162., Jul 2013

It is not exaggerated to affirm that the modern notion of structure arises in Koffka’s Growth of ... more It is not exaggerated to affirm that the modern notion of structure arises in Koffka’s Growth of the
Mind and in his following article, “Perception : An introduction to the Gestalt-theorie” (1922). The
importance of the notion of structure as Koffka uses it lies in the fact that it is designed to replace the old
empiricist notion of “sensation” as a real and separable element of the phenomenal field, corresponding
to a definite stimulus. But, yielding to many suggestions by Köhler, Koffka does not only understand
the interdependency of sensations in a structure as a causal one: in fact, he decidedly understands it as
a logical one. Thus he defines structures as “very elementary reactions, which phenomenally are not
composed of constituent elements, their members being what they are by virtue of their ‘member-
character,’ their place in the whole; their essential nature being derived from the whole whose members
they are” (“Perception”, p. 543).
I mean to show that the parts in such structures can only be what it is classical to name “relational
attributes” or “relational predicates”. In other words, structures are now internal relations between
their terms, and more precisely still “directly constitutive internal relations”, not internal relations re-
ducing to the existence of their terms as were the internal relations against which Russell struggled,
but relations to which their terms reduce. But the
real importance of this notion of structure is that it rests and is built upon a truly impressive amount
of empirical data. Nevertheless, I want to show that Koffka’s conception of sensation is fundamentally
impossible to conceive, and that the belief that it is empirically grounded rests mainly on a confusion
between abstraction of a sense-datum and real separation of the stimuli underlying such a datum. As
a consequence, phenomenal structures, if they exist, can only be external to their terms, as they are in
Köhler’s view, in spite of many ambiguities in his formulations. However, I will end by showing that, cor-
rectly understood, the notion of structure can still be of great help in phenomenology and psychology
since it provides a naturalistic means to understand how a non-intentional “meaning” can be passively
present at a sensory level.

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Research paper thumbnail of L’absoluité de la sensation : pour une critique jamesienne de la notion de « structure » chez Kurt Koffka et Maurice Merleau-Ponty

Bulletin d'Analyse Phénoménologique, Volume 9 (2013) Numéro 2

Je m’oppose ici à la théorie « structurale » de la sensation développée par Kurt Koffka dans les ... more Je m’oppose ici à la théorie « structurale » de la sensation développée par Kurt Koffka dans les années 1920, et reprise notamment par Merleau-Ponty, qui en fait le centre théorique des analyses de la psychologie de la forme. Je commence donc par examiner cette théorie et les faits sur lesquels elle repose, en montrant notamment, à l’aide de la méréologie husserlienne, qu’ils ne peuvent paraître corroborer une théorie structurale de la sensation que si l’on confond « abstraire » et « séparer réellement » une qualité de son contexte. Il s’agit par là plus largement de montrer l’impossibilité, en fait comme en droit, de toute philosophie de la perception qui chercherait à réduire les sensations ou « qualia » à des prédicats relationnels. Je convoque alors William James à l’appui de ces conclusions, en rappelant qu’il avait déjà montré contre les théories néo-hégéliennes de son époque l’illégitimité de leur prétention à se réclamer de faits psychologiques similaires, et qu’il avait soutenu contre eux une théorie de la connaissance par accointance et de l’absoluité ontologique des qualités sensorielles que je cherche à reprendre à mon compte.

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Research paper thumbnail of "Pragmatisme"

Dictionnaire de culture générale, sous la direction de Francis Foreaux, Cap Prépa, Pearson Education France, Paris, 2010

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Sartre Studies International, Jan 1, 2009

In Being and Nothingness, Sartre explains that being-in-itself is transphenomenal and becomes a p... more In Being and Nothingness, Sartre explains that being-in-itself is transphenomenal and becomes a phenomenon only through the process by which consciousness qualifies itself as its negation. Thus, there can be no phenomenon except as the object that consciousness (consciously) negates. This ontology of phenomena proves contradictory because one does not understand how consciousness can negate what does not appear to it, especially if it needs to do so as an existentialist freedom, which has to choose (in terms of phenomena) the end towards which it negates being. Sartre's theory of facticity as 'body' then comes as an alternative conception of phenomena, answering these problems by ultimately tending to present being-in-itself as a non-objective, hence non-conscious, phenomenon. Intentional consciousness thus becomes a transcendental condition for objectivity only and not for phenomenality in general.

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