Eric Bertrand | Université Lyon (original) (raw)

Papers by Eric Bertrand

La mosaïque en contexte. XVe Colloque de l'Association Internationale pour l'Etude de la Mosaïque Antique, 2024

The southern districts of the Lugdunum peninsula have provided, mainly during the 19th century, m... more The southern districts of the Lugdunum peninsula have provided, mainly during the 19th century, mosaics which constitute an important and remarkable part of the Lyon corpus. These discoveries, unfortunately decontextualised, have largely contributed to the residential characterisation of this ancient district of the city. Two recent preventive archaeological excavations directed by the Archaeological Service of the City of Lyon (Place Ampère and Rue Jarente) have brought to light new pavements which once again enrich this heritage. For the first time, these pavements have been uncovered with a stratigraphic study and positioned in an architectural environment that explains more precisely the nature of the settlement of this land between the Rhône and the Saône rivers.

L’Atlas topographique de Lugdunum présente les résultats de l’ensemble des fouilles et des découv... more L’Atlas topographique de Lugdunum présente les résultats de l’ensemble des fouilles et des découvertes archéologiques qui ont été réalisées sur le territoire de la Ville de Lyon, de l’origine des recherches jusqu’à aujourd’hui. Depuis la fin des années 1970, plus de 900 opérations archéologiques, toutes périodes confondues, ont été mises en oeuvre sur le territoire de la Ville. Dans leur très grande majorité, elles l’ont été dans le cadre de l’archéologie préventive, préalablement à des travaux publics ou privés. Il est donc essentiel de renouveler l’état des connaissances fourni par les ouvrages de synthèse anciens et de dresser un bilan qui permette de réactualiser l’image de la ville antique et d’orienter les recherches archéologiques selon des problématiques nouvelles. L’expérience lancée en Narbonnaise par le programme collectif de recherches « Atlas des villes de Gaule méridionale» a fourni la méthode et l’Atlas de Lugdunum en a repris le modèle et les normes éditoriales.
La colonie de Lugdunum a été fondée en 43 av. J.-C. par Lucius Munatius Plancus, afin de rassembler les colons chassés de Vienne en Narbonnaise par les Allobroges. C’est chez les Ségusiaves que fut prélevé le territoire destiné à cette fondation. La nouvelle colonie, dotée du droit romain, prit le nom de Colonia Copia Felix Munatia, dénomination qui changera au fil du temps. Lugdunum vit sa prospérité grandir sous le principat d’Auguste, qui en fit une sorte de capitale des Trois Gaules, alors qu’administrativement,
elle n’était que celle de la Celtique.
L’Atlas de Lugdunum présente l’ensemble des vestiges mis au jour, par thème, du milieu du Ier siècle av. J.-C. jusqu’aux IVe-Ve siècles ap. J.-C. Il est organisé en plusieurs parties : la première présente les données de fouilles telles que les fouilleurs et les inventeurs
des vestiges les ont interprétées à l’époque des découvertes ; la seconde partie consiste en une réinterprétation de ces résultats à la lumière des connaissances d’aujourd’hui. Cette seconde partie est le fruit de la réflexion collégiale apportée par l’ensemble des
29 chercheurs issus des diverses institutions archéologiques impliquées dans le programme de recherche (Service archéologique de la Ville de Lyon, Universités, CNRS, ENS, Inrap, Lugdunum – Musée & théâtres romains, Musée des Beaux-Arts, ministère de la Culture – DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, chercheurs, bénévoles…). Des textes d’introduction traitent de la ville antique dans sa globalité : la géomorphologie et la topographie des quartiers fluviaux, l’occupation protohistorique, l’apport des textes anciens qui concernent le sanctuaire fédéral, l’autel ad confluentem et l’amphithéâtre des Trois Gaules. Des synthèses thématiques font le point sur les principaux apports à la connaissance : l’épigraphie, l’hydraulique, l’habitat, le franchissement des cours d’eau, le réseau viaire, le commerce et l’artisanat, la numismatique. Une cartographie au 1/1 000, sur le fond cadastral géoréférencé de la Métropole de Lyon, présente l’organisation topographique très précise des vestiges par secteurs. Des plans de synthèse au 1/5 000 reprennent la cartographie de l’ensemble des vestiges. C’est la période du milieu du Ier siècle jusqu’au IIIe siècle ap. J.-C qui a été retenue pour la cartographie générale des vestiges car elle correspond, pour Lugdunum, à une phase d’expansion maximale de la ville antique dotée de l’ensemble de ses équipements publics : amphithéâtre, théâtre, odéon, hippodrome, sanctuaires, thermes… L’emprise de l’aire urbanisée de la cité à cette période représente près de 400 hectares. Une abondante iconographie (près de 800 illustrations) accompagne l’ensemble des textes, sous forme de photographies, de cartographies de détails et de plans à différentes échelles. Entre autres, les Archives de Lyon, les Archives départementales, la Bibliothèque municipale et les principaux musées de la Ville ont été sollicités.
L’Atlas topographique de Lugdunum est organisé en plusieurs volumes. Le premier volume est consacré à Fourvière, la ville haute, siège de la colonie fondée par Plancus. Ce second volume traite de la ville basse, de la Croix-Rousse, de la presqu’île et des quartiers fluviaux. L’emprise présentée par le volume II couvre environ 300 hectares et comprend vingt-neuf feuilles au 1/1 000 et une feuille
au 1/2 000, dont certaines comportent plusieurs états. Sa chronologie va de la fondation de la colonie en 43 av. J.-C. à l’abandon de la ville, vers la fin du IIIe siècle – début IVe siècle ap. J.-C.

Gallia, 2023

Abstract. Road works carried out in 2018 on the site of the arches of the Gier aqueduct, on rue R... more Abstract. Road works carried out in 2018 on the site of the arches
of the Gier aqueduct, on rue Roger-Radisson in Lyon, required the
implementation of an emergency archaeological operation. The excavations
carried out around the last pier, partially preserved in the foundations
of a house, revealed the unusual design of this construction.
The pier incorporates older masonry into the foundation, overhangs
the alignment of the previous piers and is extended by a simple wall,
the reticulated facing of which is unmistakably linked with the aqueduct.
The discovery of these structures and the examination of the
18th century record by G. M. Delorme, compared with excavation
data, reopens the question of the route of the aqueduct at its point
of entry into the monumental centre of Lugdunum.

Sfécag, Actes du Congrès d'Hyères, 2023

Revue Archéologique de l'Est, 71, 2022

Archéologie Médiévale, 50, 2020

Eclats Arvernes, 2021

L'empereur régnant, et sa famille, sont représentés ou mentionnés sur des dédicaces provenant d'é... more L'empereur régnant, et sa famille, sont représentés ou mentionnés sur des dédicaces provenant d'édifices publics ou de sanctuaires, voire sur certaines marques relevées dans des ateliers de potiers, qui rendent visible l'intervention de Rome. Les anthroponymes de quelques Arvernes nous sont parvenus, "célèbres" parce qu'ils ont connu une carrière particulière, politique, religieuse ou militaire. Le pays arverne a abrité d'importants centres de production de terre cuite, et ce sont les noms de plusieurs centaines d'artisans, fabricants de vaisselle, ou de terre cuite architecturale (tuiles), qui pourtant ne bénéficiaient pas d'une grande considération durant l'Antiquité, qui ont été préservés, imprimés dans l'argile. Mais surtout, les objets archéologiques sélectionnées fournissent les preuves matérielles permettant de renseigner divers aspects de la vie quotidienne. Dans le domaine de l'habillement, c'est dans la nécropole des Martres-de-Veyre qu'a été mise au jour la tenue vestimentaire la plus complète connue dans les provinces septentrionales de l'Empire romain. En outre, à Clermont-Ferrand, les fouilles ont livré des restes spectaculaires de plusieurs modèles de chaussures (calcei et solea). Des bijoux exceptionnels (par exemple des bagues), le lot de miroirs du musée Bargoin à Clermont-Ferrand, des restes supposés de cosmétiques au fond de vases permettent d'aborder le domaine de la parure et de la toilette. Les récipients en terre cuite, qu'il s'agisse des aliments consommés, fabriqués sur place (beurre, pain, châtaignes…) dans des vases particuliers, ou de produits importés dans des contenants spécifiques (huile, vin), témoignent des habitudes alimentaires et laissent deviner parfois des recettes de cuisine romaines ou indigènes. Certains récipients constituent des spécialités des potiers arvernes, dont quelques-unes sont des productions de masse qui ont inondé la Gaule et plusieurs régions de l'Empire romain. L'équipement et le décor (peintures murales) de lieux publics ou privés ou d'établissements ouverts au public (auberge) sont également bien représentés (ameublement avec un pied de mensa tripedes, fontaines). Les lieux de culte ont laissé d'intéressants témoignages, qu'il s'agisse de statuaire (en pierre, ou en bois comme à Chamalières), d'inscriptions, d'offrandes particulières (telles les feuilles en argent de Vichy ou les empreintes monétaires de Chamalières) permettant de connaître le nom des divinités honorées, indigènes, ou issues du monde romain ou oriental, mais également d'apporter des informations nouvelles sur les pratiques religieuses, aussi bien dans des édifices privés que publics. Le lecteur pourra également découvrir les résultats d'une enquête portant sur les remplois antiques dans les bâtiments médiévaux, qui incitent à soupçonner la présence d'édifices ou de monuments gallo-romains oubliés ou mal localisés. Enfin, les nouvelles technologies mises au service de l'archéologie viennent compléter la connaissance de l'organisation du territoire, comme le montrent les levés Lidar mis en oeuvre dans la chaîne des Puys ou dans la forêt de la Comté. Le titre retenu par les directeurs de la publication Philippe Bet et Bertrand Dousteyssier, Éclats arvernes, peut s'entendre au sens de "fragments détachés" ou bien de "ce qui brille, ce qui est étonnant". Il correspond au contenu offert dans cet ouvrage, admirablement illustré, grâce à un choix de mobilier spectaculaire, qui tente de restituer des bribes de la vie du peuple des Arvernes durant l'Antiquité. Ce beau livre constitue une invitation au voyage au sein de l'Auvergne romaine.

Vix et le phénomène princiers, 2021

Le site de Lyon et ses céramiques importées à La fin du Vi e s. et au V e s. a.c. : marqueurs de ... more Le site de Lyon et ses céramiques importées à La fin du Vi e s. et au V e s. a.c. : marqueurs de circuits commerciaux, indices de mixité ethnique et de mutations socio-cuLtureLLes Stéphane Carrara aveC leS ContributionS d'ériC bertrand, ClémenCe mège, guillaume maza le Site de lyon à la fin du vi e S. et au v e S. p.C. : élémentS de SynthèSe Vestiges, organisation et caractéristiques du site En l'état actuel des données, l'occupation de Lyon-Vaise, localisée dans la plaine du même nom, apparaît comme un habitat aggloméré, ouvert et étendu, dont les caractéristiques reconnues montrent une organisation qualifiée de "proto-urbaine" ou "d'atélo-urbaine" (Brun & Chaume 2013). Les vestiges, reconnus sur une quarantaine d'opérations d'archéologie préventive, se répartissent sur environ 300 ha 1 et présentent une zone plus dense dans la partie sud de la plaine, sur une surface de plus de 70 ha (Fig. 1). Cependant, les nouvelles découvertes à l'extrémité nord de la plaine semblent confirmer l'extension de l'agglomération ou la présence d'un second pôle d'activité dans ce secteur.

La datation des contextes archéologiques dans le sud-est de la Gaule (IIe-IIIe s. apr. J.-C.), 2021

Sfecag, Actes du congrès de Lyon, 2020

Revue Archéologique de l'Est, 2018

Plusieurs fouilles récentes menées sur l'extrémité méridionale de la presqu'île historique de la ... more Plusieurs fouilles récentes menées sur l'extrémité méridionale de la presqu'île historique de la ville de Lyon apportent des données nouvelles sur la nature de l'occupation de cette partie de l'agglomération antique. Les vestiges mis au jour et les études céra-mologiques associées réunissent de nouveaux arguments pour caractériser plus précisément l'activité commerciale et résidentielle de ce quartier. Ces éléments directs et indirects éclairent la façon dont la ville a su se protéger et s'accommoder d'un paysage fluvial à la fois menaçant pour son extension et favorable aux échanges économiques. Abstract Several recent excavations at the southern tip of the historic peninsula of the city of Lyon contribute new data on the nature of the occupation of this part of the Antique agglomeration. The remains discovered, and the associated ceramic analyses, enable a more precise characterization of the trade and residential activities of this quarter. These direct and indirect elements shed light on the manner in which the city accommodated and protected itself from a river landscape that was both threatening due to its extension and favorable due to the economic trade it enabled. Zusammenfassung Mehrere kürzlich im äußersten Süden der historischen Halbinsel Lyons durchgeführte Ausgrabungen liefern neue Informationen zur Besiedlung dieses Teils der antiken Ortschaft. Die archäologischen Befunde und Keramikstudien ermöglichen es, die unterschiedlichen Aktivitäten in den Bereichen Handel und Siedlungswesen besser zu verstehen. Diese direkten und indirekten Informationen lassen erkennen, wie die damaligen Bewohner der Stadt eine Flusslandschaft nutzten, die einerseits die Ausdehnung des Siedlungsraumes bedrohte und andererseits die Handelsbeziehungen begünstigte.

Revue Archéologique de l'Est, 2018

Aux découvertes exceptionnelles réalisées en 2014 lors des fouilles de la place Abbé Larue à Lyon... more Aux découvertes exceptionnelles réalisées en 2014 lors des fouilles de la place Abbé Larue à Lyon (murus gallicus, enceinte romaine, fresques antiques in situ), il faut ajouter un ensemble clos de vaisselle daté de l'époque moderne. Des céramiques communes grises employées en cuisine, à la faïence lyonnaise ou importée d'Italie, le remontage des vases brisés et rejetés pêle-mêle illustre de manière détaillée le répertoire de la vaisselle de terre en usage durant les dernières années du xvi e siècle. La particularité de ce mobilier céramique, abondant et homogène, est le recours très récurrent à différentes productions portant une glaçure verte qui semble alors colorer la table. Un riche ensemble de verrerie (verres, gobelets et bouteilles) accompagne la céramique et complète cet assortiment de vaisselle lyonnaise de la fin de la Renaissance. Abstract The exceptional discoveries made in 2014 during excavations of the Abbé Larue square in Lyon (murus gallicus, Roman fortification, in situ Antique frescoes), have been joined by a vessel assemblage dating to the early modern period. From the common gray vessels used in the kitchen, to the faience of Lyon or imported from Italy, conjoins of broken and randomly discarded vases provide a detailed picture of the earthenware vessels used during the latter years of the 16 th century. The particularity of these abundant and homogeneous ceramic vessels is the frequent recurrence of various productions with a green glaze that appears to have colored the table. A rich assemblage of glassware (glasses, goblets, bottles) accompanies the ceramics and complements this assortment of Lyon Faience from the end of the Renaissance period. Zusammenfassung Zu den außerordentlichen Entdeckungen, die 2014 bei den Ausgrabungen auf dem Place Abbé Larue in Lyon gemacht wurden (murus gallicus, römische Stadtmauer, in situ gefundene antike Fresken), kommt nun ein neuzeitliches geschlossenes Keramikensemble : graue Gebrauchsware, die vorwiegend in der Küche Verwendung fand, und in Lyon selbst hergestellte oder aus Italien importierte Fayence. Die Rekonstruktion der zerbrochenen und entsorgten Gefäße illustriert im Detail das Repertoire des Tongeschirrs, das in den letzten Jahren des 16. Jh. in Gebrauch war. Auffallend an dieser umfangreichen und homogenen Keramik ist die allgegenwärtige grüne Glasur, die damals auf dem Tisch die vorherrschende Farbe gewesen sein muss. Neben der Keramik wurden zahlreiche Glasgefäße (Kelchgläser, Becher und Flaschen) gefunden, die dieses Geschirrsortiment aus dem Lyon der Spätrenaissance ergänzen.

Instrumentum, 48, 2018

Articles p. 12-Le coutre de menuisier La Tène moyenne d'Ymonville "Les Hyèbles" (Eure-et-Loir, FR... more Articles p. 12-Le coutre de menuisier La Tène moyenne d'Ymonville "Les Hyèbles" (Eure-et-Loir, FR) : un témoignage de la fabrication de tonneaux ? p. 13-Restitution d'un instrument culinaire en terre cuite découvert à Lyon (Rhône, FR) p. 15-Une applique à décor argenté découverte anciennement à Bavay (Nord, FR) p. 18-Glass square double bottle from Archaeological Museum of Istria p. 20-Lests de soupapes de pompes romaines p. 22-Fragment of Lorica Squamata from Augusta Emerita (Mérida, ES) p. 23-À la charnière du Bas-Empire et du haut Moyen Âge : vaisselle en verre du V e s. ap. J.-C. à Port-la-Nouvelle (Aude, FR) p. 25-Ancora su alcune terrecotte di soggetto cristiano da Magliano Sabina (RI), località Murella p. 27-Alcune osservazioni sui chiodi per ferratura in uso nel Medioevo p. 31-Arveyres (Gironde, FR) : applique de harnais à décor anthropomorphe

Lugdunum et ses campagnes. Actualité de la recherche (Archéologie et Histoire Romaine 38), 2018

Revue Archéologique de l'est, 2017

Une coupe antique en céramique sigillée (type Drag. 29b) provenant d’une fouille récente réalisée... more Une coupe antique en céramique sigillée (type Drag. 29b) provenant d’une fouille récente réalisée dans la presqu’île lyonnaise
portait un décor végétal suffisamment détaillé pour qu’il soit soumis à des spécialistes de la botanique. L’identification de l’agripaume
(Leonurus cardiaca L.), plante médicinale connue au moins depuis l’Antiquité, est une occasion de faire le point sur les usages et les
attestations carpologiques de cette espèce. Mais aussi de s’interroger sur le caractère exceptionnel de cette représentation naturaliste.

Bulletin de Liaison de l'Afam, 2017

Revue Archéologique de l'Est, 2016

Résumé Auteur principal : Emmanuel Bernot. De récentes fouilles archéologiques menées dans le c... more Résumé
Auteur principal : Emmanuel Bernot. De récentes fouilles archéologiques menées dans le cadre de la reconversion du clos de l’Antiquaille, à Lyon, tant en sous-sol que sur le bâti, ont permis de mettre en lumière la conﬁguration des terrasses romaines aménagées sur le versant oriental de la colline de Fourvière. Bordées par des rues antiques au nord et à l’ouest, ces terrasses sont retenues, à l’est, par un imposant mur de soutènement à l’architecture complexe. Ces aménagements, indispensables à l’urbanisation et au développement de la ville antique sur les pentes, ont durablement marqué le paysage et ont été intégrés dans les soubassements de plusieurs constructions modernes.

Peintures et stucs d'époque romaine. Un archéologie du décor, 2016

Abécédaire pour un archéologue lyonnais, mélanges offerts à Armand Desbat, Aug 2015

Tourner autour du pot… Les ateliers de potiers médiévaux du Ve au XIIe siècle dans l'espace européen, Caen, PUC (publications du CRAHAM) sous la direction de F. Thuillier et E. Louis, p. 307-315, 2015

Le four de potier mis au jour en 2007 sur le site de la rue des Tuileries à Vaise reste à ce jour... more Le four de potier mis au jour en 2007 sur le site de la rue des Tuileries à Vaise reste à ce jour l’unique structure de cuisson de céramiques médiévales découverte à Lyon. Isolé et arasé, le four est de conception simple avec une chambre de chauffe dépourvue de sole suspendue. Celle-ci était comblée par les résidus d’une probable dernière cuisson avortée. Le remontage du mobilier a permis le dénombrement de 55 vases répartis sur quelques types dominés par les oules (portant pour certaines des anses rubanées opposées) et les cruches à bec ponté. Une quinzaine de tuiles, parfois dotées de crochets, étaient mêlées aux céramiques. L’analyse typologique du matériel, appuyée par une datation radiocarbone, positionne cette production entre le milieu du XIe et le milieu du XIIe siècle.

La mosaïque en contexte. XVe Colloque de l'Association Internationale pour l'Etude de la Mosaïque Antique, 2024

Gallia, 2023

Sfécag, Actes du Congrès d'Hyères, 2023

Revue Archéologique de l'Est, 71, 2022

Archéologie Médiévale, 50, 2020

Eclats Arvernes, 2021

Vix et le phénomène princiers, 2021

La datation des contextes archéologiques dans le sud-est de la Gaule (IIe-IIIe s. apr. J.-C.), 2021

Sfecag, Actes du congrès de Lyon, 2020

Revue Archéologique de l'Est, 2018

Instrumentum, 48, 2018

Lugdunum et ses campagnes. Actualité de la recherche (Archéologie et Histoire Romaine 38), 2018

Revue Archéologique de l'est, 2017

Bulletin de Liaison de l'Afam, 2017

Revue Archéologique de l'Est, 2016

Peintures et stucs d'époque romaine. Un archéologie du décor, 2016

Abécédaire pour un archéologue lyonnais, mélanges offerts à Armand Desbat, Aug 2015

Les aqueducs romains de Lyon. Un cas d’étude unique pour la connaissance de l’hydraulique dans l’Antiquité, 2020

Documentaire diffusé le 08/06/23 à 21h03 Disponible jusqu'au 15/12/23 L'image du légionnaire ... more Documentaire diffusé le 08/06/23 à 21h03 Disponible jusqu'au 15/12/23

L'image du légionnaire romain est bien souvent très stéréotypée et superficielle, se limitant à la figure du combattant intrépide, efficace et discipliné. Associé à la puissance conquérante de Rome, il se voit réduit à son activité guerrière. Des objets ainsi que des correspondances mis au jour sur les sites des anciennes garnisons romaines, comme Vindolanda au nord de l'Angleterre ou la colline de Fourvière, à Lyon, apportent un éclairage nouveau sur la vie quotidienne de leurs occupants. Progressivement se dessine un portrait plus intime, plus humain, du légionnaire romain, hors des champs de bataille.

Réalisé par : Pierre-François Gaudry

Maison de production : Mona Lisa Production / Wide Studios / France Télévisions

La céramique romaine en Gaule du nord. Dictionnaire des céramiques. La vaisselle à large diffusion, 2010

Pl. 65-Mobilier lapidaire antique. 1 et 2 : plaques fragmentaires d'opus sectile en marbre gris (... more Pl. 65-Mobilier lapidaire antique. 1 et 2 : plaques fragmentaires d'opus sectile en marbre gris (1 : bardiglio , 2 : breccia corallina) ; 3 à 6 : éléments d'architecture moulurés en calcaire oolithique (pierre de Lucenay), échelle 1/4. Pl.-Ossements de faune-taphonomie, découpes, lièvre. Pl.-Ossements de chats et de chiens, us 229, milieu VIIe-VIIIe siècles. Pl.-Enduits peints des us 7, 403 et 326. Pl.-Coupe stratigraphique est-ouest, côté nord. Pl.-Coupe stratigraphique est-ouest, côté nord. Pl.-Coupe stratigraphique sud-nord, côté est. Pl.-Coupe stratigraphique sud-nord, côté est. Pl.-Coupe stratigraphique sud-nord, côté ouest. Pl.-Coupes stratigraphiques est-ouest et sud-nord de la zone sud. Pl.-Les amphores du fossé FO 495.

Projet d'intervention 3/5 Epoque moderne : Sur le cadastre napoléonien la zone reste vierge de co... more Projet d'intervention 3/5 Epoque moderne : Sur le cadastre napoléonien la zone reste vierge de construction. La place Colbert est ouverte dès 1826 dans la cadre de la reconversion du clos des Bernardines. En 1830, six rues sont ouvertes dans le clos voisin des Collinettes, à l'est de la place Colbert et de la montée SaintǦSébastien. L'église SaintǦBernard est construite en 1857 et consacrée en 1866. 5. MODE OPERATOIRE ENVISAGE 5.1. Sondages Le projet d'aménagement consiste en une série d'aménagements intérieurs et la mise en place d'un escalier extérieur pour monter à l'église depuis la place Colbert. Le diagnostic consistera en la réalisation de 9 sondages, répartis comme suit : à l'intérieur du bâtiment : 6 tranchées de 10 X 1,2 m de large 2 sondages de 3 X 3 m à l'extérieur du bâtiment, devant la façade sud : 1 sondage de 3 X 3 m. Le talus constituant la partie sud du terrain, au-delà du parvis sud, en forte pente et où les travaux prévus ne consistent qu'en un aménagement paysager simple, sans atteinte au sous-sol, ne fera l'objet d'aucun sondage. L'aménagement consistant en un décaissement de 0,80 à 1 m de profondeur pour installer un radier, la profondeur des sondages ne dépassera pas 1,30 m. L'ensemble des excavations permettra d'ouvrir un total de 96 m 2 soit 6,3% de la surface concernée par les travaux d'aménagement. 5.2. Moyens techniques La durée totale du diagnostic est de 10 jours sur le terrain, avec une équipe de 2 archéologues, accompagnés par 2 spécialistes (topographe, géomorphologue) intervenant ponctuellement. Ces sondages pourront être élargis ou déplacés sur décision du responsable d'opération ou à la demande du Service Régional de l'Archéologie. Les sondages seront menés à l'aide d'une mini-pelle mécanique chenillée (entre 800 kg et 1,5 tonne) équipée d'un godet lisse orientable en mode rétro. 5.3. Relevés et analyses L'ensemble des structures dégagées fera l'objet d'un relevé graphique et photographique, en plan et en élévation pour les maçonneries. Les coupes stratigraphiques feront l'objet d'un enregistrement graphique ou d'un log. On envisage, si besoin, de faire effectuer par un laboratoire spécialisé, à des fins de datation, des analyses C14 sur les éventuels prélèvements de charbon de bois ou de végétaux.

Diogène avait été invité à manger chez un riche particulier. Il s'aperçut que cet homme, extrêmem... more Diogène avait été invité à manger chez un riche particulier. Il s'aperçut que cet homme, extrêmement négligé dans son extérieur, portait toute son application à décorer sa maison avec un lustre et une propreté affectés. Il se sent une envie de cracher ; il promène les yeux de tous côtés, cherchant une place où il pût le faire sans rien gâter ; il n'en voit point d'autre que la personne même de son hôte ; il se débarrasse sur lui. Celui-ci, indigné d'une telle insulte, demande compte à Diogène d'une conduite si déplacée. C'est, répond notre philosophe, ce qu'il y a de plus sale dans votre maison. On n'y voit partout sur les murs et sur les planchers que mosaïques admirables qui retracent aux yeux des spectateurs les actions des dieux … Je ne pouvais ailleurs que sur vous, qui êtes si malpropre, de quoi me mettre à l'aise. » Gallien, Exhortation à la culture des Beaux-Arts, cité par Le Vieil (M.), Essai sur la peinture en mosaïque, Paris, 1768. PAGE 4 SERVICE ARCHEOLOGIQUE DE LA VILLE DE LYON 10, rue Neyret 69001 Lyon téléphone 04 72 00 12 12 5. BIBLIOGRAPHIE 117 5.1. Publications 117 5.2. Rapports d'opérations 123 5.3. Travaux universitaires 124 6. INVENTAIRES ET ANNEXES 125 6.1. Unités stratigraphiques 126 6.2. Faits archéologiques 130 6.3. La céramique 132 6.4. Le verre 136 6.5. Numismatique 136 6.6. Instrumentum 137 6.7. Lapidaire 140 6.8. Prélèvements de mortier 151 6.9. Faune 151 6.10. Documentation graphique 152 6.11. Documentation graphique numérique 153 6.12. Documentation photographique 155 6.13. Documentation écrite 175 6.14. Documentation écrite numérique 175 7. ILLUSTRATIONS 176 7.1. Liste des figures 176 7.2. Liste des planches 177 PLANCHES 181 SERVICE ARCHEOLOGIQUE DE LA VILLE DE LYON 10, rue Neyret 69001 Lyon téléphone 04 72 00 12 12 PAGE 5 Fiche signalétique Région : Région Rhône-Alpes Département : Rhône Commune : Lyon, 2 e arrondissement Adresse : 46, rue Victor Hugo / place Ampère Coordonnées Lambert 93 CC46 centroïde : X : 1 842 288,830 Y : 5 174 216,154 Altitude NGF : 168,27 à 162,91 m NGF Cadastre actuel : Parcelle AT 25 et domaine public Surface d'emprise du projet : 80 m 2 Surface étudiée : 80 m 2

Photo de couverture ©Studio Erick Saillet SERVICE ARCHEOLOGIQUE DE LA VILLE DE LYON 10, rue Neyre... more Photo de couverture ©Studio Erick Saillet SERVICE ARCHEOLOGIQUE DE LA VILLE DE LYON 10, rue Neyret 69001 Lyon téléphone 04 72 00 12 12 PAGE 187 quoi qu'il en soit en évidence une importante anthropisation. On observe en effet une grande quantité de tessons (notamment dans les US 1012 et 1014, formant des lentilles sableuses plus grossières) dont la présence ne peut être justifiée par un écoulement naturel à relativement faible énergie. Cela atteste que le dépôt de ces unités est contemporain de certaines périodes d'occupation du site. L'hypothèse d'une double formation (naturelle, puis remaniée par l'action anthropique) du chenal pourrait contribuer à expliquer l'aspect irrégulier des berges, particulièrement visible sur la coupe 61 : certaines formes de part et d'autre du chenal (US 1084) pourraient être des résidus d'un premier fonctionnement naturel avant la réouverture artificielle du chenal. Hypothèse 2 Le chenal pourrait être entièrement anthropique (fossé). Cela pourrait expliquer la forme du chenal, très nettement découpé dans la stratigraphie, et son incision dans le banc de galets. Un talweg préexistant dans le banc de galets n'est pas nécessaire. Les dépressions observées dans le banc de galets peuvent en effet être de nature anthropique. Plusieurs fossés entaillant le banc de galets ont été relevés dans la partie est du chantier : US 947, 736, 737, 740... De même, l'occurrence d'événements hydrauliques particuliers (écoulements à forte énergie) n'est pas nécessaire pour justifier un éventuel surcreusement des dépôts. L'éventuelle nature totalement artificielle du fossé ne remet pas en question l'existence d'un écoulement, soit opportuniste en période de crue, soit délibérément recherché. 3.1.1.3. Scellement final du paléochenal Le fossé / chenal aurait ensuite été scellé artificiellement à la fin du IV e siècle ou au début du V e siècle par un niveau de sol anthropique recouvrant le chenal (US 666/683). La condamnation du chenal peut avoir eu plusieurs causes : l'exhaussement progressif du terrain de part et d'autre du fossé suite aux apports des crues et aux occupations successives, couplé au colmatage progressif du fossé, a pu rendre son entretien de plus en plus malaisé. Une modification de l'usage des sols a pu nécessiter le remblaiement pour nivellement de la zone. Enfin, la fréquence et/ou l'intensité des crues a pu diminuer, réduisant l'intérêt d'un fossé créé pour drainer les eaux de débordement. PAGE 188 SERVICE ARCHEOLOGIQUE DE LA VILLE DE LYON 10, rue Neyret 69001 Lyon téléphone 04 72 00 12 12 3.1.1.4. Fonction du paléochenal L'hypothèse d'une intervention anthropique (creusement ex nihilo du chenal, ou aménagement d'une forme naturelle préexistante) semble très probable. Par conséquent, il convient de s'interroger sur la finalité de cet aménagement. Le fossé/canal pourrait avoir fonctionné, au moins durant un temps, avec la voie parallèle à ce dernier. Le chenal, même en partant de l'hypothèse d'une origine naturelle, a pu avoir, pour les riverains, un impact positif, de drainage/canalisation naturelle des crues du Rhône. Cela peut expliquer ce qui semble avoir été une volonté de maintenir en activité cette forme. Dans l'hypothèse d'une construction totalement anthropique, cette fonction de canalisation semble la plus probable. 3.2. Analyse stratigraphique des terres noires (S. Gaillot, C. Ducourthial, H. Tronchère) Des niveaux terreux, massifs, pas à très peu anthropisés, homogènement noirâtres (pl. 67) ou évoluant progressivement d'un brun assez clair -à leur base -à un brun très sombre -à leur sommet (pl. 68), ont été observés sur la quasi-totalité de l'emprise du chantier 11 . Ils ne sont absents que du secteur sud-ouest (rue Bellecordière), comme on le voit sur le plan d'extension que nous proposons (pl. 69). Ces niveaux apparaissent aux alentours de 164,00 m NGF à l'ouest (US 1658 en minute 102, pl. 44) et 164,20 à 164,40 m NGF à l'est, et culminent vers 165,80 et 166 m NGF. Ils ont une épaisseur moyenne de l'ordre de 1,50 m à 1,70 m.

Bibliographie 46 Planches 48 Annexe : inventaire 68 1. DESCRIPTION ET ENVIRONNEMENT STRATIGRAPHIQ... more Bibliographie 46 Planches 48 Annexe : inventaire 68 1. DESCRIPTION ET ENVIRONNEMENT STRATIGRAPHIQUE DE L'US 387. Le dépotoir 387 était situé en bordure méridionale de l'emprise de l'opération, dans une zone fortement perturbée dans ses niveaux supérieurs par les installations de chauffage du théâtre. L'US 387 s'appuyait contre le mur 140 du couvent des Célestins limitant au nord l'espace du bûcher (fig. 1) ; elle était interrompue à l'ouest par le mur du cloître et ses reprises (328/280). À l'est, les limites de la fouille dissimulaient l'étendue complète du dépotoir. Du côté sud la couche était amputée sur toute sa longueur par le creusement d'une tranchée (US 388) destinée à la pose d'un revêtement sur le mur 137. Plusieurs couches (US 277-278-279) chargées en mortier recouvraient l'US 387, elles doivent être mises en relation avec le piquage du mur 137 et la pose de l'enduit (fig. 2). Sous ces niveaux, le dépotoir formait une mince couche richement chargée de tessons de céramique, de verre et d'ossements animaux. Certains vases brisés en place, et les restes osseux montrant des connexions anatomiques évoquent clairement un dépôt primaire. L'ensemble formait un lit de déchets répartis régulièrement sur quelques centimètres d'épaisseur entre les altitudes de 164,31 m et 164,35 m. Le plan du couvent au milieu du XVIII e siècle (fig. 3) permet de situer le dépotoir dans un espace mitoyen du réfectoire et voisin de la cuisine. FIG.1 -Plan des structures du couvent des Célestins fouillées sous la scène du Théâtre (éch. 1/135 e ), localisation du dépotoir 387. 7 FIG. 2 -Extrait du diagramme stratigraphique général, environnement stratigraphique de l'US 387. FIG. 3 -Emplacement du bûcher dans le couvent des Célestins, extrait du plan relevé par J. C. Peccolet en juin 1750 (bibliothèque municipale de la ville de Lyon, Ms Coste 263, tome 2, p. 222-223). 8 2. ETUDE CERAMOLOGIQUE 2.1 Protocole méthodologique La fragmentation du matériel céramique a nécessité un travail de recollage relativement exhaustif pour la restitution des formes et des décors, la séparation des individus, le rapprochement des décors marginaux et centraux, et la quantification de l'ensemble. L'amputation du dépôt par une tranchée et les conditions de fouilles expliquent toutefois de nombreuses lacunes dans les vases complets, la reconstruction partielle de certaines formes, et la présence de tessons non-attribués. Cette phase préparatoire était indispensable à l'élaboration d'un inventaire global (cf. annexe) visant à restituer au plus près le contenu réel du dépotoir. Cet inventaire est descriptif et quantitatif. Traitées en premier, les céramiques culinaires glaçurées ont été inventoriées suivant les classes définies par les auteurs du DARA 12 1 : Classe Pâte Système décoratif Aires de productions G Réduite G1 Réduite Glaçure sans engobe R Siliceuse R1 Siliceuse Glaçure sans engobe B1 Kaolinitique Glaçure verte sans engobe « service vert » Meillonnas-Treffort B2 Kaolinitique Glaçure jaune sans engobe « service jaune » Larnage B3 Kaolinitique Glaçure jaune sans engobe E1 Oxydée Glaçure verte sur engobe blanc E2 Oxydée 9

Arlaud Catherine, Bertrand Eric, Laubenheimer Fanette, Lurol Jean-Marc. Un vide sanitaire rue Chi... more Arlaud Catherine, Bertrand Eric, Laubenheimer Fanette, Lurol Jean-Marc. Un vide sanitaire rue Childebert, à Lyon. In: Les amphores en Gaule. II : Production et circulation. Besançon : Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, 1998. pp. 193-204. (Collection « ISTA », 705

Stage de formation à la lecture et à l'interprétation des chaînes opératoires céramiques, CNRS, UMR 5133 – ArchéOrient (antenne de Jalès), 2023

Stage de céramologie, céramiques antiques en Rhône-Alpes, 2015

Colloque La céramique lyonnaise de l'Antiquité à nos jours, 2024

Séminaire de protohistoire 6, 2023

Insolitus, contextes et usages peu ordinaires? ArAr UMR 5138 Journée d'étude Axe 2, 2023

IVe Réunion Régionale Scientifique et Technique, Inrap, Bron, 17 février 2020, 2020

ADLFI. Archéologie de la France - Informations, 2008

Augier et al. 2013 : AUGIER (L.), BALZER (I.), BARDEL (D.), BERTRAND (E.), DEFFRESSIGNE (S.), FLE... more Augier et al. 2013 : AUGIER (L.), BALZER (I.), BARDEL (D.), BERTRAND (E.), DEFFRESSIGNE (S.), FLEISCHER (F.), HAGMANN (S.), LANDOLT (M.), ROTH-ZEHNER (M.), SAUREL (M.), TAPPERT (C.), THIERRIN-MICHAEL (G.), TIKONOFF (N.), VAN ES (M.) — La céramique façonnée au tour, témoin privilégié de la diffusion des techniques au Hallstatt D et à La Tène A/B1. In : COLIN (A.), VERDIN (F.) (eds.) : L’âge du Fer en Aquitaine et ses marges. Mobilité des hommes, diffusion des idées, circulation des biens dans l’espace européen à l’âge du Fer. Actes du 35e Colloque International de l’AFEAF, Bordeaux 2-5 juin 2011, 2013, p. 563-594.

by Isabelle Bertrand, Kordula Gostencnik, Bastien Dubuis, Eric Bertrand, Laure DE CHAVAGNAC, Alka Starac, Stéphanie RAUX, Rafael Sabio González, Corinne Sanchez, Lucilla D'Alessandro, and Maurizio Buora

Bibliography, articles, Book reviews, Colloquiums, ...