Pour une critique des médias (original) (raw)
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Mouvements, 2010
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Où en est la critique des médias ?
Mouvements, 2010
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Narcisse au miroir des médias. Vers une critique de la critique
Le Temps des Médias, 38, 2022
Une introduction au numéro "Ego et Narcisse" du Temps des Médias (38, 2022), cet article examine la possibilité d'appliquer le concept de narcissisme aux études des médias, notamment en l'historisant. Il propose une recension critique et une archéologie de la notion et de celles qui l'ont précédé, tels "amour-propre".
Pour une séméiologie des médias
Signata n°2, Presses universitaires de Liège, 2011
Dans cet article François Jost revient sur les travaux sur la télévision qu’il publie depuis 20 ans et sur la relation qu’ils entretiennent avec la sémiologie. Il montre d’abord qu’une sémiologie des médias doit couper avec la tradition metzienne de la sémiologie du cinéma, et il s’interroge ensuite sur ce que le fait d’être médiatiques change aux textes. S’il ne peut y avoir de sémiotique des médias unifiée, l’approche pragmatique de la télévision impose de ne pas s’en tenir aux textes, mais de prendre en compte directement les genres et leurs trois interprétants que sont le monde réel, le monde fictif et le monde ludique. Il revient sur la communication télévisuelle en tant que telle et montre combien les notions de pacte et de contrat sont peu adaptées à son étude, lui préférant les concepts de promesses « ontologique » et « pragmatique ». Redoutant l’autarcie dont est parfois victime la sémiologie, il affirme enfin que le devoir du théoricien des médias est d’articuler leur signification à la société dans laquelle ils se développent. Il ne suffit pas de montrer comment se produit le sens, il faut aussi interroger sur son pourquoi. C’est ce que se propose de faire une séméiologie des médias plus attentive aux symptômes qu’aux signes.
La langue des médias, pourquoi la critiquer, comment la critiquer ?
Mouvements, 2010
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