Architecture, phiolosphie et science: ce qui est l'architecture (original) (raw)
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Architecture, philosophie et science
Et cliché considérer l'architecture comme un ensemble de formes et d'espaces représentant, généralement interprétées comme magnificence esthétique, ou des pensées abstraites géométriques, ou comme des entités formelles naturelles dans le sens de la comparaison avec la nature (biologique ou écologiquement durable ). La plupart (si ce ne est la quasi-totalité) des le représentations de l'architecture, dans les textes critiques ou descriptif des soi-disant «grand maîtres» ou des actuelles «archistar» , montrent en général ou "formes d'ensemble" des oeuvre architecturale, ou détails des solutions comme abris et balcons, sous diverses formes et solutions, sans aucune référence aux concepts d'utilisation de l'espace architectural et aux les typologie sous-jacent dérivés de concepts d'utilisation et du comportement. La critique du phénomène architectural se manifeste souvent par une enquête de police sur les intentions du projeteur et sur les méthodes (presque jamais exprimé par l'auteur) de projet et de conception formelle, généralement basées sur géométrique avec des références et des interprétations culturelles d'approche philosophique ou historique. La philosophie décrit et interprète l'architecture comme un ensemble formel (qui comprend également un interprétation mathématique), la science arrive en jeu dans la réalisation des espaces de l'architecture avec les déterminations structurelles, ou dans certaines analyses quantitatives des composants qui les concernent, par exemple, la taille et la répartition des fonctions. La science est visant comme un complément de l'architecture.
Guglielmo Thomas d'Agiout © 2006 Filosofia dell'Architettura CxC-Call for Comments, SWIF www.swif.it/cxc www.swif.it/biblioteca/cxc Résumé Ce texte est le résultat d'une réflexion interdisciplinaire qui tend à poser les bases d'une nouvelle conception de l'architecture, d'un nouveau paradigme architectural. À la lumière des transformations qui s'opèrent à un rythme de plus en plus rapide dans le monde scientifique, les secteurs du savoir classique doivent revoir leur structure et leur rôle. Dans ce contexte, pour retrouver son rôle et son sens culturel, l'architecture doit revoir sa place dans le processus de transformation des savoirs, envers lequel elle doit rendre compte. Autrement dit, pour ce faire, l'architecture doit rétablir les postulats de base et redéfinir son univers spécifique de discours. Auteur Diplômé en architecture dans les années 1970, il a enseigné dans les facultés d'architecture de Rome (Chaire de composition architecturale, 73-77) et de Naples (Institut de méthodologie architecturale, 82-83 et 2004) en tant que responsable de séminaires traitant d'architecture et sémiologie, représentation et logique du projet. Il est actuellement chercheur indépendant et participe depuis de nombreuses années à des recherches épistémologiques et cognitives sur l'architecture avec des recherches, actuellement en développement, sur les techniques d'IRMf visant à analyser la réponse du cerveau humain à l'architecture. Certaines thèses développées ont été présentées et publiées dans les actes finaux pertinents des conférences :-Pré-conférence mondiale pour le Sommet des Villes d'Istanbul et de Naples, 21-23 mars 1996 ;-Conférence internationale sur "Le projet architectural" promue par le Groupe National Universitaire d'Architecture CNR Rome 25,26,27 mai 1998 Note: Le texte est une révision de la contribution intitulée "Éléments pour une fondation scientifique de l'architecture" présentée lors de la conférence internationale d'études promue par le Groupe National d'Architecture du CNR sur le thème "Le projet architectural", tenue à Rome les 25 et 26 mai.. et 27, 1998 et publié dans les actes finaux de la conférence de Newton dans la série "i Grandi Manuali" sous le titre "Le projet architectural", Rome, 1999. Guglielmo Thomas d'Agiout © 2006 Philosophie de l'architecture (Filosofia dell'Architettura) CxC-Call for Comments, SWIF www.swif.it/cxc CxC-Calls for Comments est le service SWIF destiné à la discussion philosophique de textes acceptés pour présentation au public ou pour publication, tels que : textes de colloques et conférences ou déjà publiés ou imprimés. Les textes inédits ne sont donc pas pris en considération. Les commentaires courts qui parlent explicitement, d'un point de vue théorique et contenu, d'un texte disponible en ligne dans CxC sont également acceptés. Les simples notes explicatives, demandes de renseignements, notes sur la forme linguistique d'un texte, données bibliographiques et autres éléments similaires ne seront pas prises en considération et devront être adressées directement à l'auteur du texte en question. Pour insérer du texte, consultez les règles d'insertion : http://www.swif.it/biblioteca/cxc/add\_paper.php. L'utilisation de tout matériel sans l'autorisation des auteurs est interdite.
L’étude de la science architecturale
Cahiers du monde russe, 2006
Hollande, mais, puisqu'il y « avait des mauvais maîtres »-chez lesquels il n'apprend que la charpenterie et pas l'architecture-, il rejoint par la suite Korobov à Anvers, dans l'atelier de Baurscheit 9. Peu après, un troisième gentilhomme russe, Ivan Mi©urin, rejoint ses deux compatriotes 10. Malheureusement, nous ne disposons pas d'une motivation écrite qui argumente le choix du « maître célèbre le sieur Baurscheit qui enseigne l'art noble d'architecture (Òljahetskoe hudoÂestvo arhitektury) » 11. Les récits de 1717 du voyage de Pierre dans les Pays-Bas autrichiens ne font pas état d'une éventuelle rencontre entre le tsar et l'architecte. Nous ignorons si, lors de sa visite à l'hôtel de ville d'Anvers, Pierre a vu le buste de Philippe V d'Espagne, fait par l'artiste à Versailles en 1700 pour le compte de la ville. Toutefois, nous savons que Jan Peeter van Baurscheit père était l'architecte de la cour des Pays-Bas méridionaux et, puisque, de 1702 à 1747, les Pays-Bas septentrionaux se trouvaient pour la deuxième fois sans stathouder, Baurscheit était alors le seul à porter le titre d'architecte de cour dans l'ensemble des Anciens Pays-Bas. Le choix de Bauerscheit peut donc sembler évident. Le 11 octobre 1717 13 , à l'occasion de la joyeuse entrée de Charles VI d'Autriche comme quatrième duc de Brabant au nom de Charles, le ministre plénipotentiaire des Pays-Bas autrichiens, Hercule Joseph Louis Turinetti 14 , marquis de Prié, demanda à Jan Peeter van Baurscheit de concevoir et réaliser un projet 7.
Éditorial : l’architecture, objet d’histoire(s)
’atelier de la recherche. Annales d’histoire de l’architecture # 2020 et 2021 #, 2023
Marie Beauvalet et Éléonore Marantz, « Éditorial : l’architecture, objet d’histoire(s) », Éléonore Marantz (dir.), L’atelier de la recherche. Annales d’histoire de l’architecture # 2020 et 2021 #, travaux des jeunes chercheurs en histoire de l’architecture (années universitaires 2019-2020 et 2020-2021), Paris, site de l’HiCSA, 2023.
Il s'agit là d'une question impossible, de ces questions condamnées à être éternellement posées et à rester sans réponse. Impossible parce que trop vaste ; parce que la langue de l'architecture n'étant pas celle des mots, on ne peut qu'éprouver l'architecture, qui existe par sa simple présence. Dix mesures de Schumann valent mieux qu'un long discours sur lui. Pourtant j'ai accepté, spontanément, Lorsqu'il m'a été proposé d'intervenir dans le cadre de ces « portes ouvertes aux écoles », pour une simple raison: j'ai le souvenir encore vif, au sortir de mes études d'architecture de m'être posé cette question que de loin en loin je me pose encore. Qu'est-ce que l'architecture ?
LE SUBLIME DE DEUX DISCIPLINES : ARCHITECTURE ET INGENIERIE
LE SUBLIME DE DEUX DISCIPLINES, 2021
Cet article présente une étude sur le sublime des deux disciplines, architecture et ingénierie. La dualité architecture et ingénierie trouve son origine dans l'éclatement de la figure de l'artiste de la renaissance et la division du travail transformée en lutte d'influence chronique. Architectes et ingénieurs peuvent faire valoir une solution de rapprochement et de sublimité de ces deux disciplines par la forme d'activité collective, la complémentarité. Pour démontrer cette sublimité, le choix est porté sur la méthode historique basée sur la littérature sur le sujet pour identifier les concepts du sublime comme la promotion, le prestige et la grandeur…etc. Tout d'abord, un aperçu sur le monothéisme de l'univers et sa relation avec le monde fabriqué par l'architecture et l'ingénierie. Puis, une démarche pragmatique et inventive entre l'homme de l'art et l'homme de technique est nécessaire pour la conjugaison de leur talent sous l'interaction des deux disciplines par leur compétitivité qui tend vers une posture d'originalité, de formes et de structures. Comme résultat, un intérêt particulier est orienté à la complémentarité comme activité collective de symbiose et de sublimité de ces deux disciplines par l'échange et la compétitivité entre art et technique.
Statuts épistémologique et axiologique de la « théorie » architecturale
Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère, 2019
Les Cahiers de la recherche architecturale urbaine et paysagère 4 | 2019 Héritages théoriques Statuts épistémologique et axiologique de la « théorie » architecturale. Pour une définition normative de la théorie en architecture.
Avant-propos . L’architecture est-elle une discipline ?
2014
Pour celles et ceux qui œuvrent au quotidien au sein des laboratoires de recherche dans les ecoles nationales superieures d’architecture en France, mais aussi dans tout etablissement superieur nomme ecole, departement ou faculte d’architecture (et leurs equivalents en d’autres langues), une telle interrogation pourrait sembler au mieux rhetorique, au pire suspecte. Car, qui pourrait contredire le fait que l’architecture est aujourd’hui solidement ancree dans les universites et les universites...