Gestion de l’intermittence de court-terme dans les scénarios prospectifs de long-terme appliqués au secteur électrique français (original) (raw)
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Memoire de fin d'etudes, 2017
A ma douce petite soeur Médiatrice NYABYUMA Je dédie ce travail NGENDAKUMANA Iddy ii A mon divin Père Eternel Créateur du ciel et de la terre ; A mon très cher Papa NDAGIJIMANA Benjamin A ma très chère Maman NIRAGIRA Gaudance Aux familles, BISHOP BARANSANANIIYE Justin et BIGIRIMANA Virginie NIJIMBERE Jean Claude et KWIZERA Rachelle A mon grand frère et mes petites soeurs NDAGIJIMANA Cédric, IGIRANEZA Léa, IRAKOZE Divine IRADUKUNDA Ruth A mes Cousins et Cousines BARANSANANIIYE Yannick UWAYESU Jean NIYERA Nelly BIGIRIMANA Fidélité NZIZA Sarah MBABAZI Justine SHIMWE Victoire BARANSANANIKIYE Joël Je dédie ce travail NDAGIJIMANA Elvin iii REMERCIEMENTS Nous remercions en premier lieu notre DIEU tout puissant de nous avoir donné la santé et le pouvoir de terminer ce travail. Nous remercions particulièrement notre directeur Dr. Ir. NDAYIZEYE Martin, pour sa précieuse directive, sa très grande disponibilité, son suivi constant et ses qualités humaines. Nous adressons aussi nos vifs remerciements à notre co-directeur Ir. Jean Luc MASABO qui a accepté de codiriger ce projet de fin d'études. Nos remerciements s'adressent également à tous les enseignants qui nous ont enseigné depuis l'école primaire, au corps professoral de l'Université du Burundi, spécialement les professeurs de l'Institut Technique Supérieur, particulièrement ceux du département du génie électromécanique, pour la formation scientifique et humaine qu'ils nous ont procurée. Nos pensées vont de manière très spéciale à nos familles respectives, non seulement pour leur appui financier sans lequel cette formation ne saurait aboutir, mais aussi et surtout pour nous avoir sans cesse soutenu. Nos coeurs débordent de gratitude envers la communauté estudiantine Rumuri, spécialement du campus Kiriri, l'Association des Etudiants Musulmans de l'Université du Burundi, l'église évangélique d'Afrique central Rweza plus spécialement la choral Himbaza de Rweza, la Communauté des Etudiant Congolais de l'Université du Burundi, nos promotionnels, tous nos amis et proches, particulièrement à KOSHIKWINJA Matabishi Pacifique, BISIMWA Polepole Tardif, Eric …, Melissa B., Que tous ceux qui ont rendu possible la réalisation de notre mémoire, particulièrement : la famille du pasteur HABONIMANA J. Marie et Khalid MABANO, trouvent ici l'expression de notre profonde gratitude. En fin nous remercions les membres du jury pour la lecture et l'évaluation de ce travail. iv NOMENCLATURE Acronymes
Économie & prévision, 2011
Les industries électriques ont été libéralisées en référence au modèle d'équilibre de marché. Dans ce modèle, les agents se font concurrence aux différents étages de la filière sur des marchés de gros et de détail où les prix (actuels et en espèrance) suffisent à articuler équilibre de court terme et équilibre de long terme. L'accent est mis sur la structure de marché dé-intégrée verticalement, qui est supposée permettre l'optimalité des décisions d'agents décentralisés à partir de prix de court terme et de marchés supposés complets. Ce modèle du marché décentralisé présente plusieurs défauts. D'une part le marché ne permet pas d'assurer un équilibre physique en pointe et en toute circonstance. D'autre part le marché ne permet pas d'orienter correctement les investissements pour aboutir à un parc optimal de production. Il y a « défaillances de marché » en ce qui concerne la question centrale des investissements en production. Il faut dès lors accepter que les intervenants sur les marchés puissent utiliser d'autres modalités de coordination (contrats de long-terme, intégration) pour corriger ces défauts et assurer une gestion de risques que le marché ne prend pas en charge. Ce qui nécessite un aménagement du cadre d'organisation du secteur électrique allant vers une reconnaissance de l'utilité de cette coordination horsmarché. La concurrence imparfaite pourrait être vue non plus comme le symptôme d'une réforme inachevée mais comme le palliatif à des défaillances de marché.
Débat sur les perspectives à court terme du 2 Avril 2001
2001
es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens où certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas. Participants au débat sur les perspectives à court terme du 2 avril 2001
À Propos De La Prévision À Court Terme De La Production Industrielle
1980
© Société française de statistique, 1980, tous droits réservés. L’accès aux archives de la revue « Revue de statistique appliquée » (http://www. sfds.asso.fr/publicat/rsa.htm) implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright.
Débat sur les perspectives à court terme du 20 octobre 2000
Débat sur les perspectives Les prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines: une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens ou certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une «histoire» raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
Prédiction de la demande énergétique à court terme par régression non paramétrique
Cet article présente un modèle de prédiction de la demande énergétique sur les vingt-quatre prochaines heures par régression non paramétri-que. La demande énergétique est estimée par une moyenne locale, dans un historique de deux années, des appels de puissance enregistrés dans des conditions similaires de climat et d'occupation. Un algorithme géné-tique est ensuite utilisé afin d'optimiser la taille de la plage de variation de chaque paramètre caractéristique de la similarité des conditions de fa-çon à minimiser l'erreur de prédiction de la demande sur une semaine. La méthode de prédiction est tout d'abord appliquée sur des données synthé-tiques obtenues par simulation sur EnergyPlus avec un modèle de maison typique du Québec. L'algorithme est ensuite employé sur des données ré-elles mesurées sur un bâtiment résidentiel québécois.
Débat sur les perspectives à court terme du 3 Avril 2002
L es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens ou certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
Dans cet article, nous proposons une technique de dépouillement terminologique d’un secteur spécialisé en tenant compte de la variation diaphasique. Pour ce faire, nous avons choisi le secteur de l’énergie en Région wallonne, et constitué un corpus en nous appuyant notamment sur les critères de genre et de situation de communication. Notre technique veut fournir un fondement empirique à l’étude de la variation diaphasique des candidats termes d’un secteur ou d’un domaine, en montrant à la fois leur absence, leur présence ainsi que leurs particularités de réalisation à travers différentes situations de communication. Mots-clés : genre, linguistique de corpus, situation de communication, terminographie, variation diaphasique In this paper, we suggest a technique for term extraction in a specialized field with particular attention to diaphasic variation. We chose the field of energy in the Walloon Region and compiled our corpus particularly basing on the criteria of genre and communicative settings. Our technique aims at providing an empirical foundation to the study of diaphasic variation of a field or knowledge domain term candidates, showing at once their absence, their presence as well as their peculiar uses across different communicative settings. Keywords: communicative settings, corpus linguistics, diaphasic variation, genre, terminography