Introduction du chapitre 2 (original) (raw)

Introduction à la seconde partie

2012

Pour cette thèse j'ai bénéficié pendant trois ans d'une bourse de l'Université de Padoue. Cette publication en est une version remaniée suite à l'expérience acquise au cours de ces dernières années, après mon parcours de doctorat. Elle est également complétée par l'intégration de matériels découverts, ou rendus accessibles à l'étude, postérieurement à la conclusion de ma thèse. J'ai pu y parvenir en bénéficiant d'un post-doc de l'Université de Provence au Centre Camille Jullian d'Aix-en-Provence. Je tiens à témoigner ma reconnaissance à tous ceux qui ont contribué, de diverses manières, à l'aboutissement de cette étude et à sa publication. Je voudrais témoigner toute ma reconnaissance à Simonetta Bonomi (actuellement Soprintendente Archeologo pour la Calabre), avec qui j'ai eu la possibilité de travailler lorsqu'elle était directrice du Museo Archeologico Nazionale d'Adria, pour la grande disponibilité dont elle a fait preuve et pour la rapidité avec laquelle elle a bien voulu me confier l'étude des amphores en provenance de fouilles très récentes et encore inédites qu'elle a dirigées. Je lui suis également reconnaissante pour le soutien qu'elle m'a témoigné dans certains moments difficiles pendant le travail qui a abouti à la publication de cet ouvrage. Mes remerciements vont aux différentes institutions et chercheurs qui m'ont accordé l'autorisation d'étudier les matériels inédits d'Adria,

Annexes texte chapitre 2

« Des hommes et des rails : la SNCF et les échelles de la Collaboration ferroviaire, économique et sociale franco-allemande » Annexes texte chapitre II Annexe 13 : La Collaboration franco-allemande du point de vue français, 27 juillet 1940 « I. Quelle collaboration est possible ? L'Allemagne la réclame et menace de l'établir de gré ou de force. Il est certain que la majorité des Français la souhaite. Beaucoup, avant la guerre, estimaient que c'était folie que de tourner le dos au Continent et aux problèmes posés par la transformation profonde des nations voisines. Ceux-ci sont donc tout acquis au développement des rapports entre la France et l'Allemagne. Le reste du pays, surpris et accablé par la défaite, considère cette collaboration comme inévitable. Que doit-on entendre par ce mot ? La France, avant d'être une puissance maritime et coloniale, appartient au continent européen. Elle en constitue l'extrémité occidentale et elle est largement ouverte sur les Flandres et la Germanie. Les échanges commerciaux de la France avec l'Allemagne et l'Italie, réduits ces dernières années à des montants ridicules, doivent se multiplier. Il faut entendre par échanges commerciaux des trocs de marchandises où la monnaie jouera tout au plus le rôle d'appoint. L'Europe occidentale surpeuplée, surindustrialisée, alourdie d'industries artificielles appelées à se faire concurrence, doit être organisée. Les productions industrielles doivent être standardisées. […] Seule la construction d'un édifice économique large et équilibré, centré sur l'Allemagne qui possède les richesses industrielles les plus amples, évitera une chute trop profonde du niveau de vie et permettra de résorber le chômage. Les divers systèmes monétaires de l'Europe occidentale devraient être, sinon complètement unifié, du moins articulés les uns avec les autres. Dans une telle construction, que les événements actuels nous font considérer comme inévitable et souhaitable, la France est appelée à perdre une partie des industries qu'elle avait édifiée sur son sol. Son rôle de puissance agricole sera certainement amplifié, et l'on sait la tâche considérable qui doit être poursuivie dans ce domaine.

Chapitre 2 Préliminaires 2.1 Introduction

Dans de nombreux domaines de l'économie, les di érentes variables sont reliées entre elles par des équations linéaires. Le calcul matriciel fournit une notation claire, précise et concise pour formuler et résoudre de tels problèmes, qui seraient la plupart du temps trop compliqués à résoudre de manière algébrique. Dans cette optique, l'utilisation de moyens informatiques permet un gain de temps considérable, notamment grâce à des logiciels tels que STAN, Lindo, Mathematica, Excel, Lotus et bien d'autres encore. Dans ce chapitre, nous présentons les bases de l'utilisation du logiciel Microsoft Excel, en particulier, les fonctions matricielles et l'outil Solveur. Nous définissons la notion de matrice, terme introduit dans un article publié en 1842 par le mathématicien allemand Otto Hesse (1811-1874), à qui l'on doit notamment le développement de la théorie des fonctions algébriques ainsi que celle des invariants. Nous étudions ensuite les opérations possibles sur les matrices, ainsi que les règles permettant de trouver les solutions d'un système d'équations linéaires, avant de développer la résolution d'un tel système avec Excel. Enfin, nous présentons les notions de vecteurs, d'espaces vectoriels, de convexité et d'inéquations linéaires. Pour conclure, nous donnons une application économique en utilisant un modèle aléatoire simple. 7

Introduction du chapitre 1

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