Le décor des maisons hellénistiques de Beyrouth (original) (raw)
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This contribution deals with the decoration of the Palestinian incense altars. It focuses on three types of motifs: the architectural ones, the palm tree and the astral symbols, selected because of their importance in the art of Palestine before and after the Persian period, in an attempt to show the continuity in the use of the decorative repertoire. The study investigates the meaning of this imagery, showing that it was mainly cultually inspired. It also questions the sources of inspiration of the decoration, asserting that, from an iconographic but also from a stylistic point of view, it is deeply rooted in local culture.
Ornementation et décor architectural des résidences d’Europos-Doura (Syrie)
DECORATION OF HELLENISTIC AND ROMAN BUILDINGS IN CYPRUS, edited by H. Meyza, 2020
Decoration of palatial and residential buildings is discussed, its relation to Mesopotamia in three phases: Hellenistic, Parthian and Roman following introductory description of the site and its main buildings. Main remains belong to two later phases and very few vestiges of decoration of earlier structures were preserved. Europos-Dura was situated on the right bank of Euphrates and divided into a citadel at east and the town at west. Two palaces date to Hellenistic period: Palace of Citadel and Palace of Strategos. Another palace of Dux Ripae was used in Roman and Sassanid times. Three residences of Hellenistic times had walls erected using unfired bricks, while bases were orthostatic, made of local gypsum rock. In case of external walls of palaces the face was either round-bossed or flat with indentures at joining. Remains of supports made of gypsum are confined to columns and door frames. Fluted drums were uncovered both during first excavations and recently. At citadel, a Doric column was found reused, while small fragments were found dispersed. Capitals in that style were found at the site in various sizes including ones for rectangular pillars. Only one Ionian capital was reused in a wall of the House of Lysias. Door frames were in Egyptian style. No columns were found in situ erected during Parthian and Roman phases of the main residence of Lysias, save engaged ones in the main entrance. Doric drums in the main courtyard came from upper floor Rhodian attic. Only one rectangular block can be certainly identified as base fallen from upper floor. Various types of Doric capitals occur - with or without abacus. North portico of the main courtyard consists of rectangular pillars with corresponding capitals. Numerous moulded cornice blocks from the upper floor of the residence were found and some are painted as also internal walls were, but the décor is not possible to reconstruct. Three courtyards at residence and the main courtyard of Palace of strategos were paved with terracotta square slabs. Marble use at Europos-Dura is very rare. In the House of Lysias it seems that only first floor was embellished in this way. In insula E4 traces of figured painting have been preserved. This painting was plastered over when the function has changed into storage space during the Sassanian siege. Other room was decorated with geometric panels. Parthian period decoration at Europos-Dura continues Hellenistic style during the Roman occupation with additions specific for Roman painting. Installation of Roman camp changes technical aspects – more frequent use of plaster both as mortar and for moulded elements. The Europos palace of Dux Ripae decoration is less careful in execution. The stylobate of peristyle courtyards as well as cylindrical columns with capitals were built of rubble and plastered. Bases sometimes were made of local gypsum rock. NE part of the palace of Dux had painted ceilings with geometric and floral motifs. Two porticoes of 4 columns each framed main courtyard of House F, with two remaining sides columns (one at west) were integrated in walls, possibly initially forming a Roman style atrium. This indicates profound changes in living mode in Roman period. Internal decoration is simple and consists of moulded sequence of casted plaster cornices with dionysiac motifs.
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Beyrouth hellénistique est approvisionnée par différents centres de production céramique, à deux échelles. À l'échelle régionale, les centres de Chypre et de Rhodes fournissent une part importante de la vaisselle au III e siècle av. J.-C. et jouent un rôle déterminant dans l'émergence des céramiques à vernis rouge et en particulier des sigillées orientales A, tant du point de vue technique que morphologique. Le corpus de Beyrouth met en évidence la double influence, régionale levantine et gréco-italique, du processus d'élaboration des sigillées orientales A. Les apports à vernis noir, attiques du III e siècle, mais surtout campaniens du II e siècle av. J.-C., seront déterminants dans la constitution d'un répertoire standardisé et innovant. Alors que Beyrouth se situe dans le réseau du commerce à longue distance, principalement alimenté par le continent grec puis par la Campanie maritime, la cité portuaire s'inscrit aussi à partir de la fin du III e siècle av. J.-C. dans une zone d'échanges propre, de tradition régionale, distincte de la région égéenne.
Étude du décor architectural de Mahāsthān (Bangladesh)
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Mahāsthān est une ancienne cite du sous-continent indien, situee dans l’actuel Bangladesh, ou une equipe d’archeologues franco-bangladaise a entame des fouilles depuis 1993. Cette entreprise a permis de mieux comprendre ce rare temoignage d’urbanisme de l’Inde ancienne, dont les murailles seules sont encore visibles aujourd’hui. L’interet premier de ce travail est de renseigner un pan encore peu etudie de l’art de l’Inde orientale ancienne, a savoir le decor architectural en terre cuite. L’avantage du corpus encore inedit de Mahāsthān est de pouvoir etre examine a la lumiere d’un contexte stratigraphique documente, lequel devrait affiner les datations proposees habituellement pour ce genre de productions. La comparaison aux monuments encore debout de la region devrait par ailleurs permettre des rapprochements stylistiques et enrichir le debat relatif et l’existence et au statut des ecoles de sculptures locales.
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Notre article porte sur le patrimoine religieux tel qu’il est à présent mis en scène à Beyrouth, lorsque cette représentation dépasse les lieux de culte et les édifices sacrés pour atteindre une dimension plus large, qui touche à l'intangible. Dix-sept communautés confessionnelles, en débat géographique sur le territoire de la cité, et marquées par des idéologies politiques différentes, cherchent à confirmer leur ancrage sur le terrain urbain, chacune par des expressions qui varient, allant de l’émergence de nouveaux espaces sacrés aux pratiques sociales, aux comportements et coutumes, et même aux tenues vestimentaires.
La banlieue du Hizb'allah: Images alternatives du Beyrouth d'après-guerre
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