Conférence "Alphonse Durand : une vie à Mantes-la-Jolie" (original) (raw)

Gilbert Durand ou le Nouvel esprit anthropologique

« C'est une histoire que je dirai, c'est une histoire qu'on entendra ; C'est une histoire que je dirai comme il convient qu'elle soit dite, Et de telle grâce sera-t-elle dite qu'il faudra bien qu'on s'en réjouisse : … Et telle et telle, en sa fraîcheur, au coeur de l'homme sans mémoire, Qu'elle nous soit faveur nouvelle et comme brise d'estuaire en vue des lampes de terre » .

Tours (Indre-et-Loire) ; 19-25, rue Berthelot

Rapport de diagnostic, 2009

Un diagnostic a été réalisé au 19-25 de la rue Berthelot à Tours. Le chantier est situé au milieu de la ville du Haut-Empire, et au sein des jardins du couvent des Cordeliers. Le sondage s’est résumé à un puits profond de 4 m, descendant à la cote 41,78 m. La stratification est intacte, elle n’est pas entamée par des caves médiévales ou modernes. Un carottage géologique complète les observations archéologiques.

Conférences chinoises de la rue d'Ulm

2017

est professeur de littérature classique et directrice de recherche au département de langue et littérature chinoises de l'université Fudan. Ses recherches portent sur la littérature chinoise ancienne et médiévale, la sinologie japonaise et l'histoire académique moderne. Parmi ses principaux ouvrages, on peut citer : Le style poétique de la fin des Tang (1991) ; Culture et pensée de l'époque Wei-Jin (1994) ; Introduction à la recherche sur la littérature de l'ère médiévale (2009). On lui doit encore la traduction et l'édition d'ouvrages de sinologues japonais : Nostalgie de la culture chinoise (2005) ; L'oeil de l'exotisme : les essais classiques chinois de Kouzen Hiroshi (2006). La maison d'édition Zhonghua shuju lui a également confié l'édition critique de grandes anthologies poétiques de l'ère médiévale, comme les Nouveaux chants de la Terrasse de Jade ou le Recueil des Sept Maîtres de l'ère Jian'an. GE Zhaoguang est historien, il a enseigné à l'université Qinghua de Pékin, puis au National Institute for Advanced Humanistic Studies (IAHS), et actuellement au département d'histoire de l'université Fudan. Ses recherches sont consacrées à l'histoire intellectuelle, culturelle et religieuse de la Chine ancienne et moderne. On lui doit d'importantes contributions, telles que L'École du Chan et la culture chinoise (1986), Le taoïsme et la culture chinoise (1987), Histoire intellectuelle de la Chine (2 vol., 1998), Histoire de la pensée Chan du vi e au x e siècle (1995), Histoire de la soumission et autres : étude sur l'histoire de la pensée taoïste des Six Dynasties aux Tang (2003) ; Dix études sur la pensée, la religion et les sciences de la fin des Qing au début de la République (2006), etc. Ses ouvrages sont Les auteurs Benoît VERMANDER (nom chinois : WEI Mingde) enseigne l'anthropologie religieuse, la théologie comparative et le latin à la faculté de philosophie de l'université Fudan. Après un cursus en sciences politiques, il s'oriente vers la théologie, et dirige l'Institut Ricci de Taipei (1996-2009) puis l'Institut du dialogue Xu-Ricci de Fudan (2009-2014). Ses recherches actuelles embrassent les champs de l'anthropologie sociale et culturelle, de l'étude des sciences religieuses, de l'épistémologie, de la philosophie politique, etc. Parmi ses principales publications :

Livres Conférence - Marrakech M

A u-delà de ce qui constitue sa mission principale, à savoir la diffusion de la connaissance géoscientifique, ce numéro spécial des Notes et Mémoires du Service Géologique du Maroc, dédié au mémorandum « L'Appel de Marrakech », traduit l'engagement du Ministère de l'Energie, des Mines et du Développement Durable, à contribuer, en étroite collaboration avec ses partenaires scientifiques, aux efforts de sensibilisation sur l'importance du patrimoine géologique national.

CORBIN (Alain), Les conférences de Morterolles (hiver 1895-1896). À l’écoute d’un monde disparu

Histoire de l'éducation

Cet ouvrage est une nouvelle contribution d'Alain Corbin à l'analyse de la culture et de la sensibilité des classes populaires rurales au XIXe siècle, dont la pièce maîtresse, Le monde retrouvé de Louis-François Pinagot (Paris, Flammarion, 1998), devrait n'être ignorée d'aucun chercheur en histoire et en sciences sociales. Le point de départ se trouve dans une série de conférences publiques prononcées par un instituteur communal devant les adultes d'un village de moins de 650 habitants près de Bellac. Corbin propose une analyse des conditions de réception de ces conférences dont le sujet est connu grâce à un journal local, et, plus ambitieusement, une reconstitution de leur texte. L'objectif est de montrer « l'appétit de savoir » (p. 9), un « désir cognitif… désir de s'ouvrir au progrès »-accompagné par un patriotisme ravivé par la défaite de 1870, et de « permettre une plongée dans un univers mental submergé » (p. 10), celui du public populaire des conférences de 1895.