Traduction et Intertextualite (original) (raw)

Intertextualité

Cahiers du GEPE Outils de traduction outil du traducteur , 2010

Intertextualité et technologies de l'information et de la communication : principe et mise en oeuvre Résumé | Plan | Texte | Bibliographie | Citation | Auteur Résumés | Résumé | Abstract |

De l'intertextualité à la récriture

Cahiers de Narratologie, 2006

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Intertextualité et déconstruction

Protée, 1999

Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.

Traduction et Intertextualité dans la Littérature Nigériane

International Journal of Humanities and Cultural Studies, 2018

Cet article vise à éclairer le concept de l'intertextualité et de la traduction dans la littérature nigériane. L'étude analyse les incidences d'intertextuelles dans Things Fall Apart de Chinua Achebe (1958). L'étude s'appuie sur des extraits des incidences intertextuelles tirées de Things Fall Apart et sa version française. L'analyse révèle l'interdépendance du texte des autres textes littéraires. Il montre encore que, la traduction des textes comprenant des allusions, citation directe/indirecte est beaucoup plus complexe que la traduction des textes simples et que le traducteur doit comprendre ces références afin de bien rendre son texte en équivalent conséquent et fonctionnelle. L'article conclue qu'une étude de l'intertextualité peut s'appuyer sur une stylistique pratique et une analyse précise du texte littéraire.

Deux limites culturelles à la traduction : L’intertextualité et l’idiomatisme

Atelier de traduction, « Avez-vous dit culturel ? II, Destination Beyrouth », 2017

What are the limits of translatability? They are embedded in culture, stemming from intertextuality and idiomaticity. In the first part of the article, through various examples, I discuss the problem of translating texts that develop intertextual semiotic strategies: how intertextuality can be preserved in spite of idiomaticity, or compensated if lost, and whether it is intertextuality or a specific intertext that is lost in translation. In a second part, I delve further into the problem of translating texts based on idiomaticity: how meaning can be preserved in spite of idiomaticity, how the loss can be compensated, and why in certain cases all we can do is to appreciate the untranslatability of such texts. Quelles sont les limites de la traduction ? Il y a celles de telle traduction, celles de tel traducteur, celles de l’état du savoir sur une langue, mais il y a des limites plus essentielles à la traduction elle-même : des références culturelles qui se perdent quand on passe d’une langue à une autre ; des particularités linguistiques sur lesquelles reposent certains textes qui passent à la trappe quand on traduit. Que peuvent les efforts et l’ingéniosité du traducteur face à la menace de perdre quelque chose d’essentiel à la compréhension, voire à l’existence-même du texte original ? Cette menace est presque toujours présente pour le traducteur, et d’autant plus quand il s’agit de textes littéraires ou artistiques (titres de film, paroles de chanson, etc.), où les références culturelles plus ou moins évidentes sont nombreuses, et où un texte peut s’élaborer à partir des propriétés graphiques ou phonétiques de certains mots. A partir d’exemples précis, nous examinerons comment diverses stratégies sémiotiques s’élaborent en tenant compte de paramètres textuels et contextuels. Nous apprécierons comment certaines de ces stratégies parviennent à préserver l’intertextualité ou à en compenser la perte, et marquerons la différence entre la sauvegarde de l’intertextualité et celle d’un intertexte spécifique. En un deuxième temps, nous nous concentrerons sur les difficultés posées à la traduction par l’idiomatisme, en examinant trois types d’exemples, ceux où le sens peut être relativement préservé malgré (la perte de) l’idiomatisme, ceux où l’idiomatisme est si important pour la structuration du texte qu’un dilemme émerge entre une traduction privilégiant le sens des termes et une autre retrouvant le sens du travail d’écriture grâce à prise de distance par rapport au sémantisme, enfin ceux où l’idiomatisme annihile pour des raisons plus ou moins objectives l’approche traductrice.

La Théorie interprétative de la traduction

2008

L’ouvrage en trois tomes publie en hommage a D. Seleskovitch, decedee le 17 avril 2001, retrace le parcours d’exception de l’interprete, enseignante et theoricienne qu’elle fut, a travers une multiplicite d’eclairages jetes sur son œuvre, la theorie interpretative de la traduction, et ses prolongements. Si le tout premier article (A.-M. Widlund-Fantini) commence par poser des jalons biographiques qui semblent a posteriori avoir predestine Seleskovitch a la carriere qu’elle a connue – etudes ...

Reprise et intertextualité musicale

Volume !, 2010

Le Festival Super MicMac n'était pas qu'une programmation musicale éclectique (du grec migma, « mélange ») autour de musiciennes « rebelles », ainsi que le suggère l'intitulé « Miquemaque ». D'origine néerlandaise 1 , ce terme est également l'acronyme de « Musiciennes innovatrices canadiennes » (Mic) et « Musique actuelle et contemporaine » (Mac). Les Micmacs représentent également un peuple amérindien appartenant à la famille des Algonquiens et résidant principalement au Québec, sur le territoire de la Gaspésie (Micmac signiierait « terre du couchant », voir Wallis & Wallis, 1955). Organisé par Danielle Palardy Roger, directrice artistique des Productions SuperMusique, du 25 octobre au 12 novembre 2000 au Musée d'art contemporain de Montréal, cet « Événement musical de l'année » (Prix Opus, 2001) a été conçu comme une rétrospective sur la participation des femmes à la création musicale au xx e siècle : « Dans la foulée des fêtes du millénaire […] nous avons voulu […] créer un événement qui recoupait les musiques contemporaines, les musiques écrites, les musiques électro, actuelles, improvisées, un peu le jazz, l'électronica, les Djettes, la nouvelle lutherie, la performance. Ce que je voulais en faire au-delà d'un rassemblement de musiciennes, c'était un rassemblement de musique. » (Danielle Palardy Roger, dans Brunet, 2000a)