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À la moitié du XIX siècle, Sous le Second Empire, Paris est impliquée par un projet de transformations dirigé par le préfet Haussmann.
Ces travaux, exigés par l’empereur Napoléon III, faisaient partie de son programme politique et avaient aussi le but d’augmenter le prestige de la capitale et consolider le pouvoir impérial.
La campagne de réaménagement de la ville prend le nom de Paris embelli, Paris agrandi, Paris assaini’ et avait plusieurs objectifs d’ordre esthétique et fonctionnel: c’était un projet de modernisation et donc prévoyait le démantèlement du Paris moyenâgeux et une conséquente réorganisation urbaine.
D’abord, Haussmann mène de travaux d’agrandissement de la ville pour résoudre les problèmes de la pression démographique. En effet, le XIX siècle été caractérisé par une augmentation significative de la population e par la révolution industrielle qui avait déclenché une émigration des travailleurs vers les usines qui se trouvaient dans la ville. En 1860 on constate l’annexion des communes limitrophes et donc à l’accroissement de la superficie urbaine pour faire face au déplacement massif et pour accueillir les nouveaux habitants. Le préfet intervient aussi sur les quartiers malsains dans lesquels la population s’entassait, avec la destruction des vieux immeubles et la construction des nouveaux bâtiments et logements.
Des autres travaux visent à résoudre les problèmes de la circulation et de la sûreté et du manque de propreté et d’hygiène dans une grande partie des quartiers parisiens. Pour cette dernière question, le Baron va créer des circuits d’adduction d’eau et un réseau d’égouts pour dé consacrer le risque de diffusion des épidémies et améliorer les conditions de vie des habitants.
Des autres transformations concernent les rues, qui étaient très étroites et qui donc ne permettaient pas aux fiacres de circuler aisément: Haussmann va donc ouvrir les espaces en détruisant les immeubles moyenâgeux et il va effectuer des percées aux chassés larges et des trottoirs.
Un autre point du programme haussmannien est celui qui intéresse les espaces publics avec des résultats tout à fait positifs sur le décor urbain, sur la sûreté et donc sur la vie des gents: le préfet fait installer un mobilier urbain composé par des fontaines, des monuments et pour la première fois d’un système d’éclairage public pour la sûreté après le coucher de soleil.
Les monuments étaient fonctionnels au pouvoir impérial et en représentaient le prestige et la puissance. Des œuvres imposant comme l’opéra Garnier témoignent les fastes de l’empire et ils ont le but de donner aux habitants l’impression d’être gouverné par un pouvoir fort et solide. Napoléon veut aussi que le prestige de Paris soit reconnu et par les états étrangers de façon de s’imposer dans le panorama européen comme nation puissante et hégémone. Des autres travaille intéressent les Champs Elysées, des gares, des églises et des théâtres.
En particulier les églises, comme Notre-Dame, La Madelaine et Saint Augustin, deviennent le symbole de l’union entre état et église.
Le projet prévoyait aussi l’aménagement des espaces verts: Le bois de Boulogne et le bois de Vincennes bordent la ville à l’ouest et à l’est. À l’intérieur de l'enceinte de Thiers, le parc des Buttes-Chaumont et le parc Montsouris offrent des promenades aux habitants des quartiers trop éloignés des grands bois extérieurs.
De plus, chaque quartier reçoit aussi des petits squares et l’on aménage des grandes places comme place de l'Étoile, place Léon-Blum, place de la République, place de l'Alma qui deviennent des lieux de grands négoces, des bars et des magasins et de rencontre de toutes sortes des gents. Les grands magasins comme ‘’Au Printemps’’, ‘’Au Bon Marché’’ ou ‘’La Samaritaine’’ deviennent les temples dévolus à la consommation des produits de l’industrie.
Des autres point fondamental du projet consistent dans la reconstruction de la Sorbonne, de l’Hotel de Dieu, des grands lycées de la Montagne Sainte-Geneviève et le Tribunal du Commerce.
Haussmann crée aussi le boulevard Henri-IV, pour relier le Panthéon à la Colonne de Juillet de la Bastille. Pour assurer la continuité urbaine, le pont qui passe sur la Seine à la suite du boulevard est même oblique par rapport aux berges. Il reussit donc à créer une relation physique entre quartiers grâce à d'immenses percées qui remplacent des labyrinthes.
La création de boulevards et d’avenues est un des points fondamentaux du projet car il aura de conséquences importantes sur la vie des habitants. La possibilité de se promener et de jouisser des espaces publics modifient les habitudes des Parisiens. L’élite commence à mener une vie mondaine caractérisé par bals, dîners, spectacles théâtraux et cérimonies. On assiste donc à un développement de la vie sociale extérieure qui apport un consent au pouvoir de Napoléon du côté de la bourgeoisie. Les grands et agradables espaces ouvertes qui semblent rapprocher les classes donnent une illusion démocratique. En effet, les travaux ont le résultat d’augmenter le clivage car ils sont adressés surtout à la bourgeoisie et répondent aux exigences d’une partie limitée de la citoyenneté: les classes sociales les plus pleuvres restent exclues car elles n’ont pas la possibilité d’accéder aux contextes mondains. De plus, le projet vise à séparer la partie est de la partie ouest, c’est-à-dire la partie populaire de la partie des classes plus riches.
Napoléon, donc, exploite l’architecture et l’urbanisme pour supporter son régime et obtenir le consens en donnant l’impression aux citoyens et plus encore aux nations étrangères de constituer un pouvoir fort et de prestige.
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