F. Sarrot-Reynauld - Academia.edu (original) (raw)
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Papers by F. Sarrot-Reynauld
Presse médicale (Paris, France : 1983), Jan 26, 2005
THE PATHOPHYSIOLOGY of most autoimmune diseases is often poorly understood. EXPERIMENTAL CONSIDER... more THE PATHOPHYSIOLOGY of most autoimmune diseases is often poorly understood. EXPERIMENTAL CONSIDERATIONS and clinical experience suggest that high doses immunoablation followed by stem cell transplantation is a therapeutic option to consider for certain severe autoimmune disorders. THE CONCEPT OF RESTORING NORMAL IMMUNE REACTIVITY must in part br true since current results of 466 transplants (445 autologous, 21 allogeneic) patients suffering from various autoimmune diseases show a beneficial outcome in approximately 2/3 of the patients. TO IMPROVE THE EFFICACY AND SAFETY OF SUCH AN AGGRESSIVE PROCEDURE in patients with potentially affected vital organs by the underlying autoimmune disease, it is especially important to follow international consensus guidelines and to centrally collect clinical data for in depth analysis in the EBMT International Stem Cell Project for Autoimmune Disease in Basel, Switzerland. PHASE III STUDIES ARE RUNNING FOR SYSTEMIC SCLEROSIS (Astis, Autologous Stem...
La Revue de Médecine Interne, 2007
La Revue de Médecine Interne, 2008
Communications orales / La Revue de médecine interne xxx (2008) S1-S55 S17 glionnaire périphériqu... more Communications orales / La Revue de médecine interne xxx (2008) S1-S55 S17 glionnaire périphérique peut éviter une splénectomie à visée purement diagnostique. Conclusion.-Les patients avec déficit immunitaire commun variable et splénomégalie constituent donc un sous-groupe distinct de malades avec une morbidité et mortalité plus élevées et des manifestations cliniques et histologiques spécifiques. Ces patients pourraient bénéficier d'un dépistage précoce et d'une surveillance rapprochée.
La Revue de Médecine Interne, 1996
La Revue de Médecine Interne, 1991
La Revue de Médecine Interne, 1992
We evaluated a new technique, the << nested-Polymerase-Chain-Reaction >, to diagnose Cytomegalovi... more We evaluated a new technique, the << nested-Polymerase-Chain-Reaction >, to diagnose Cytomegalovirus (CMV) infection. This method appears to be highly sensitive and specific to detect CMV DNA in peripheral blood, especially in mononuclear cells, during active infection in immuno-compromised patients.
La Revue de Médecine Interne
Tuberous sclerosis complex (TSC) is an autosomal dominant inherited phakomatosis, usually diagnos... more Tuberous sclerosis complex (TSC) is an autosomal dominant inherited phakomatosis, usually diagnosed in childhood and characterized by cutaneous and neurological tumors, the latter often leading to epilepsy and mental retardation. We report a case of TSC diagnosed in a 33-year-old man, without any known family history of phakomatosis, presenting with facial angiofibromas, hypomelanotic macules, a giant-cell astrocytoma and retinal phakomas without any mental impairment or epilepsy. TSC may occur in patients who do not have any family history of phakomatosis because de novo mutations are frequent. TSC may be diagnosed in adulthood since a high phenotypic variability is observed. Facial angiofibromas are highly suggestive of tuberous sclerosis complex. They should lead to brain imaging in search for astrocytoma, subependymal nodules and cortical tubers which number is directly correlated with the risk of seizures and the degree of mental impairment.
La Revue de Médecine Interne
La Revue de Médecine Interne
La Revue de Médecine Interne, 1997
La Revue de Médecine Interne, 2012
La Revue de Médecine Interne, 1992
La Revue de Médecine Interne, 2012
La Revue de Médecine Interne, 2010
Introduction.-Le diagnostic étiologique d'une fièvre ou d'un syndrome inflammatoire est une situa... more Introduction.-Le diagnostic étiologique d'une fièvre ou d'un syndrome inflammatoire est une situation parfois difficile en médecine interne. Le dosage des différentes protéines est d'une aide variable pour le clinicien. Sujets et méthodes.-Plusieurs paramètres biologiques (vitesse de sédimentation, fibrinogène, CRP, procalcitonine, ferritine, transferrine, orosomucoïde, haptoglobine, albumine, leucocytes, polynucléaires neutrophiles) ont été mesurés chez 21 sujets sains et 60 patients présentant un syndrome inflammatoire d'origine infectieuse (n = 24), lié à un cancer (n = 10) et pour une maladie systémique (n = 26). Résultats.-Tous les paramètres étudiés sont significativement différents entre témoins et patients sauf le taux de leucocytes. Par ailleurs, le taux de polynucléaires neutrophiles n'est pas significativement différent selon l'étiologie du syndrome inflammatoire. Toutes les protéines dosées sont élevées chez les patients sauf la transferrine et l'albumine qui sont abaissées. La procalcitonine est significativement plus élevée pour le groupe « infection » comparée au groupe « maladie systémique ». Un seuil 0,14 ng/ml discrimine les témoins des sujets infectés avec une sensibilité de 87 % et une spécificité de 85 %. On note trois faux négatifs liés à une infection virale, une aspergillose pulmonaire et une tuberculose ganglionnaire. Un seuil de 0,25 ng/ml permet de discriminer les patients infectés de ceux présentant une maladie systémique avec une sensibilité de 78 % et une spécificité de 77 %. Six faux positifs sont observés avec deux patients présentant un syndrome inflammatoire chronique inexpliqué, une polyarthrite rhumatoïde, une sarcoïdose, un lupus érythémateux systémique et une maladie de Horton. Le taux de CRP n'est pas différent entre les sujets infectés (135,9 ± 75 mg/L) et le groupe « maladies systémiques » (103 ± 53 mg/L). La transferrine est plus basse chez les patients atteints de cancer, sans atteindre le seuil de significativité. Cette observation devra être confirmée sur un échantillon plus important. Discussion.-Seule la procalcitonine semble intéressante en pratique clinique pour distinguer les patients infectés de ceux présentant une maladie systémique. Ces résultats corroborent les deux principales études menées sur cette problématique au cours de maladies systémiques diverses [1] et maladie de Horton [2]. Les résultats observés pour la transferrine doivent être confirmés sur un groupe de patient plus important et plus homogène.
Journal français d'ophtalmologie, 2000
The diagnosis of uveitis is a difficult one and subject to much debate between ophthalmologists a... more The diagnosis of uveitis is a difficult one and subject to much debate between ophthalmologists and internists. In 1992, we carried out a prospective study to assess the importance of the internist's consultation, the contribution of an extensive laboratory evaluation and to propose a well considered diagnostic strategy. and methods: From 1992 to 1995, all patients seen at consultation at the Grenoble University Hospital had a complete ophthalmologic evaluation, an internist's consultation, an extensive laboratory evaluation and a follow-up for at least 6 months. One hundred twenty five patients were included. The rate of diagnosis was 72%. The internist's help was useful in at least 68% of the diagnoses. Laboratory and radiography tests provided pertinent information in 77% of the cases. Follow-up allowed finding 11% of the diagnoses. The analysis of the clinical and laboratory tests enabled us to establish a diagnostic strategy chart where the key pint is clinical and ...
Annales de médecine interne, 1994
une complication de plus en plus frkquente des aplasies de longue duke conskutives au traitement ... more une complication de plus en plus frkquente des aplasies de longue duke conskutives au traitement chimiothkrapique des leuckmies aigu&s (LA). La candidose hCpatosplCnique (CHS) en constitue une forme particulikre. ainsi que la cholkcystite candidosique plus rarement d&rite. Nous rapportons une s&ie de cinq cas : deux patients trait& pour une LA lymphoblastique et trois pour une LA my&loblastique, recevant tous une prophylaxie orale par nystatine. Les trois premiers cas cornportent une candidose hkpatique (CH) et deux CHS et r&ale, diagnostiqukes au d&ours de la chimiothkrapie dans un dClai de 28 jours 3. 5 mois aprks la sortie d'aplasie. La documentation est apportke par les donnCes microbiologiques et histopathologiques de la ponction biopsie hCpatique, la culture demeurant kgative. La prksentation clinique habituelle est la persistance d'une altkration de I'&tat general et d'une fikvre malgrC la restauration hCmatologique, une antibiothkrapie B large spectre et un traitement antifongique probabiliste. Biologiquement, s'associent une cholestase hkpatique anictkrique, un syndrome inflammatoire, une sCroconversion pour la serologic Cmdidu en I'absence d'antigCnCmie circulante. Le scanner montre de multiples microabcks.
Presse médicale (Paris, France : 1983), Jan 26, 2005
THE PATHOPHYSIOLOGY of most autoimmune diseases is often poorly understood. EXPERIMENTAL CONSIDER... more THE PATHOPHYSIOLOGY of most autoimmune diseases is often poorly understood. EXPERIMENTAL CONSIDERATIONS and clinical experience suggest that high doses immunoablation followed by stem cell transplantation is a therapeutic option to consider for certain severe autoimmune disorders. THE CONCEPT OF RESTORING NORMAL IMMUNE REACTIVITY must in part br true since current results of 466 transplants (445 autologous, 21 allogeneic) patients suffering from various autoimmune diseases show a beneficial outcome in approximately 2/3 of the patients. TO IMPROVE THE EFFICACY AND SAFETY OF SUCH AN AGGRESSIVE PROCEDURE in patients with potentially affected vital organs by the underlying autoimmune disease, it is especially important to follow international consensus guidelines and to centrally collect clinical data for in depth analysis in the EBMT International Stem Cell Project for Autoimmune Disease in Basel, Switzerland. PHASE III STUDIES ARE RUNNING FOR SYSTEMIC SCLEROSIS (Astis, Autologous Stem...
La Revue de Médecine Interne, 2007
La Revue de Médecine Interne, 2008
Communications orales / La Revue de médecine interne xxx (2008) S1-S55 S17 glionnaire périphériqu... more Communications orales / La Revue de médecine interne xxx (2008) S1-S55 S17 glionnaire périphérique peut éviter une splénectomie à visée purement diagnostique. Conclusion.-Les patients avec déficit immunitaire commun variable et splénomégalie constituent donc un sous-groupe distinct de malades avec une morbidité et mortalité plus élevées et des manifestations cliniques et histologiques spécifiques. Ces patients pourraient bénéficier d'un dépistage précoce et d'une surveillance rapprochée.
La Revue de Médecine Interne, 1996
La Revue de Médecine Interne, 1991
La Revue de Médecine Interne, 1992
We evaluated a new technique, the << nested-Polymerase-Chain-Reaction >, to diagnose Cytomegalovi... more We evaluated a new technique, the << nested-Polymerase-Chain-Reaction >, to diagnose Cytomegalovirus (CMV) infection. This method appears to be highly sensitive and specific to detect CMV DNA in peripheral blood, especially in mononuclear cells, during active infection in immuno-compromised patients.
La Revue de Médecine Interne
Tuberous sclerosis complex (TSC) is an autosomal dominant inherited phakomatosis, usually diagnos... more Tuberous sclerosis complex (TSC) is an autosomal dominant inherited phakomatosis, usually diagnosed in childhood and characterized by cutaneous and neurological tumors, the latter often leading to epilepsy and mental retardation. We report a case of TSC diagnosed in a 33-year-old man, without any known family history of phakomatosis, presenting with facial angiofibromas, hypomelanotic macules, a giant-cell astrocytoma and retinal phakomas without any mental impairment or epilepsy. TSC may occur in patients who do not have any family history of phakomatosis because de novo mutations are frequent. TSC may be diagnosed in adulthood since a high phenotypic variability is observed. Facial angiofibromas are highly suggestive of tuberous sclerosis complex. They should lead to brain imaging in search for astrocytoma, subependymal nodules and cortical tubers which number is directly correlated with the risk of seizures and the degree of mental impairment.
La Revue de Médecine Interne
La Revue de Médecine Interne
La Revue de Médecine Interne, 1997
La Revue de Médecine Interne, 2012
La Revue de Médecine Interne, 1992
La Revue de Médecine Interne, 2012
La Revue de Médecine Interne, 2010
Introduction.-Le diagnostic étiologique d'une fièvre ou d'un syndrome inflammatoire est une situa... more Introduction.-Le diagnostic étiologique d'une fièvre ou d'un syndrome inflammatoire est une situation parfois difficile en médecine interne. Le dosage des différentes protéines est d'une aide variable pour le clinicien. Sujets et méthodes.-Plusieurs paramètres biologiques (vitesse de sédimentation, fibrinogène, CRP, procalcitonine, ferritine, transferrine, orosomucoïde, haptoglobine, albumine, leucocytes, polynucléaires neutrophiles) ont été mesurés chez 21 sujets sains et 60 patients présentant un syndrome inflammatoire d'origine infectieuse (n = 24), lié à un cancer (n = 10) et pour une maladie systémique (n = 26). Résultats.-Tous les paramètres étudiés sont significativement différents entre témoins et patients sauf le taux de leucocytes. Par ailleurs, le taux de polynucléaires neutrophiles n'est pas significativement différent selon l'étiologie du syndrome inflammatoire. Toutes les protéines dosées sont élevées chez les patients sauf la transferrine et l'albumine qui sont abaissées. La procalcitonine est significativement plus élevée pour le groupe « infection » comparée au groupe « maladie systémique ». Un seuil 0,14 ng/ml discrimine les témoins des sujets infectés avec une sensibilité de 87 % et une spécificité de 85 %. On note trois faux négatifs liés à une infection virale, une aspergillose pulmonaire et une tuberculose ganglionnaire. Un seuil de 0,25 ng/ml permet de discriminer les patients infectés de ceux présentant une maladie systémique avec une sensibilité de 78 % et une spécificité de 77 %. Six faux positifs sont observés avec deux patients présentant un syndrome inflammatoire chronique inexpliqué, une polyarthrite rhumatoïde, une sarcoïdose, un lupus érythémateux systémique et une maladie de Horton. Le taux de CRP n'est pas différent entre les sujets infectés (135,9 ± 75 mg/L) et le groupe « maladies systémiques » (103 ± 53 mg/L). La transferrine est plus basse chez les patients atteints de cancer, sans atteindre le seuil de significativité. Cette observation devra être confirmée sur un échantillon plus important. Discussion.-Seule la procalcitonine semble intéressante en pratique clinique pour distinguer les patients infectés de ceux présentant une maladie systémique. Ces résultats corroborent les deux principales études menées sur cette problématique au cours de maladies systémiques diverses [1] et maladie de Horton [2]. Les résultats observés pour la transferrine doivent être confirmés sur un groupe de patient plus important et plus homogène.
Journal français d'ophtalmologie, 2000
The diagnosis of uveitis is a difficult one and subject to much debate between ophthalmologists a... more The diagnosis of uveitis is a difficult one and subject to much debate between ophthalmologists and internists. In 1992, we carried out a prospective study to assess the importance of the internist's consultation, the contribution of an extensive laboratory evaluation and to propose a well considered diagnostic strategy. and methods: From 1992 to 1995, all patients seen at consultation at the Grenoble University Hospital had a complete ophthalmologic evaluation, an internist's consultation, an extensive laboratory evaluation and a follow-up for at least 6 months. One hundred twenty five patients were included. The rate of diagnosis was 72%. The internist's help was useful in at least 68% of the diagnoses. Laboratory and radiography tests provided pertinent information in 77% of the cases. Follow-up allowed finding 11% of the diagnoses. The analysis of the clinical and laboratory tests enabled us to establish a diagnostic strategy chart where the key pint is clinical and ...
Annales de médecine interne, 1994
une complication de plus en plus frkquente des aplasies de longue duke conskutives au traitement ... more une complication de plus en plus frkquente des aplasies de longue duke conskutives au traitement chimiothkrapique des leuckmies aigu&s (LA). La candidose hCpatosplCnique (CHS) en constitue une forme particulikre. ainsi que la cholkcystite candidosique plus rarement d&rite. Nous rapportons une s&ie de cinq cas : deux patients trait& pour une LA lymphoblastique et trois pour une LA my&loblastique, recevant tous une prophylaxie orale par nystatine. Les trois premiers cas cornportent une candidose hkpatique (CH) et deux CHS et r&ale, diagnostiqukes au d&ours de la chimiothkrapie dans un dClai de 28 jours 3. 5 mois aprks la sortie d'aplasie. La documentation est apportke par les donnCes microbiologiques et histopathologiques de la ponction biopsie hCpatique, la culture demeurant kgative. La prksentation clinique habituelle est la persistance d'une altkration de I'&tat general et d'une fikvre malgrC la restauration hCmatologique, une antibiothkrapie B large spectre et un traitement antifongique probabiliste. Biologiquement, s'associent une cholestase hkpatique anictkrique, un syndrome inflammatoire, une sCroconversion pour la serologic Cmdidu en I'absence d'antigCnCmie circulante. Le scanner montre de multiples microabcks.