Tumor volume shrinkage during stereotactic body radiotherapy is related to better prognoses in patients with stage I non-small-cell lung cancer (original) (raw)

[A phase II study of cetuximab, pemetrexed, cisplatin, and concurrent radiotherapy in patients with locally advanced, unresectable, stage III, non squamous, non-small cell lung cancer (NSCLC)]

Revue des maladies respiratoires, 2011

Cisplatin-based chemotherapy and concurrent radiotherapy are the standard treatments for locally advanced unresectable NSCLC. New therapeutic combinations using molecular targeted drugs are needed. Eligible patients with previously untreated stage III non squamous, NSCLC will receive thoracic radiation (66 Gy) along with cisplatin (75 mg/m(2)) and pemetrexed (500 mg/m(2)) on day 1 administered intravenously every 21 days for four cycles; weekly cetuximab will be added from the first week of therapy. The primary objective of this phase II study (IFCT 0803) is to assess the disease control rate at the 16th week, one month after the completion of the treatment. Based on a two-stage Simon approach, a total of 106 patients are required with an interim analysis of the first 34 planned. This trial will provide information on the feasibility, efficacy and tolerability of this new therapeutic combination. Should the primary objective be achieved, a phase III randomised study testing the posi...

Tomographie par émission de positons et détection en coïncidence (TEDC) et recalage d'images de simulation virtuelle par tomodensitométrie. Impact sur la planification de la radiothérapie conformationnelle des cancers bronchiques non à petites cellules

Cancer/Radiothérapie, 2005

14 patients. Le volume de moelle épinière recevant au moins 45 Gy (deux patients) a été diminué. Après analyse multifactorielle, un seul facteur indépendant a eu un impact significatif sur la modification du volume tumoral macroscopique : la présence d'une atélectasie (p = 0,0001). Conclusion.-Notre étude confirme que la fusion d'images tomographiques par émission de positons au [18F]-FDG et détection en coïncidence et d'images de simulation virtuelle par tomodensitométrie pour la radiothérapie conformationnelle de cancer bronchique non à petites cellules a non seulement un impact sur la stratégie thérapeutique, mais aussi sur la planification de la radiothérapie. L'imagerie par tomographie par émission de positons-tomodensitométrie dédiée, utilisant une méthode de recalage d'images élastique, tenant compte des mouvements de la cage thoracique liés à la respiration avec un protocole de contrôle des mouvements respiratoires, devrait améliorer la précision de la technique de recalage d'images métaboliques et anatomiques. Cependant, l'intérêt de ces techniques demanderait à être confirmé par contrôle histopathologique et l'impact sur le contrôle tumoral local et la survie reste à démontrer.

Radiothérapie avec blocage respiratoire pour les grands insuffisants respiratoires atteints d'un carcinome pulmonaire non à petites cellules (Protocole RESPI 2000) : application à la modélisation des déformations d'organes par recalage déformable

Cancer Radiotherapie, 2006

Objectif de l'étude.-Étudier le recalage déformable des données anatomiques scanographiques dans le cadre d'une radiothérapie conformationnelle avec blocage respiratoire par deux études parallèles. Patients et méthodes.-Une série de 22 patients atteints d'insuffisance respiratoire sévère, traités entre avril 2002 et novembre 2005 par irradiation conformationnelle avec blocage respiratoire, a donc été analysée. La première étude a analysé la reproductibilité du blocage respiratoire actif pour chaque patient tout au long du traitement : un déplacement tumoral moyen de 10 mm a été détecté. La seconde étude avait pour but de simuler une imagerie quadridimensionnelle à partir de données tridimensionnelles en blocage respiratoire en utilisant une méthodologie d'interpolation des champs de déformation tridimensionnelle, la précision obtenue étant de l'ordre de 3 mm. Résultats.-En ce qui concerne l'étude clinique, la durée médiane de suivi était de 22 mois, le taux de contrôle local était de 28 %. La rechute métastatique restait l'événement le plus fréquent. Concernant, dans l'étude de modélisation, le blocage respiratoire a été efficace chez six des huit patients avec des mouvements inférieurs à 6 mm. La simulation quadridimensionnelle à partir d'image tridimensionnelle s'est avérée fiable et a pu permettre de simuler une respiration pour un plan de traitement quadridimensionnel. Conclusion.-La technique de traitement est réalisable malgré l'insuffisance respiratoire sévère. La méthode d'acquisition artificielle quadridimensionnelle permet d'espérer une simulation correcte en cas de rythme respiratoire irrégulier et pourrait être utilisée pour une dosimétrie quadridimensionnelle.

[Dosimetric and clinical benefits of respiratory-gated radiotherapy for lung and breast cancers: results of the STIC 2003]

Cancer radiothérapie : journal de la Société française de radiothérapie oncologique

To compare respiratory-gated conformal radiotherapy versus conventional conformal radiotherapy for the irradiation of non-small cells lung cancer and breast cancer. The STIC 2003 project was a comparative, non-randomized, multicenter and prospective study that included in 20 French centers between April 2004 and June 2008, 634 evaluable patients, 401 non-small cells lung cancer and 233 breast cancers. The final results confirmed the feasibility and good reproducibility of the various respiratory-gated conformal radiotherapy systems regardless of tumour location. The results of this study demonstrated a marked reduction of dosimetric parameters predictive of pulmonary, cardiac and esophageal toxicity, especially for non-small cells lung cancer, as a result of the various respiratory gating techniques. These dosimetric benefits were mainly observed with deep inspiration breath-hold techniques (ABC and SDX), which markedly increased the total lung volume compared to the inspiration-syn...

[The stereotactic body radiation therapy: initiation and clinical program]

Cancer radiothérapie : journal de la Société française de radiothérapie oncologique, 2006

We fully describe an innovative radiotherapy technique called Stereotactic Body Radiation Therapy (SBRT), and explain how this technique is commonly used for clinical purpose at the anticancer center Léon-Bérard (Lyon, France). In this technique, a non-invasive stereotactic body frame is used to locate the tumor site with a great precision. This frame is combined with a system, which enables to track the respiratory motions (Active Breathing Control (ABC) or diaphragmatic compression (DC)) in order to reduce the treatment margins for organ motion due to breathing. Thus, the volume of normal tissues that will be irradiated is considerably reduced. The dosimetry is realized with 3 CT exams performed in treatment conditions. The 3D patient "repositioning" is done with a volume CT acquisition (kV) combined with orthogonal images (kV and MV). The SBRT requires a system to limit the organ motions. Although the ABC seems to be more fastidious for patient, it would enable to use s...

[Differentiation from local tumour recurrence and radionecrosis after stereotactic radiosurgery for treatment of brain metastasis.]

Cancer/Radiothérapie

Magnetic resonance imaging (MRI) is a method of choice for follow-up of irradiated brain metastasis. It is difficult to differentiate local tumour recurrences from radiation induced-changes in case of suspicious contrast enhancement. New advanced MRI techniques (perfusion and spectrometry) and amino acid positron-emission tomography (PET) allow to be more accurate and could avoid a stereotactic biopsy for histological assessment, the only reliable but invasive method. We report the case of a patient who underwent surgery for a single, left frontal brain metastasis of a breast carcinoma, followed by adjuvant stereotactic radiotherapy in the operative bed. Seven months after, she presented a local change in the irradiated area on the perfusion-weighted MRI, for which the differentiation between a local tumour recurrence and radionecrosis was not possible. PET with 2-deoxy-((18)F)-fluoro-D-glucose (FDG) revealed a hypermetabolic lesion. After surgical resection, the histological assess...

Radio-chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules de stade III inopérables

2007

L es cancers bronchiques constituent la première cause de décès par cancer tant chez l’homme que chez la femme. Les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) représentent 80 % de tous les cancers, et 40 % des CBNPC sont de stade IIIA ou IIIB inopérables. La radiothérapie seule s’est imposée dans les années 1970 comme supérieure au traitement palliatif dans les cancers bronchiques localement évolués, avec une dose standard de l’ordre de 60 Gy délivrés sur six semaines (1). Néanmoins, les résultats étaient médiocres avec une médiane de survie à moins de un an et des survies à deux ans de l’ordre de 15 à 20 %, et de moins de 5 % à 5 ans (2). Face à ces mauvais résultats, la chimiothérapie a été associée à la radiothérapie. La chimiothérapie peut être réalisée soit de façon séquentielle avec deux modalités chronologiques, en induction avant la radiothérapie, ou en consolidation après la radiothérapie, soit de façon concomitante avec la radiothérapie selon deux modalités de dose...