Sur la réductibilité des graphes de contraintes géométriques (original) (raw)
Related papers
Reecriture de Graphes Admissibles : Confluence et Strategie
Nous considerons la reecriture de graphes en tant que semantique operationnelle des langages "´equationnels". Nous nous placons dans le cadre des signatures avec constructeurs. Nous commencons par caracteriser un sous-ensemble de graphes dits graphes admissibles. Un graphe est admissible si aucun de ses cycles ne contient de fonction definie. Ensuite, nous considerons la relation de reecriture sur les graphes admissibles et montrons sa confluence ainsi que sa confluence modulo "la bisimulation". Enfin, nous definissons une strategie de reecriture pour les graphes admissibles qui calcule toujours des redex necessaires (needed, en anglais).
Une approche par décomposition et reparamétrisation de systemes de contraintes géométriques
La décomposition des systèmes de contraintes est un avatar de la stratégie diviser pour régner qui est indispensable dans le cadre de la résolution de systèmes de contraintes géométriques en CAO. Diverses méthodes tirant partie de l'invariance par déplacement ont été décrites dans la littérature, mais malheureusement, elles n'arrivent pas à décomposer des systèmes relativement standards, surtout en 3D. Une idée assez récente consiste à conjuguer résolution formelle et résolution numérique d'une part en modifiant le système de contraintes original pour le rendre soluble par une méthode constructive, et, d'autre part, en appliquant une méthode numérique pour rattraper les contraintes non prises en compte dans le système modifié. Dans la lignée de ces travaux, nous présentons deux nouvelles avancées. La première concerne la manière de modifier le système en tenant compte d'une méthode de décomposition et dont l'objectif est de minimiser le nombre de contraintes modifiées par composante irréductible. La seconde consiste à concevoir une méthode numérique qui tire parti du contexte géométrique pour rattraper des contraintes de manière robuste et pour produire toutes les solutions possibles.
Un métamodèle des graphes conceptuels
Revue d'intelligence artificielle, 2007
La métamodélisation consiste à définir formellement le vocabulaire et les règles utilisés dans les activités de modélisation. Elle est souvent identifiée comme une composante clé dans le développement de systèmes d'information parce qu'elle définit d'une manière formelle les primitives de modélisation qui seront utilisées dans les activités de conception et d'analyse des systèmes d'information. Les graphes conceptuels sont souvent identifiés comme un langage clé dans la représentation de la connaissance de par leur simplicité, leur expressivité et leur similitude à d'autres langages de modélisation graphiques tels UML ou Entité-Relation. Nous proposons dans cet article un métamodèle des graphes conceptuels.
Une approche orientée hiérarchie de contraintes pour la résolution de contraintes géométriques
2008
Nous proposons une approche utilisant des préférences sur les contraintes afin de gérer les problèmes de contraintes géométriques sur-contraints. Cette approche s'appuie sur le paradigme des hiérarchies de contraintes dont les méthodes de résolution utilisent des algorithmes de graphes proches de ceux employés en résolution de contraintes géométriques. Cette approche nous semble très bien adaptée aux applications interactives en CAO : l'esquisse sur laquelle l'utilisateur impose usuellement ses contraintes constitue une indication des attentes de l'utilisateur et peut être intégrée comme un jeu de contraintes faibles dans le problème à résoudre ; ainsi, tout problème géométrique défini sur une esquisse devient-il sur-contraint.
Décompositions de graphes : quelques limites et obstructions
Http Www Theses Fr, 2011
Une thèse est une longue épopée enrichissante, parsemée de rencontres et de surprises, se terminant par une grande rétrospective du travail accompli : la rédaction. Les remerciements en sont la cerise, adressés à toutes les personnes ayant contribué à ce que la thèse puisse arriver à son terme dans les conditions qui sont les siennes. Mais est-il plus facile d'écrire les remerciements que le contenu principal du manuscrit ? Pas si sûr.. . Allez, je me lance ! Tout d'abord, j'adresse mes sincères remerciements à tous les membres de mon jury de thèse pour avoir accepté d'en être les membres (de mon jury de thèse) : à Michel Habib, qui m'a fait l'honneur de présider et animer avec brio la soutenance ; à Christophe Paul et Cyril Gavoille, qui ont accepté d'en être les rapporteurs, et dont les commentaires m'ont permis d'améliorer (si besoin encore) ce manuscrit ; à Mathieu Liedloff et Yann Vaxès, qui ont accepté de participer au jury de la soutenance, et de poser de judicieuses questions. Une thèse sans directeur de thèse, c'est comme un vélo sans guidon ! De surcroît lorsque le doctorant s'égare.. . De nombreux remerciements vont donc tout naturellement à Ioan Todinca, mon directeur de thèse, pour sa gentillesse, son expertise, ses conseils, et son important soutien durant mes trois années de thèse, y compris lorsque j'ai souhaité emprunter quelques fois des directions s'éloignant furtivement du sujet qu'il m'avait initialement confié. J'en profite pour remercier également les différents collègues de recherche rencontrés au fil de ma thèse, qu'ils soient locaux ou non, et qui ont contribué (et contribuent encore) significativement à la richesse que m'apporte la recherche scientifique. Pour ne pas en oublier, je ne prendrai pas le risque de vouloir les citer ; ne m'en voulez pas, vous vous reconnaissez forcément ! Et l'environnement de travail dans tout ça ? Il ne suffit pas d'avoir un bon sujet pour faire une bonne thèse ! Un grand merci à chacun des collègues enseignants, chercheurs ou administratifs, du LIFO, de l'IUT d'Orléans et du Département Informatique de l'UFR Sciences ; l'ambiance aussi bien professionnelle que sociale y est idéale, et les innombrables pauses passées ensembles y sont sans nul doute pour quelque chose. Je remercie notamment Christel Vrain et Jérôme Durand-Lose, directeurs successifs du LIFO, pour leur accueil chaleureux au sein du laboratoire ; Sébastien Limet, chef du département informatique de l'IUT d'Orléans, pour sa gentillesse durant mes trois années passées en tant que moniteur au sein de son département ; Ali Ed-Dbali, chef du département informatique de l'UFR Sciences, où mon début de carrière d'enseignant s'est poursuivi. Il est une catégorie particulière parmi les collègues de travail : les doctorants. Compagnons de voyage et d'expériences, nous sommes amenés à partager beaucoup de choses. Que de moments inoubliables passés avec les doctorants du LIFO ou de l'ADSO ! Faisons fi des risques de la liste non exhaustive, pour en citer quelques-uns (dans le désordre alphabétique et chronologique) : Matthieu Lopez (l'incontournable), Julien Tesson (le motard aventurier), Maxime Senot (le matinal franc-comtois), Simon Petitjean (le footeux culannais), Hélène Coullon (la hockeyeuse métalleuse), Anthony Della Roca (le nimois incognito), Nicolas Dugué (le jeune épique), Joeffrey Légaux (le belge toulousain), Jacques-Henri Sublemontier (le cynophile), Ahmed Turki (le réalisateur), Thang Quang Dinh (le co-bureau), Jérémie Vautard (Mr Babybel), Claire Herrbach (l'initiative), Paméla Gasse (la confidente),.. . Je savais bien que j'allais en oublier ! Je pense également aux étudiants que j'ai eu le plaisir d'encadrer durant ces quelques années, ou que j'ai croisé au détour d'un couloir, ou à la FIFO ; certains sont même devenus des amis ! Là encore, il serait périlleux de vouloir tous les citer ; le principal, c'est que je pense à vous ! À toute les personnes qui ont apporté leur pierre indispensable à l'édifice, citées ou non précédemment (notamment toutes celles extérieures à l'université) : je ne pourrais vous citer toutes et tous, mais sachez que vous avez vous aussi votre part d'inoubliable dans cette aventure unique ! « Tu veux faire une thèse ? Mais c'est encore trois ans d'études !-Oui, au moins.. . » Les choix d'études peuvent parfois être difficiles pour notre entourage, surtout lorsqu'il s'agit d'y greffer encore et toujours des années supplémentaires. J'ai la chance d'avoir une famille qui m'a toujours soutenue (et supportée) dans mes choix d'études. Je leur dois sans aucun doute d'être arrivé jusque-là, avec succès ! C'est ainsi que s'achève cette thèse ! Me voilà arrivé au bout de cette épopée. Ma chère Kris, ma chère Same, c'est aussi grâce à vous ; Ma pensée toute spéciale vous est dédiée.
Réductions de graphes et systèmes de Church-Rosser
RAIRO - Operations Research, 1981
Réductions de graphes et systèmes de Church-Rosser RAIRO. Recherche opérationnelle, tome 15, n o 2 (1981), p. 109-117 http://www.numdam.org/item?id=RO\_1981\_\_15\_2\_109\_0 © AFCET, 1981, tous droits réservés. L'accès aux archives de la revue « RAIRO. Recherche opérationnelle » implique l'accord avec les conditions générales d'utilisation (http://www. numdam.org/conditions). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d'une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ R.A.l.R.O. Recherche opérationnelle/Opérations Research (vol. 15, n° 2, mai 1981, p. 109 à 117) RÉDUCTIONS DE GRAPHES ET SYSTÈMES DE CHURCH-ROSSER (*) par G. CHATY et M. CHEIN (!) Résumé.-On utilise souvent des techniques de réduction pour rédoudre des problèmes d'Optimisation Combinatoire. Lorsqu'il y a des choix possibles, l'ordre dans lequel on effectue ces diverses réductions peut avoir une influence sur le résultat final. On montre dans cet article, comment les systèmes de Church-Rosser fournissent un cadre adéquat pour étudier cette question dans le cas de certains problèmes concernant les graphes orientes.
Psychologie Française, 2010
À partir d'un rapprochement entre deux expériences menées indépendamment sur un même paradigme, le présent article s'intéresse aux contraintes qui influencent la graphomotricité. Une étude princeps menée par sur la reproduction de formes graphiques simples montre que cinq formes sont préférentielles lorsque le bras effecteur n'est pas contraint. Lorsque l'avant-bras est fixé, nos résultats suggèrent l'existence de seulement quatre formes préférentielles. Nos résultats suggèrent que l'ajout d'une contrainte liée sur l'effecteur n'a pas forcément un effet délétère sur le paysage graphomoteur. Si cette hypothèse était confirmée par des études ultérieures, il serait possible d'exploiter les résultats dans le but de faire apparaître de nouvelles formes préférentielles qui ne sont pas spontanément reproduites avec précision sans contrainte ajoutée.
Modélisation géométrique par contraintes
2007
Les modeleurs géométriques classiques permettent de décrire des formes géométriques très variées, mais ils ne prennent pas en compte les intentions de l'utilisateur, et n'utilisent pas son langage, ses gestes, ou son expérience du métier. Cela lui impose notamment d'acquérir un nouveau savoir-faire propre au logiciel, et ralentit la définition des maquettes numériques. Les modeleurs déclaratifs (ou la modélisation par formes caractéristiques (features) en CFAO) entendent combler ce manque : idéalement, l'utilisateur spécifie avec le langage et les gestes qui lui sont familiers les contraintes qui définissent l'objet géométrique ou la scène ; selon l'application, ces contraintes sont des contraintes géométriques, esthétiques (une « ligne de caractère » avec un « beau galbé »), mécaniques, médicales, économiques, etc. ; le modeleur traduit ces contraintes en une représentation interne, par exemple un système de contraintes géométriques (phase d'acquisition) ; le modeleur produit ensuite une ou plusieurs solutions qui satisfont au mieux les contraintes spécifiées (phase de génération) ; l'utilisateur prend connaissance de ces solutions et corrige sa spécification (phase d'exploration) ; un modèle satisfaisant est ainsi obtenu en quelques itérations.