Éléments d'intertextualité dans John Chatterton détective d'Yvan Pommaux (original) (raw)
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Poétique de l'intertextualité dans les romans de Jacques Poulin
Cuadernos de Investigación Filológica, 2004
RESUMEN: Este artículo propone un análisis de la intertextualidad y autointertextualidad en las novelas del escritor quebequense Jacques Poulin. Se aborda este tema en concreto por su riqueza y su funcionalidad, dado que, por un lado, cada novela de Poulin es prácticamente un intertexto recurrente de las demás, y, por otro, todas ellas forman un entramado indisoluble. De modo que cada texto colabora desde su propio ángulo o perspectiva a la exploración gnoseológica y existencial de la realidad que pone en práctica la escritura de Poulin. RESUMÉ: Cet article propose une analyse de l'intertextualité et de l'autointertextualité dans les romans de l'écrivain québécois Jacques Poulin. C'est la richesse et la fonctionnalité de ce sujet qui motive son choix par l'auteur de l'article, car, d'un côté, chaque roman de Poulin est un intertexte récurrent des autres romans et, de l'autre, ils forment tous un réseau indissoluble. De façon que chaque texte collabore, d'après son point de vue particulier, à l'exploration gnoséologique et existentielle de la réalité que l'écriture de Poulin met en pratique.
L'intertextualité dans l'œuvre de Michel Houellebecq
This article is focused on intertextuality in Houellebecq’s work. It describes his philosophical influences such as Comte or Schopenhauer, who helped him to form his own ideas about life and humanity. It also points out his literary influences such as Baudelaire or Lautréamont, about whom Houellebecq refers often with admiration. In the end it evokes a more discreet intertextuality which is rarely exposed when we talk about his work. Published in SVĚT LITERATURY / LE MONDE DE LA LITTÉRATURE — ZVLÁŠTNÍ ČÍSLO. Univerzita Karlova v Praze (Université Charles de Prague). 2015. pp 133-140.
Entre l’esquive et la mise à plat : traduire l’intertextualité chez James Thurber
Palimpsestes, 2006
Il y a quelque temps déjà, j'ai tenté de répondre à la question de savoir si le dictionnaire était un conservatoire de clichés et mon propos était alors la représentation en lexicographie bilingue des clichés 1. Parmi ceux-ci, j'avais évoqué les citations usées, et, ce faisant, avais abordé ce que j'appellerais de l'intertextualité consignable, en reconnaissant bien vite les limites auxquelles les dictionnaires bilingues se trouvent confrontés, puisqu'ils ne peuvent d'une part enregistrer tout des deux cultures qu'ils représentent, d'autre part, prévoir ou prédire ce qui sera cité, pastiché, détourné, utilisé en allusion, etc., tout ce qui aura une charge ou une épaisseur intertextuelle dans chacune des cultures-laissant donc aux dictionnaires de citations, unilingues, le soin de répertorier ce qui est, ou peut être, mis à contribution par d'autres, dans d'autres textes, à d'autres fins, voire sous d'autres formes. Au dictionnaire bilingue, donc, le soin d'enregistrer les citations usées à force de « traîner partout », tellement clichés qu'elles n'ont plus grande valeur culturelle ni effet intertextuel au-delà de l'identification de leur auteur et du texte dont elles sont tirées, éventuellement. 2 C'est une préoccupation similaire qui m'a entraîné à me pencher aussi, ailleurs, sur la traduction des titres de presse, dans lesquels se cristallisent, me semble-t-il, les problèmes liés au non-dit à traduire et à l'allusion culturelle. En effet, le titre de presse anglo-saxon, dans sa grande tradition, le titre jeu de mots ou le titre clin d'oeil, est typiquement un texte qui en cache, plus ou moins, un autre, qui est la clé du décodage et de l'appréciation du titre. Le titre de presse entraîne le lecteur à opérer des rapprochements avec des éléments culturels aussi divers qu'oeuvres littéraires (par allusion à leur titre ou citation), films, chansons, discours connus, mais aussi dictons ou proverbes, slogans, etc. Le lecteur est donc amené à décoder la référence, selon le degré d'enfouissement de celle-ci, et ensuite à en apprécier la justesse et l'adéquation au fur et à Entre l'esquive et la mise à plat : traduire l'intertextualité chez James Thu...
Les lapins blancs dans Lost : Enjeux de l'intertextualité
Entre intertextualité et intratextualité : les évolutions du lapin blanc comme signes de l'ouverture constante du récit dans la série Lost (2004-2010) Lost est une série qui reste ouverte à l'interprétation, même après sa fin. La construction narrative sérielle fonctionne comme un trajet collectif de personnages qui les prépare à accepter un rôle en les faisant passer par une série d'étapes narratives. La série déploie un ensemble de connexions avec d'autres oeuvres (littéraires, musicales, cinématographiques, télévisuelles...) pour rendre hommage à leur influence sur Lost tout en constituant un réseau de significations complexe qui dynamise l'implication du spectateur. La référence passe souvent par le simple placement dans d'objets dans le décor comme les figurines de lapin blanc dans des épisodes comme Jughead (5x03), Some Like It Hoth (5x13) et Lighthouse (6x05), mais de véritables lapins blancs peuvent apparaître à l'écran pour pousser le spectateur à faire le lien, comme dans Every Man For Himself (3x04), The Man Behind The Curtain (3x20) ou Happily Ever After (6x12) Les créateurs constituent par les reprises et variations une intratextualité qui relie l'ensemble du récit comme la grande tapisserie de Jacob. Sarah Hatchuel, dans le chapitre « Intertextualités » de son ouvrage intitulé Lost, Fiction vitale, écrit: « Ces citations créent des plis dans le récit et emmènent les spectateurs familiers de ces références dans des labyrinthes de significations et de suppositions, comme autant de brèches ouvertes dans la trame narrative première. ». Les éléments introduits par relation intertextuelle s'étoffent progressivement de significations spécifiques, non seulement à la série, mais aussi à la saison ou au cadre diégétique de l'épisode. À travers les nombreuses reprises et évolutions du lapin blanc d'Alice au pays des merveilles, je montrerai comment évolue une relation intertextuelle au fil de la narration sérielle. Le lapin blanc, dont la poursuite mène le personnage dans un univers fictif, est le motif central dans cette hésitation entre ouverture du récit à de nouveaux espaces de la fiction et cette tendance à faire oeuvre par les retours du récit sur lui-même. La reprise est en rupture avec le personnage carrollien car les créateurs de Lost ne s'y intéressent que dans la mesure où il permet d'entrer dans la fiction, ils ne reprennent pas du tout la réapparition du lapin blanc d'Alice lors du procès de la fin du conte carrollien. J'analyserai l'enrichissement et l'évolution du motif en suivant la progression des saisons. Je posterai plus tard une version rédigée selon les normes académiques (avec bibliographie et références exactes de citations).
Intertextualité et déconstruction
Protée, 1999
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.
De l'intertextualité à la récriture
Cahiers de Narratologie, 2006
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