COQUELIN Constant et COQUELIN Ernest (original) (raw)

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Tandis que Constant recevait les hommages très appuyés à ses obsèques, Ernest, interné dans une maison de santé à Suresnes depuis la fin 1908, s’apprêtait à le rejoindre au paradis des acteurs deux semaines plus tard. Loin des mondanités, il reçut l’hommage plus simple, mais plus touchant, de sa ville natale où la foule était si nombreuse au cimetière de l'Est qu’elle y causa des dégradations.

La Maison de retraite des artistes dramatiques et son caveau commun au cimetière de Couilly-Pont-aux-Dames

COQUELIN Constant, dit Coquelin l'Aîné (1841 – 23 janvier 1909)

Parc de la Maison de retraite des artistes dramatiques de Couilly-Pont-aux-Dames (Seine-et-Marne)

COQUELIN Ernest, dit Coquelin Cadet (1848 - 8 février 1909)

Cimetière de l'Est de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais)

De son côté, Ernest s’illustra durant quarante ans sur les planches du Théâtre Français, et fut le précurseur du monologue, ancêtre de l’actuel one-man-show, qu’il interprétait seul dans les salons privés.

Leur célébrité, en particulier celle de Constant, leur permit de fréquenter les hommes d’Etat et souverains européens. Elu, en 1900, à la tête de l'Association des Artistes Dramatiques, en 1900, la même année, Clément Maurice (1853-1933) l’immortalisa sur la pellicule dans la tirade du duel de Cyrano de Bergerac. Il s’agit rien moins que du premier film sonore en couleur de l’histoire du cinéma:

Tous deux philanthropes, mais chacun à sa manière, les frères Coquelin se donnèrent au service des autres

Constant, en mettant tout en œuvre pour la création d’une maison de retraite pour artistes à Couilly-Pont-aux-Dames (Maison de retraite des artistes dramatiques), Ernest, en prenant part, durant toute sa carrière, à de nombreuses représentations caritatives, notamment à Boulogne, ou en léguant une partie de sa fortune à sa ville natale.

Comme inséparables, tous deux s’éteignirent au début de l’année 1909 plongeant le monde du théâtre dans un grand deuil.

Constant Coquelin, devenu l’un des comédiens les plus notoires de son temps, mourut dans la maison qu’il habitait dans le parc de la Maison de retraite de Couilly. C’est dans ce même parc qu’il avait souhaité reposer. Après ses obsèques, en présence de nombreux représentants de l’État du monde du spectacle parisien et d’une foule d’anonymes, il fut d’abord inhumé dans cimetière de la commune, le temps que soit érigée sa tombe définitive qu’il rejoignit le 2 novembre 1909, jour de son inauguration.

L’architecte et peintre René Binet (1866-1911) dessina le monument, dont l’intérieur est ceinturé par un banc de pierre, au milieu duquel est placée une pierre tumulaire qui porte le buste de l’artiste réalisé par le sculpteur Auguste Maillard (1864-1944) sous lequel on peut lire, en guise d’épitaphe, une phrase prononcée par Edmond Rostand au cours de son éloge funèbre : « Qu’il dorme dans son beau jardin. Ses vieux comédiens veillent sur lui ».

Avec lui repose son fils, Jean.

La maison qu'habitait et où mourut Constant Coquelin dans le parc de la Maison de retraite des artistes dramatiques.© MCP

Plus bas, en droite ligne, son tombeau © MCP

Elève de l’actrice Jeanne Arnould-Plessy et de Constant, il entra lui aussi à la Comédie Française avant de l’abandonner pour suivre son père lors de sa tournée à l’étranger. Il joua plusieurs fois à ses côtés. Après le théâtre de la Renaissance, il prit la direction du Théâtre Saint-Martin conjointement avec son père jusqu’en 1901, puis seul jusqu’en 1909, puis avec Henry Hertz, jusqu’en 1910.

Présent sur scène mais aussi au cinéma, il endossa divers troisièmes rôles dans une vingtaine de films à partir des années 1920, parmi lesquels : Les Perles de la couronne (1937) de Sacha Guitry et Christian-Jaque, Le Destin fabuleux de Désirée Clary (1942) de Sacha Guitry ou encore Le Comte de Monte Cristo (1943) de Robert Vernay, La Main au diable (1943) de Maurice Tourneur. Il était le père de l’acteur Jean-Paul Coquelin (1924-2001)

Son buste par Auguste Maillard © MCP

Les funérailles de Constant Coquelin à son domicile de Couilly

La Maison de retraite des artistes dramatiques © MCP

La statue de Molière par Mélingue © MCP

En 1840, le baron Taylor, grand philanthrope, avait fondé la Société de Secours Mutuels des Artistes qui avait pour objectif de sauver les artistes de la précarité due à leur métier. En tant que son digne successeur, Constant Coquelin désirait créer une maison de retraite pour les vieux comédiens.

Son rêve se réalisa en 1901, lorsqu’un de ses amis repéra un château et son terrain à vendre à Couilly. Le projet de construction vit le jour en 1902, grâce au don très conséquent des frères Rothschild d’un gain gagné lors d’une loterie organisée par l’Association, et la générosité d’artistes et de particuliers.

Coquelin choisit l’architecte René Binet pour le mener à bien et, dès le 1er août 1905, après une inauguration en grande pompe, les premiers pensionnaires prirent possession des lieux. La maison, prévue pour soixante personnes, fut meublée grâce aux bénéfices de matinées de galas organisées au Trocadéro où les plus grands noms de l’époque, tel Mounet-Sully, venait sur scène ; de la vente d’un poème écrit par Edmond Rostand (Le Verger) ; etc.

En juillet 1906, en présence de plus de cinq-cents invités, dont le président Armand Fallières et son gouvernement, on célébra l’achèvement du théâtre de verdure, œuvre de Binet, et la venue de la statue de Molière, œuvre d’Etienne Mélingue (1807-1875) offerte par son fils. Ce théâtre, et celui d’hiver couvert, vit défiler les plus grandes vedettes offrant un temps à Pont-aux-Dames son heure de gloire en rivalisant avec les de grands festivals de l’époque, comme Orange ou Saintes.

Le théâtre de verdure, de nos jours © MCP

Ainsi, les bénéfices de ses représentations, et autres dons, permettaient-ils d’adoucir la vie de ceux qui avaient fait les beaux jours du théâtre. Dans le registre de l’entraide aux professionnels du spectacle aux proies à des difficultés, les plus anciens d’entre nous se souviennent peut-être encore de

« la Roue tourne » (créée en 1957) consistant en la vente d’enveloppes caritatives lors de spectacles parisiens.

Avec le temps, nécessité financière faisant loi, la maison a été ouverte à une autre clientèle que celle des artistes dont la présence s’est réduite à moins d’une poignée.

Parmi tous ceux qui la fréquentèrent, beaucoup furent inhumés dans le cimetière de la commune.

Les priorités financières de la direction de la maison de retraite étant bien compréhensives, et malgré la volonté d’y remédier, faute de moyens suffisants, les caveaux communs affichent un aspect de dégradation avancé, pour ne pas dire de désolation. Quant aux deux tombes individuelles, elles ne présentent pas meilleure figure. L'intervention d'un mécène pourrait-elle changer les choses ?

Combien y sont inhumés ? Sur les pierres tombales des caveaux, au moins une quarantaine de noms sont gravés mais sont devenus illisibles pour la plupart. Ils sont probablement plus nombreux.

Les rares qui ne virent pas le jour au 19ème siècle naquirent dans les premières années du siècle suivant. Malgré des carrières honorables pour certains, très rares sont ceux qui peuvent encore prétendre évoquer un vague souvenir dans la mémoire des plus anciens d’entre nous. J’aurai aimé les évoqués tous, un bref instant. Malheureusement, l’illisibilité réduit à néant ce vœu pieux et les renvoie à un nouvel oubli. Seuls Paul et Jacques Préboist semblent profiter d'une sépulture digne de ce nom. A croire que les autres étaient déjà enterrés de leur vivant.

Constant, dit Coquelin l’Aîné et Ernest, dit Coquelin Cadet, quittèrent Boulogne-sur-Mer, leur ville natale, pour gravir un à un les échelons les menant au firmament.

Après un passage réussi au Conservatoire national, les frères Coquelin firent les beaux jours de la Comédie-Française, où ils jouèrent aussi bien le répertoire classique, que contemporain.

Suite à un conflit retentissant avec la Comédie-Française, Constant effectua de nombreuses tournées à l’étranger, et s’investit parallèlement dans le théâtre privé.

Il prit la direction du théâtre de la Porte-Saint-Martin où, en 1897, il créa Cyrano de Bergerac, rôle dont il devint indissociable et qui lui assura une gloire éternelle puisqu’il fut le premier interprète de ce héros d’Edmond Rostand qui lui dédia sa pièce.

Tombe d'Ernest Coquelin

© Ph. Landru

Sur les murs, des noms d'artistes et leurs portraits en médaillon rappellent la fonction première de la maison à la clientèle dorénavant bien différente © MCP

Le théâtre de verdure à son heure de gloire

Chanteuse à la voix haut perchée, mais aussi actrice, en 1936, Marie Bizet (Germaine Boyer) joua dans l'opérette Ignace auprès de Fernandel avec qui elle chantait en duo Redis-le me. Si on la vit dans quelques films, elle s'imposa surtout au music-hall comme chanteuse fantaisiste et c’est le moins que l’on puisse dire si l’on écoute et décortique certains textes de son répertoire comme, Hôtel des trois canards, J’y va-t’y, j’y va-t’y pas, etc.

Pourtant, parmi les auteurs qui écrivirent leurs premières chansons pour elle, on compte Pierre Delanoë ou encore Gilbert Bécaud qui fut son pianiste et accompagnateur au début des années 1950. En 1980, elle fêta ses soixante-quinze ans en donnant un récital au théâtre Saint-Martin.

Sa chanson Rythme et swing fut choisie par la marque vestimentaire Little Marcel pour accompagner le clip d'accueil de son site internet. Elle mourut à Couilly-Pont-aux-Dames où elle bénéficia d’une tombe particulière en triste état de nos jours.

Merci à Michel Schreiber pour ces photos

► BORG Ariane (Lucie Derveaux-Six) (1915-2007)

Très belle, issue d’une très vieille famille flamande d’aristocrates reconvertis dans l’industrie textile à Roubaix, elle fut remarquée par Louis Jouvet, puis par Georg Wilhelm Pabst qui la fit tourner dans deux de ses films. Grâce à l’appui de D.W. Griffith, elle entama une carrière américaine. En 1935, la puissante MGM racheta son contrat et décida de la façonner pour en faire une nouvelle Garbo. Mais, alors qu’un magnifique projet cinématographique se dessinait avec elle en vedette, la mort du réalisateur prévu provoqua son éviction de la distribution. Un rendez-vous manqué que d’autres suivirent. De retour en France en 1939, la guerre la bloqua en France. De retour en France en 1939, la guerre la bloqua en France.

Commença alors la période la plus brillante de sa carrière française, où films et pièces de théâtre alternèrent rapidement avant que ni sa beauté, ni le retentissement de sa jeune carrière, ne fassent aboutir le moindre projet au cinéma. La Cabane au souvenir (1946) fut son dernier film. Sa carrière théâtrale la maintint encore un peu avant qu’elle n’entame un inexorable déclin. Marié à Michel Bouquet qu’elle rencontra en 1945, leur union se solda par un divorce douloureux.

En 1955, sa tentative de come back aux Etats-Unis fut un échec. De retour en France, elle remonta sur scène avec la pièce Chatterton, d’Alfred de Vigny, qu’elle monta à ses frais. Ses décennies de vie mondaine lui avaient permis de croiser tous ceux qui comptaient, compteront ou avaient compté autant dans le domaine du cinéma, du théâtre ou de la littérature, sans devenir la star qu’elle aurait pu être. Dans son appartement de l’avenue Montaigne, sa vie s’étiola laissant sa beauté fanée, et pourtant intacte, et son cœur meurtri aux prises d’une terrible amertume, regrettant d’avoir quitté l’Amérique qui lui avait été si hospitalière.

► CARNÈGE André (Eugène Cargemel) (1890-1969)

Si sa première apparition au cinéma date des années 1920, sa carrière, à la filmographie impressionnante de troisième rôle, s’étala des années 1930 aux années 1950.

Sortie du Conservatoire de Lyon, elle débuta sa carrière d’artiste lyrique, comme contralto, à l’Opéra de cette ville (1901). Engagée à l’opéra de Paris (1907), où elle interpréta notamment, Samson et Dalila, de Camille Saint-Saëns, on la vit aussi à l’Opéra Comique. Créatrice de plusieurs rôles, dont celui de Madame Rolland pour l’opéra éponyme à la Gaieté lyrique (1914), elle poursuivit l’essentiel de sa carrière sur les scènes parisiennes et de province même si elle chanta à Bruxelles.

► CHARPANTIER Marguerite ( ?- ?)

► CHARBONNEL Marie (1880-1969)

Soprano de l’Opéra Comique, elle fut notamment connue pour son rôle-titre de Manon, l'opéra de Jules Massenet.

► DEBORY Nadia (Fernande Durand) (1896-1981)

Comédienne de théâtre, elle apparut dans un film, La Maison de la flèche (1930), d’Henri Fescourt

► DHERVILLY Marfa (Marthe Dutreix) (1876-1963)

Qui peut se souvenir de nos jours que cette belle actrice de théâtre fut une reine de Paris qui côtoya Guitry père et fils ou Sarah Bernhardt… Les grandes heures de sa beauté étaient passées mais, drapée dans des personnages de grandes mondaines qui lui allaient à ravir, son prestige restait immense. Elle avait déjà séduit la caméra quand à la demande de René Clair, elle accepta de tourner dans Prix de Beauté (1930). Malheureusement, le film ayant échappé à son réalisateur et Marfa dégoutée pour avoir quasiment disparue au montage et à la sonorisation, jura qu’on ne l’y reprendrait plus.

Mais piquée au jeu du parlant, elle revint de suite jusqu’à devenir une boulimique de la pellicule. La cadence accélérée des tournages perdura jusqu’en 1940. Pendant l’Occupation, son attitude hautement cocardière lui valut d'être mise à l’index.

Les années d’après-guerre effacèrent doucement le souvenir de la grande dame. Agée, si elle tournait encore, les rôles se faisaient de plus en plus rares et de plus en plus courts. Bientôt elle ne put compter que sur ses amitiés pour intégrer la distribution d’un film de Guitry ou de Jean Delannoy dont elle était l’idole absolue et qui lui permit d’aligner quelques films de grand prestige à sa longue filmographie dont La Minute de Vérité (1952) ou Marie Antoinette (1955) .

Recueillie à Couilly, elle y finit ses jours dans une triste solitude.

► FONTAINE Charles (1878-1955)

Ténor, après des débuts remarqués lors de la saison 1903/1904 au théâtre royal de La Haye puis sur plusieurs scènes belges et françaises, mais moins apprécié à Londres, déçu par la critique britannique, il retrouva avec plaisir le chaleureux public des salles de province en France. Sa réputation grandissante lui valut d’être embauché à l’Opéra de Paris où il débuta en 1911 sans pour autant négliger sa Belgique natale. Ce chanteur, au départ ténor demi-caractère, possédait un aigu rayonnant autant qu’une extrême faculté d’adaptation qui lui permettait de passer avec une aisance confondante d’un timbre à un autre. Au terme d’ carrière longue et chargée, il se retira discrètement à Couilly où il est inhumé avec sa femme, Eva.

Son nom sur la plaque se devine plus qu'il ne se lit.

► LE MARCHAND Lucienne (1908- 1992)

Comédienne belge, des années 1930 au années 1980, elle mena parallèlement ses carrières cinématographiques et théâtrales en France où le succès fut toujours au rendez-vous. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle s’expatria en Algérie, puis en Égypte, où elle fonda sa propre compagnie théâtrale. De retour à Paris à la Libération, elle participa aux débuts de la nouvelle aventure du T.N.P. en 1945. Dans les années 60 un des piliers de la compagnie Roger Planchon au Théâtre de la Cité de Villeurbanne.

► MENDAILLE Daniel (1885-1963)

Acteur de théâtre, déjà vedette des scènes parisiennes, il s’essaya au cinéma muet dès 1909 et entama une belle carrière dans ce registre durant les années 1920 où il tourna, notamment dans le Napoléon (1927), d’Abel Gance. Avec l’arrivée du cinéma parlant, il put enfin prouver la pleine capacité de son talent sans pour autant gagner le haut de l’affiche. Malgré sa cinématographie impressionnante, qui dura jusqu’aux années 1950, il se vit progressivement relégué aux rôles de composition de plus en discrets.

Marié à la comédienne et danseuse d’origine espagnole Leda Ginelly (Geneviève Petry) (1899-1959), il abandonna la vie artistique après le décès de sa femme. Très affecté par cette disparition, il s’isola à Couilly où il mourut et fut inhumé avec Leda.

►STUDER Raymond (?-?)

Comédien de théâtre qui, si l’on en croit l’hommage amical sur sa tombe, se fit l’interprète de Corneille, Molière et Racine. S’il resta chaleureusement dans la mémoire de ses amis, c’est déjà une bonne chose, car impossible, dans l’immédiat, de trouver des informations consistantes le concernant, sauf qu’il joua : un caporal dans Le Choix des assassins (1966), de Philippe Fourastié ; Drevet, un bagnard au procès de Fauchelevent, dans Les Misérables (1982) de Robert Hossein et dans Le Retour d’Elisabeth Wolff (1982), de Josée Dayan. Il fut inhumé dans une sépulture individuelle.

► VISSIÈRES Charles (1880-1960)

Si ce comédien tourna de façon soutenue des années 1930 à la fin des années 1950, force est de constater, à la lecture de sa filmographie, qu’il resta cantonner toute sa carrière dans des troisièmes rôles.

► WALTHER Léon (Léon Valadier) (1874-1973)

Si ce comédien tourna de façon soutenue des années 1930 à la fin des années 1950, force est de constater, à la lecture de filmographie, qu’il resta cantonner toute sa carrière dans des troisièmes rôles. Interprète de pièces de Sacha Guitry, il apparait aussi dans de nombreux films de ce dernier.

Tous mes remerciements à M. Yvan Hude, directeur de la Maison de Retraite de Couilly-Pont-aux-Damesn pour son accueil.

Source pour la Maison de Retraite : Historique de la Maison de Retaite des Artsites de Pont Aux Dames par Sandrine Pierrette

► BIZET Marie (1905-1998)

► COQUELIN Jean (1865-1944)

TOMBES ET SEPULTURES DANS LES CIMETIERES ET AUTRES LIEUX

Dernière mise à jour

au 22 juin 2021

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par Marie-Christine Pénin

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