Armoiries Research Papers - Academia.edu (original) (raw)
L'étude des armoiries attribuées à Guillaume Couillard, ainsi qu'à ses fils Louis et Charles est bien difficile en raison de l'absence de sources fiables prouvant leurs authenticités.
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- Nouvelle-France, Blason, Sceaux, Héraldique
Les armoiries sous le nom TRACY sur la façade de l'hôtel du Parlement de Québec présente un meuble caractéristique de l'héraldique napoléonienne. Or, Alexandre de Prouville, marquis de Tracy, vient en Nouvelle-France sous le règne de... more
Les armoiries sous le nom TRACY sur la façade de l'hôtel du Parlement de Québec présente un meuble caractéristique de l'héraldique napoléonienne. Or, Alexandre de Prouville, marquis de Tracy, vient en Nouvelle-France sous le règne de Louis XIV.
Le crancelin, cet élément mystérieux initialement présent dans les armoiries de nos premiers Rois et soudainement réapparu en 2019, après un siècle de bannissement. Quelle est exactement cette pièce, dite végétale, brisure, métallique,... more
Le crancelin, cet élément mystérieux initialement présent dans les armoiries de nos premiers Rois et soudainement réapparu en 2019, après un siècle de bannissement. Quelle est exactement cette pièce, dite végétale, brisure, métallique, divine ? Des anciens Grecs et valeureux Germains, en passant par le peuple élu et les ours totémiques, débroussaillant les légendes héraldiques, on en arrive aux états européens, en Afrique et Amérique. Une démystification prouvée sur base d'un dépouillement rigoureux de l'abondante littérature allemande sur le sujet. Illustrations du dessinateur héraldique Sivane Saray (Bruxelles)
- by F. M. J. Müllender and +1
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- Heraldry, Nobility, Saxony (Germany), Belgium
The Quincy lineage changed its coat of arms at the beginning of the Thirteenth Century, when Saer IV became earl of Winchester: the fess and lambel were abandoned in favor of seven mascles. This major change is probably due to the title... more
The Quincy lineage changed its coat of arms at the beginning of the Thirteenth Century, when Saer IV became earl of Winchester: the fess and lambel were abandoned in favor of seven mascles. This major change is probably due to the title gained by Saer de Quincy. The seven mascles were engraved very quickly on Saer’s new seal matrices and his wife’s, Margaret de Beaumont. Their descendants have kept using it for centuries, even if the title of Winchester had disappeared quickly after the death of Saer’s son, Roger, constable of Scotland.
The new blazon of the Quincy was sometimes used as proof of Briton origins, if one considers the coat of arms of the Rohan family, similar in its heraldic figures and colors. However, no other elements give indication of any familial or political alliance between the Quincy and the Rohan lineages. On the other hand, diplomatic mentions and feudal relationships tend to point towards the french Flanders, especially Cuinchy. Another flamish location could eventually be mentioned: Cuincy, whose lords wore a lambel on their shields. But, here again, this coat of arms isn’t proof enough of a familial link between the lords of Cuincy and the Quincys, even if the fess on Saer’s first blazon – instead of the lambel – could be considered as a brisure, just like the one on the coat of arms of his cousin Robert FitzWalter.
En 1950, le belge Fortuné Koller publie l'Armorial universel présentant 3453 blasonnements d'armoiries personnelles et corporatives de 20 pays différents, dont 807 canadiennes. L'article présente la genèse du projet et analyse les... more
En 1950, le belge Fortuné Koller publie l'Armorial universel présentant 3453 blasonnements d'armoiries personnelles et corporatives de 20 pays différents, dont 807 canadiennes. L'article présente la genèse du projet et analyse les armoiries canadiennes afin de déterminer les auteurs.
La famille toulonnaise de MARTINENQ occupa pendant cent-vingt-et-un ans la charge de conseiller du roi et visiteur général des gabelles de Toulon, depuis Jean MARTINENQ, avocat en la cour, nommé en 1638 (elle avait été occupée... more
La famille toulonnaise de MARTINENQ occupa pendant cent-vingt-et-un ans la charge de conseiller du roi et visiteur général des gabelles de Toulon, depuis Jean MARTINENQ, avocat en la cour, nommé en 1638 (elle avait été occupée précédemment par Honoré de Cuers, dont la première épouse était Anne CAMELIN, de la famille fréjusienne des deux évêques), auquel succéda son fils Joseph MARTINENQ en 1679, puis le fils de celui-ci, François MARTINENQ, le 21 mai 1710, puis au fils de celui-ci Jules François Martinenq le 18 Janvier 1736.
Les armoiries créées pour Louis-Philippe Normand (1863-1928) ont beaucoup de similitudes avec celles des familles Le Normand d'Étioles et Le Normand du Fort. L'article présente les origines de ce maire de Trois-Rivières et l'importance... more
Les armoiries créées pour Louis-Philippe Normand (1863-1928) ont beaucoup de similitudes avec celles des familles Le Normand d'Étioles et Le Normand du Fort. L'article présente les origines de ce maire de Trois-Rivières et l'importance des recherches généalogiques lors de la création d'armoiries.
Una copia di questo volume, autografata dall’autore del presente saggio, è in vendita (A copy of this book, autographed by the author of the present essay, is for sale): rivolgersi a (please contact) stemmitaly@gmail.com oppure (or)... more
Una copia di questo volume, autografata dall’autore del presente saggio, è in vendita (A copy of this book, autographed by the author of the present essay, is for sale):
rivolgersi a (please contact) stemmitaly@gmail.com oppure (or) araldikon@live.it
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Pubblicato in: in “Lo stemmario Carpani”, Atti del convegno Le fonti dell'araldica – Lo stemmario Carpani, organizzato dal Centro Studi Araldici, 22 giugno 2013, Varese, Centro Studi Araldici 2015, pp. 133÷163
L'art héraldique inventé aux XIIe siècle est l'un des plus anciens systèmes d'identification des personnes, des collectivités et des sociétés. L'article présente les origines et les fondement de cet art, ainsi que sont évolution au Québec... more
L'art héraldique inventé aux XIIe siècle est l'un des plus anciens systèmes d'identification des personnes, des collectivités et des sociétés. L'article présente les origines et les fondement de cet art, ainsi que sont évolution au Québec et sont utilisation dans la commémoration historique.
Du XVe au XVIIe siècle, la Flandre wallonne, région située aux alentours de Lille et Douai semble avoir été un centre de production héraldique. De nombreux indices montrent l’existence d’une "culture héraldique" locale . On ne connaît... more
Du XVe au XVIIe siècle, la Flandre wallonne, région située aux alentours de Lille et Douai semble avoir été un centre de production héraldique. De nombreux indices montrent l’existence d’une "culture héraldique" locale . On ne connaît pas l’auteur de l’armorial Bellenville, datant de la fin du XIVe siècle, conservé à la BnF, mais on sait qu’il a été la propriété d’Antoine de Beaulaincourt, lieutenant de la Gouvernance de Lille à partir de 1537, plus tard et jusqu’à son décès roi d’armes de l’ordre de la Toison d’or. Le grand armorial équestre de la Toison d'or, la cour amoureuse de Charles VI, au XVe siècle, la série de recueils faits pour Alexandre Leblancq et ceux attribués à Jacques Leboucq sont également à replacer dans un contexte régional. Les archives signalent les noms de plusieurs peintres et dessinateurs lillois impliqués au XVIe et jusqu'au début du XVIIe siècle dans la réalisation de décors ou de documents héraldiques.
Vous pouvez me contacter pour obtenir les annexes de ce mémoire de recherche (gaspardl @ hotmail .fr)
Joseph Melchior de L'ESTANG-PARADE, Marquis de Lestang-Parade. Lieutenant des grenadiers à Cheval, Seigneur du Mas-Blanc. Page de la Petite Écurie du Roi, lieutenant des grenadiers à cheval de la Maison du Roi. Né le 21 avril 1737 à... more
Héraldique dynastique. Étienne le Grand et ses armoiries Il est difficile de reconstituer l’évolution des armoiries utilisées par Étienne le Grand tout au long de son règne (1457–1504) à cause des témoignages capables de fournir les... more
Héraldique dynastique. Étienne le Grand et ses armoiries
Il est difficile de reconstituer l’évolution des armoiries utilisées par Étienne le Grand tout au long de son règne (1457–1504) à cause des témoignages capables de fournir les informations nécessaires. On peut suivre cette évolution à partir de 1470, lorsqu’une première représentation des armoiries princières fut gravée sur un encensoir en argent doré destiné au Monastère de Poutna, jusqu’en 1494, quand on lui trouve l’achèvement sur une grande cloche en bronze, destinée au Monastère de Bistriţa. En cette dernière formule (considérée à juste titre une véritable synthèse héraldique), elles sont figurées en couleurs sur une feuille de parchemin d’un manuscrit envoyé en 1502 au Monastère de Zographou à la Sainte Montagne. Pendant ce quart de siècle (1470–1494), l’évolution des armoiries princières semble assez sinueuse, parfois même contradictoire. On a des monuments héraldiques bien datés, on a aussi d’autres dont les dates sont incomplètes (inscriptions votives brisées) ou controversées, et encore d’autres dépourvus de tout élément chronologique (carreaux de poêle, monnaies). Il faut, donc, en première ligne, rétablir la chronologie des dits monuments, pour éliminer les contradictions et mettre en lumière le développement des armoiries jusqu’à la synthèse finale. L’auteur ne croit pas possible que cette évolution soit chaotique, c’est-à-dire supposant des retours aux formules utilisées quelques années auparavant ou l’emploi simultané des formules différentes dans certains coins du pays.
Il y a encore un problème très difficile et controversé: l’interprétation des meubles qui se succèdent ou se rassemblent dans les partitions de l’écu. L’auteur soutient l’idée qu’il n’y a aucun rapport entre ces meubles (et leurs changements) et la politique extérieure du prince moldave. À côté des meubles hérités de ses ancêtres, qui ont connu eux aussi des transformations visibles ou symboliques (les fleurs de lys et la croix), le prince a introduit en 1494 au coeur de l’écu (en abîme) le soleil de midi, symbole controversé qui, selon l’auteur, pourrait exprimer sa propre personnalité.
L'activité du peintre en armoiries Martin Doué à Lille au début du XVIIe siècle s'inscrit dans une tradition et la continuation des auteurs de plusieurs armoriaux depuis le début du XVe siècle ("Armorial équestre de la Toison d'or",... more
L'activité du peintre en armoiries Martin Doué à Lille au début du XVIIe siècle s'inscrit dans une tradition et la continuation des auteurs de plusieurs armoriaux depuis le début du XVe siècle ("Armorial équestre de la Toison d'or", armoriaux de l''Epinette...). Dessinateur et concepteur d'objets armoriés, le peintre est également sollicité à l'occasion de cérémonies funéraires ou joyeuses entrées ou en tant qu'expert. Ses activités rejoignent celles des officiers d'armes ...
Il volume accoglie una serie di studi condotti sulle strutture rurali fortificate di carattere residenziale e produttivo della Calabria, presenti nelle zone centro-settentrionali e verso la costa jonica. L'insieme dei saggi e delle schede... more
Il volume accoglie una serie di studi condotti sulle strutture rurali fortificate di carattere residenziale e produttivo della Calabria, presenti nelle zone centro-settentrionali e verso la costa jonica. L'insieme dei saggi e delle schede pubblicate nella raccolta (comprendente l'analisi dei dieci stemmi rinvenuti) copre un ventaglio di tematiche storiche, architettoniche e artistiche che si propone come base per futuri auspicati ampliamenti delle ricerche sull'argomento
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The book contains a series of studies on the fortified rural structures of residential and productive character of Calabria, present in the central and northern areas and near the Ionian coast. The whole of papers and cards published in the collection (including analysis of the ten founded coats of arms) covers a range of historical, architectural and artistic themes offered as basis for future hoped expansion of the research on the subject
Comité de lecture : Ghislain Brunel (Archives nationales), Jean-Luc Chassel (université Paris-Nanterre), John Cherry (British Museum), Marc Gil (université Charles-de-Gaulle-Lille III), Laurent Hablot (EPHE), Laurent Macé (université... more
Comité de lecture : Ghislain Brunel (Archives nationales), Jean-Luc Chassel (université Paris-Nanterre), John Cherry (British Museum), Marc Gil (université Charles-de-Gaulle-Lille III), Laurent Hablot (EPHE), Laurent Macé (université Toulouse-Jean-Jaurès), Christophe Maneuvrier (université de Caen), Christian de Mérindol (musée national des Monuments français), Marie-Adélaïde Nielen (Archives nationales), Michel Pastoureau (EPHE), Michel Popoff (BnF), Miguel de Seixas (université de Lisbonne), Inès Villela-Petit (BnF)
Grand plat Saint Jean du Désert 46 cm Vente Conan à Lyon du 14.12.2014.
_ Réalisé avant 1683 s’il s’agit de Cosme ESTIENNE de CHAUSSEGROS qui décède cette année-là.
_ Ou avant 1697 date de la mort de son frère Louis Etienne de CHAUSEGROS.
Un monument épigraphique et héraldique récupéré: l’inscription votive armoriée de Poutna (1481) La tour par laquelle on pénètre dans l’enceinte du Monastère de Poutna est „scellée” par deux inscriptions votives armoriées: une (datée en... more
Un monument épigraphique et héraldique récupéré: l’inscription votive armoriée de Poutna (1481)
La tour par laquelle on pénètre dans l’enceinte du Monastère de Poutna est „scellée” par deux inscriptions votives armoriées: une (datée en 1756–1757) qui porte les armes des Principautés Roumaines et le nom du prince Constantin Cehan Racoviţă, à l’intérieur; l’autre, à l’extérieur, datée en 1481, avec le nom d’Étienne de Moldavie et les armoiries de ce prince. Cette dernière inscription a éveillé des soupçons surtout à cause de l’épithète velikïi (= le grand) qui accompagne le nom du prince Étienne et celui de son père, le prince Bogdan II: cette épithète
appartient aux traditions diplomatiques de la chancellerie valaque, tandis qu’elle est inusitée dans la chancellerie princière moldave. Les historiens qui se sont penchés sur cette question ont accepté, finalement, que la plaque avec les armoiries et l’inscription votive doit dater du milieu du XVIIIe siècle, lorsque le monastère fut restauré et les murs (y compris la tour) furent reconstruits. Le problème du faux se pose, alors, dans les termes envisagés par l’éminent épigraphiste français, le professeur Robert Favreau: „On doit considérer, avant de parler de faux, qu’il peut s’agir seulement d’une réfection
d’un texte dégradé ou d’une copie d’un texte ancien authentique”. Mais peut-on prouver qu’il s’agisse vraiment, dans ce cas, d’une réplique ou de la réfection d’une inscription armoriée très détériorée à l’époque ?! Ce monument épigraphique et héraldique est, pourtant, très important non
seulement par l’emploi de l’épithète velikïi (= le grand), mais aussi pour la représentation des armes dynastiques (une croix double et une double fleur de lys). L’auteur s’est donc proposé de l’examiner de tous points de vue, afin de constater si les soupçons sont vraiment justifiés ou, au moins, s’il est possible de dénicher un élément douteux, soit du point de vue diplomatique, soit héraldique. Le texte a été analysé par rapport à ceux des deux autres inscriptions votives de Poutna, une datant de la même année 1481 et l’autre de 1559 (dans laquelle on retrouve l’étrange épithète attachée au nom du prince Alexandre Lăpuşneanu). Quant aux armoiries, elles jouissent maintenant d’un véritable „certificat d’authenticité”: une grande inscription armoriée, découverte dans les ruines du château de Suceava, datée en 1477, porte les mêmes armoiries. Il faut donc conclure que l’inscription votive de Poutna ne contient aucun élément douteux: tant la forme (le grand quadrilobe), que le contenu (texte et image)correspondent parfaitement au temps qu’elle indique.
(in: Cuadernos de Ayala, 87, julio/septembre 2021, pp. 7÷12) --- Lo stemma di una famiglia nobile, presente dal medioevo nell’area meridionale dello Stato pontificio, era dapprima caratterizzato da un “parlante” albero di pero che,... more
(in: Cuadernos de Ayala, 87, julio/septembre 2021, pp. 7÷12)
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Lo stemma di una famiglia nobile, presente dal medioevo nell’area meridionale dello Stato pontificio, era dapprima caratterizzato da un “parlante” albero di pero che, successivamente accostato da due leoni controrampanti, ha assunto un aspetto ancor più marcatamente simmetrico, e tale da rientrare in maniera formale nell’antichissima casistica delle raffigurazioni emblematiche che concretizzano un concetto di simmetria da sempre insito nell’animo umano.
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El escudo de armas de una familia noble, presente desde la Edad Media en el sur de los Estados Pontificios, se caracterizaba inicialmente por un peral "parlante" que, más tarde, al estar flanqueado por dos leones afrontados, adquirió un aspecto más marcadamente simétrico: así, puede incluirse formalmente en la antigua casuística de representaciones emblemáticas que caracterizan un concepto de simetría que siempre ha sido inherente al alma humana.
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The coat of arms of a noble family, present since the Middle Ages in southern area of the Papal State, was first characterized by a “canting” pear tree which, subsequently accosted by two counter-rampant lions, took on an even more markedly symmetrical aspect, and such as to re-enter in a formal way in the ancient casuistry of emblematic representations that concretize a concept of symmetry always been inherent in human soul.
Pierre Dugua de Mons est le fondateur de Port-Royal en Acadie et le co-fondateur de Québec. Les armoiries qui lui sont attribuées sont différentes de celles que différents chercheurs lui ont attribuées. Nous cherchons a qui appartiennent... more
Pierre Dugua de Mons est le fondateur de Port-Royal en Acadie et le co-fondateur de Québec. Les armoiries qui lui sont attribuées sont différentes de celles que différents chercheurs lui ont attribuées. Nous cherchons a qui appartiennent ces différentes armoiries.
(in: "Cronaca Numismatica", n° 234, novembre 2010, pp. 63÷67) --- Il fascio littorio è una figura simbolica antichissima, presente da millenni nell'immaginario collettivo della cultura occidentale, e derivata da quella romana che a sua... more
(in: "Cronaca Numismatica", n° 234, novembre 2010, pp. 63÷67)
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Il fascio littorio è una figura simbolica antichissima, presente da millenni nell'immaginario collettivo della cultura occidentale, e derivata da quella romana che a sua volta aveva adottato costumi e usanze etrusche. Il simbolo riproduce un oggetto d'uso concreto presso le magistrature dei tempi classici il quale, parzialmente dimenticato in epoca medievale e moderna, è tornato in auge con la Rivoluzione francese, rivivendo nei successivi due secoli una ritrovata giovinezza soprattutto su monete, medaglie, e nell'araldica civica italiana.
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The 'fascio littorio' is an ancient symbolic figure, present for millennia in the collective imagination of Western culture, derived from Romans one which itself adopted customs and traditions from Etruscan. The symbol reproduces a concrete object used by magistrates of classical times: partially forgotten in medieval and modern times, it's back in vogue with French Revolution, re-living during the next two centuries a newfound youth especially on coins, medals and in Italian civic heraldry.
Un grand merci à Madame Bernadette de RESSEGUIER qui m'a permis de rectifier l' attribution de l'assiette CADENET. Ces deux pièces ont pu appartenir à: CÉSAR DE CADENET, IIIe du nom, Seigneur de Charleval & d’Aiguebelle, qui épousa,... more
Un grand merci à Madame Bernadette de RESSEGUIER qui m'a permis de rectifier l' attribution de l'assiette CADENET.
Ces deux pièces ont pu appartenir à: CÉSAR DE CADENET, IIIe du nom, Seigneur de Charleval & d’Aiguebelle, qui épousa, par contrat du 28 Avril 1734, Angélique-Marie de Barrigue, des Seigneurs de Montvalon.
Roma, a cura dell'autore 2016 (terza edizione, riveduta e aggiornata) Licenza Creative Commons 4.0 internazionale --- Proposta di rilievo, in 100 schede, dei principali manufatti di interesse araldico, simbolico e iconografico visibili... more
Roma, a cura dell'autore 2016 (terza edizione, riveduta e aggiornata)
Licenza Creative Commons 4.0 internazionale
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Proposta di rilievo, in 100 schede, dei principali manufatti di interesse araldico, simbolico e iconografico visibili nell'ambito del complesso basilicale
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Proposal for a recording, in 100 points, of the main artifacts of heraldic , symbolic and iconographic interest within the basilical area
Una copia di questo volume, autografata dall’autore del presente saggio, è in vendita (A copy of this book, autographed by the author of the present essay, is for sale): rivolgersi a (please contact) stemmitaly@gmail.com oppure (or)... more
Una copia di questo volume, autografata dall’autore del presente saggio, è in vendita (A copy of this book, autographed by the author of the present essay, is for sale):
rivolgersi a (please contact) stemmitaly@gmail.com oppure (or) araldikon@live.it
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Pubblicato in: “Visioni sulla Grande Guerra: tra entusiasmi e disillusioni”, Atti del seminario di studi sulla Grande Guerra riservato alle scuole superiori, Guidonia-Montecelio (Roma) 6.5.2015, Guidonia-Montecelio, Associazione culturale 'La cera di Dedalo' 2015, pp. 54÷61
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Testo della relazione tenuta sugli stemmi di città e personaggi italiani protagonisti del primo conflitto mondiale, stemmi normalmente concessi o modificati durante gli anni Venti anche in esaltazione del regime politico che governava l'Italia
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Text of the report presented about the coats of arms of Italian cities and personalities protagonists of the First World War, normally granted or modified during the Twenties in exaltation of the political regime which ruled Italy
Stemmi, storia e genealogia delle famiglie nobili del Regno di Napoli ascritte nei secoli al Real Monte Manso, istituzione assistenziale fondata nel XVII secolo e tuttora validamente attiva nel panorama culturale del Mezzogiorno d'Italia;... more
Stemmi, storia e genealogia delle famiglie nobili del Regno di Napoli ascritte nei secoli al Real Monte Manso, istituzione assistenziale fondata nel XVII secolo e tuttora validamente attiva nel panorama culturale del Mezzogiorno d'Italia; il testo dà il dovuto risalto anche alla figura del fondatore, basato su documenti d'epoca
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Coats of arms, history and genealogy of the noble families of the Kingdom of Naples inscribed during the centuries to the Real Monte Manso, a welfare institution founded in seventeenth century and still validly active in cultural panorama of Southern Italy; the text also gives due emphasis to the figure of the founder, based on period documents
Programma del Convegno internazionale indetto dall'École française de Rome sui numerosi e diversi aspetti del secolare rapporto fra l'araldica e la corte pontificia - Programme de le Colloque international organisée par l'Ecole française... more
Programma del Convegno internazionale indetto dall'École française de Rome sui numerosi e diversi aspetti del secolare rapporto fra l'araldica e la corte pontificia
- Programme de le Colloque international organisée par l'Ecole française de Rome sur les différents aspects de la relation entre l'héraldique et la cour papale
- Program of the International Conference organized by the Ecole française de Rome about the many different aspects of the relationship between heraldry and papal court
Sous tasse Moustiers aux armes de De ROME, famille originaire de Mane 04 (environ 45kms de Moustiers). _ Esprit Jean de Rome d'Ardène naquit à Marseille le 03 Mars 1684 paroisse St Martin, † à Marseille le 27 mars 1748 (âgé de 64 ans).... more
Au château de Chambord, une grande table du XVIIIe siècle en pierre de liais évoque les fastes macabres d’un résident illustre. D’après une légende restée vive de nos jours, on y aurait embaumé le corps du comte Maurice de Saxe, maréchal... more
Au château de Chambord, une grande table du XVIIIe siècle en pierre de liais évoque les fastes macabres d’un résident illustre. D’après une légende restée vive de nos jours, on y aurait embaumé le corps du comte Maurice de Saxe, maréchal général des camps et armées du roi de France. Le 30 novembre 1750, le fils naturel du défunt électeur de Saxe, Auguste le Fort, mourut dans ses appartements, des suites d’une pneumonie. Sitôt informé de son décès par l’administration des Bâtiments, Louis XV ordonna que son cadavre fût gardé sur un lit de parade et qu’on lui rendît les honneurs militaires comme s’il fût vivant, le temps que la couronne connût le désir de son demi-frère royal, Auguste III de Pologne. Alors qu’on ignorait quelles étaient les dernières volontés de ce grand officier militaire demeuré luthérien – recouvrir son corps de chaux vive [testament olographe du 1er mars 1746] –, il reposa dans la salle d’apparat, embaumé, cœur et entrailles ayant été scellés dans des réceptacles séparés. Sa garde le veilla durant quarante jours, jusqu’au départ du convoi mortuaire pour Strasbourg. Ses obsèques eurent lieu en terre protestante, au Temple neuf, car l'on ne pouvait honorer sa mémoire ni dans l’un des sanctuaires royaux (une messe funèbre à Notre-Dame de Paris, une sépulture en la nécropole de Saint-Denis), ni à Dresde.
Une autre relique historique – l’urne cardiaque en vermeil, conservée à Strasbourg –, des récits de funérailles, des archives curiales (Maison du roi, Guerre et Diplomatie) , des écrits auliques, disent le paradoxe d’une mort protestante advenue dans l’espace de la monarchie française au milieu du XVIIIe siècle, sous le régime de l’édit de révocation de 1685. Dans sa demeure parée de deuil, le roi fit honorer un grand serviteur ayant œuvré pour sa suprématie militaire en Europe. Le corps partagé de son familier y manifesta surtout l’éminente dignité et les ambitions déçues d’un « prince bâtard » légitimé, naturalisé français, apparenté aux maisons de Saxe et de France, soit par les liens du sang, soit par un mariage princier (sa nièce Marie-Josèphe de Saxe avait épousé le dauphin de France en 1747). Conservant ses grâces au défunt artisan du parti saxon à la cour, le souverain aura soigné les intérêts communs des Bourbons et des Wettin – la lignée électorale, catholique depuis 1697 – alors que se jouait le sort de la Pologne et des États baltiques dans son système d’alliances en Europe du Nord.
LE JOURDAN (ETIENNE-JEAN), ancien magistrat, député au Conseil des Anciens, et membre du Tribunal, naquit à Marseille le 30 mars 1756, du mariage de Jean-Maximin, procureur en la sénéchaussée, et de Marguerite Constant. Grâce à lui... more
Call for Papers --- 2° Convegno internazionale sull'araldica (2ème Congrès International sur l'Héraldique - 2nd International Congress about Heraldry - 2ª Conferencia Internacional sobre Heráldica - 2. Internationaler Heraldik-Kongress)... more
Call for Papers
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2° Convegno internazionale sull'araldica
(2ème Congrès International sur l'Héraldique - 2nd International Congress about Heraldry - 2ª Conferencia Internacional sobre Heráldica - 2. Internationaler Heraldik-Kongress)
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Invito e programma (invitation et programme – invitation and program - invitación y programa - Einladung und Programm)
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Palazzo Pretorio
Buggiano (Pistoia - Italia)
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5 ottobre 2019
Les armoiries municipales sont depuis l'invention de l'art héraldique le symbole de l'autorité et de l'autonomie des villes. Au Québec, l'héraldique urbaine a évolué au grés des influences américaines et européennes.
Una guida tascabile agli stemmi dei Papi (da Bonifacio VIII a San Giovanni Paolo II), disegnati e pubblicati in occasione del Giubileo del 2000 --- A pocket guide to the coats of arms of the Popes (from Boniface VIII to St. John Paul II),... more
Una guida tascabile agli stemmi dei Papi (da Bonifacio VIII a San Giovanni Paolo II), disegnati e pubblicati in occasione del Giubileo del 2000
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A pocket guide to the coats of arms of the Popes (from Boniface VIII to St. John Paul II), designed and published for the Jubilee of 2000
Quelques exemples de brisures roturières en Flandre lilloise (XIIIe-XIVe s.) d'après les sceaux François BONIFACE et Dominique DELGRANGE (1) Revue française d'héraldique et de sigillographie, t. 83-85, 2013-15, pp. 167 à 180 (résumé) A... more
Quelques exemples de brisures roturières en Flandre lilloise (XIIIe-XIVe s.) d'après les sceaux François BONIFACE et Dominique DELGRANGE (1) Revue française d'héraldique et de sigillographie, t. 83-85, 2013-15, pp. 167 à 180 (résumé) A partir du XIIIe siècle, des roturiers placent des motifs héraldiques sur le champ de leurs sceaux. Quelques exemples relevés à partir d'un échantillon d'empreintes sur des documents conservés aux Archives départementales du Nord, Lille, font apparaître que ces motifs sont des véritables armoiries, bien établies et transmissibles au sein de la famille (2), en particulier dans le milieu des roturiers et bourgeois non nobles, simples hommes de fief ou même exerçant un métier considéré comme « ignoble » : comme celui de potier de terre… En outre, ces armoiries suivent un système de brisures, bien avant que les premiers traités d'armoiries n'évoquent cette question, (1) Membres de la Commission historique du Nord, Archives départementales, Lille. (2) Comme dans le cas des De le Ville, lignage éphémère, dont les membres s'arment d'une croix ancrée, en utilisant des brisures diverses, dès la fin du XIIIe siècle …
Relazione predisposta per la Giornata di studio in ricordo di Achille Solano, presso la Sala conferenze del Museo Diocesano di Arte Sacra di Nicotera - Report drawn up for the Study Day in memory of Achilles Solano, in the Conference room... more
Relazione predisposta per la Giornata di studio in ricordo di Achille Solano, presso la Sala conferenze del Museo Diocesano di Arte Sacra di Nicotera - Report drawn up for the Study Day in memory of Achilles Solano, in the Conference room of the Diocesan Museum of Sacred Art of Nicotera
Les documents confirmant ou décrivant les armoiries portées par des particuliers n’ont pas tous la même valeur. Les lettres patentes émanant du détenteur d’un pouvoir politique ont une valeur officielle, tandis que les certificats et... more
Les documents confirmant ou décrivant les armoiries portées par des particuliers n’ont pas tous la même valeur. Les lettres patentes émanant du détenteur d’un pouvoir politique ont une valeur officielle, tandis que les certificats et attestations sont produits par des spécialistes, hérauts d’armes ou notaires. Ainsi, dans cette seconde catégorie, on relève des attestations valant preuve et des déclarations de pure complaisance.
(in: "Cronaca Numismatica", n° 64, maggio 1995, pp. 64÷68) --- Sugli stemmi usati dai primi sovrani della dinastia d'Angiò nel Meridione d'Italia, con particolare attenzione ai diversi risvolti araldici (dal seminato di gigli, al... more
(in: "Cronaca Numismatica", n° 64, maggio 1995, pp. 64÷68)
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Sugli stemmi usati dai primi sovrani della dinastia d'Angiò nel Meridione d'Italia, con particolare attenzione ai diversi risvolti araldici (dal seminato di gigli, al concetto di brisura, al capo d'Angiò), e dando evidenza agli utilizzi su moneta.
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About the coats of arms of the early sovereigns of the Anjou dynasty in Southern Italy, with emphasis on some different heraldic aspects (the semé-de-lis, the concept of brizure, the chief of Anjou), and giving evidence to the uses on coins.
L’insolita facciata, dall’aspetto completamente araldico, di una celebre chiesa pugliese offre il pretesto per un’indagine su tutti gli stemmi (laici e religiosi) presenti sul prospetto del sacro edificio - - - The unusual facade, with a... more
L’insolita facciata, dall’aspetto completamente araldico, di una celebre chiesa pugliese offre il pretesto per un’indagine su tutti gli stemmi (laici e religiosi) presenti sul prospetto del sacro edificio
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The unusual facade, with a completely heraldic appearance, of a famous Apulian church offers the pretext for an investigation into all the coats of arms (secular and religious) present on the front elevation of the sacred building
Pubblicato in: “Rivista Araldica”, LXXXVIII, n° 849, ottobre-dicembre 1991, pp. 210÷216 ---------------------- Una breve rassegna di dieci stemmi graffiti su edifici di spicco sparsi per tutt'Italia, esemplificativi di un fenomeno diffuso... more
Pubblicato in: “Rivista Araldica”, LXXXVIII, n° 849, ottobre-dicembre 1991, pp. 210÷216
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Una breve rassegna di dieci stemmi graffiti su edifici di spicco sparsi per tutt'Italia, esemplificativi di un fenomeno diffuso nel tempo e nello spazio
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A brief review of ten coats of arms graffiti on buildings of particular importance scattered throughout Italy, exemplifying a widespread phenomenon in time and space