Avant-Garde Cinema Research Papers - Academia.edu (original) (raw)

Discussions of “silent cinema” have generally focused on films made during the silent era (1894–1929). Even after the spread of synchronized sound, however, several experimental filmmakers created films without soundtracks, purely visual... more

Discussions of “silent cinema” have generally focused on films made during the silent era (1894–1929). Even after the spread of synchronized sound, however, several experimental filmmakers created films without soundtracks, purely visual experiences that challenged cinema’s status as a multisensory medium. This article gives close attention to Stan Brakhage’s 1959 film "Window Water Baby Moving" as a way of outlining
some of the effects of cinematic silence, such as aesthetic ambiguity and a heightened awareness of cinema’s visual rhythms.

Esta investigación analiza el período compren-dido entre finales de los años 20 y principios de los 30 en la literatura de Francisco Ayala. La cuestión principal gira en torno a la deno-minación como vanguardista de los escritos del... more

Esta investigación analiza el período compren-dido entre finales de los años 20 y principios de los 30 en la literatura de Francisco Ayala. La cuestión principal gira en torno a la deno-minación como vanguardista de los escritos del granadino, poniéndolos en relación con otras corrientes de vanguardia españolas y europeas del momento. Ayala fue un escritor fuertemente marcado por la vivencia del cine y de la metrópolis en un momento clave de la historia contemporánea europea, un autor pre-ocupado por el posicionamiento del artista en su contexto político y social.
Abstract: This research analyzes the period between the late 20's and early 30's in the literature of Francisco Ayala. The main issue is to solve the question about the denomination as vanguard of the writings of the Spanish writer, and after that, if possible, put them in relation to other avant-garde art currents, Spanish or European. Ayala was a writer strongly marked by the experience of cinema and the metropolis on a key moment in contemporary European history. An author concerned about the role of the artist in a particular political and social context.

Si se pretende matizar el aporte del arte de Buñuel al proyecto surrealista, es necesario investigar la maduración progresiva de su cine a la luz de la propuesta surrealista de la "liberación del deseo". Así, se intenta en este ensayo... more

Si se pretende matizar el aporte del arte de Buñuel al proyecto surrealista, es necesario investigar la maduración progresiva de su cine a la luz de la propuesta surrealista de la "liberación del deseo". Así, se intenta en este ensayo evaluar los sentidos en que el arte de Buñuel encauza en la sensibilidad surrealista, así como los caminos por los que esta sensibilidad evoluciona a lo largo de su carrera.

Le mythe de Salomé au cinéma : du noir et blanc de Charles Bryant (1923) au délire de couleurs de Carmelo Bene (1972) La richesse des réinterprétations du mythe de Salomé montre à quel point il s'agit d'un de ces mythes essentiels qui ne... more

Le mythe de Salomé au cinéma : du noir et blanc de Charles Bryant (1923) au délire de couleurs de Carmelo Bene (1972) La richesse des réinterprétations du mythe de Salomé montre à quel point il s'agit d'un de ces mythes essentiels qui ne cessent de se réinventer. Dans les Evangiles, la figure de Salomé est mentionnée de manière brève et elliptique pour raconter la mort du prophète Jean-Baptiste et évoquer l'influence naissante du Christ. Cette ellipse première a été utilisée par les auteurs pour transformer la petite fille, d'abord marionnette du désir de sa mère, en figure de femme fatale et en sujet désirant. A l'origine de la fortune littéraire et artistique du mythe, il y a donc cette absence de précision, ce blanc dans le texte, qui est aussi un noyau de nuit du mythe, une obscurité originelle, dont le mystère interroge l'essence du désir, de la femme, de l'art. Ce mythe de la naissance de la femme déploie donc un vaste champ de réflexion, dans lequel se produisent des échanges et des renversements, à la fois esthétiques et idéologiques. Par-delà les enjeux fin de siècle que porte la figure baudelairienne de ce « Serpent qui danse », l'histoire du mythe de Salomé est celle de l'invention d'un personnage. Le christianisme invente l'incarnation, comme le montre Jean Clair en analysant l'histoire de la peinture [1] , et le mythe de Salomé se situe au passage d'un monde païen vers un monde chrétien. Dans ce passage, la figure de Salomé représente en quelque sorte l'envers de celle du Christ, le mythe propose l'histoire d'une incarnation par le mal, d'une invention de la femme, qui doit pour exister traverser les représentations que le désir masculin projette sur elle. Au fil des réécritures, le personnage, d'abord sous l'emprise de sa mère devient le miroir des projections du désir masculin puis s'affirme comme symbole de la puissance du désir féminin : Salomé ne naît pas femme, elle le devient. De l'embryon biblique au fleurissement art nouveau du mythe, jusqu'aux adaptations et aux chorégraphies les plus contemporaines, le mythe reflète l'évolution des images de la femme. Il se fait aussi le miroir des étapes que

This is a review of Scott MacDonald's The Sublimity of Document: Cinema as Diorama (Avant-Doc 2). Oxford UP, 2019.

Una paradoja acecha a este libro. Una tensión entre lo individual y lo colectivo, entre lo trascendente y aquello más inmanente. Jonas Mekas ha sido, probablemente, quien mejor ha representado los logros del cine underground que se llevó... more

Una paradoja acecha a este libro. Una tensión entre lo individual y lo colectivo, entre lo trascendente y aquello más inmanente. Jonas Mekas ha sido, probablemente, quien mejor ha representado los logros del cine underground que se llevó a cabo en los Estados Unidos a partir de los años 50. Sin embargo, no se debería caer en personalismos pues el espíritu de entonces le excede. No aceptaremos las ataduras trata precisamente de lo que Mekas comparte con autores como Thoreau y Whitman, de una necesidad de librarse de yugos tremendamente pesados. Con todo, estas resistencias se dan en un territorio donde la mayoría de veces no se consigue dejar testimonio pero, a pesar de ello, este testimonio llega hasta hoy.

This essay analyzes Zorns Lemma (1962–1970), a film made by American artist Hollis Frampton (1936–1984). Noting Frampton’s use of Robert Grosseteste’s thirteenth-century treatise De luce [‘On Light’] as a key aspect of the film’s... more

This essay analyzes Zorns Lemma (1962–1970), a film made by American artist Hollis Frampton (1936–1984). Noting Frampton’s use of Robert Grosseteste’s thirteenth-century treatise De luce [‘On Light’] as a key aspect of the film’s soundtrack, the essay argues that Grosseteste’s investigations of light as a medium played a key role in Frampton’s theorization of cinema. As such, his interest in medieval light theories spurred him to develop a powerful, idiosyncratic response to prevailing discourses of media and medium specificity during the 1960s. When examined in light of contemporaneous projects by Pier Paolo Pasolini (1922–1975) and Roland Barthes (1915–1980), Zorns Lemma points up the significance of medieval thought in the period’s conceptions of art and time.

Em geral, as teorias da religião colocam em relevo o aspecto de fundamentação e construção de sentido que o discurso religioso estabelece. Assim, a religião é tida como fixação de uma ordem frente ao caos, de um sentido frente ao vazio,... more

Em geral, as teorias da religião colocam em relevo o aspecto de fundamentação e construção de sentido que o discurso religioso estabelece. Assim, a religião é tida como fixação de uma ordem frente ao caos, de um sentido frente ao vazio, de um abrigo frente ao desamparo... enfim, religião tem a ver com construção de mundo. Na contramão dessa percepção, um traço comum dos filmes aqui analisados é apontar para o aspecto de abismo que constitui a religião. Ela não somente desempenha esse papel de fundamentação, mas também pode ser aquilo que desestabiliza, por meio do qual o caos emerge, sendo crítica de si mesma e a desconstrução do mundo constituído. Isto é, a religião pode ser também subversão de mundo.

« Que le cinéma aille à sa perte, c’est le seul cinéma. Que le monde aille à sa perte, qu’il aille à sa perte, c’est la seule politique. » (Le Camion, premier projet). Si l’on a beaucoup glosé sur la vocation politique de cette double... more

« Que le cinéma aille à sa perte, c’est le seul cinéma. Que le monde aille à sa perte, qu’il aille à sa perte, c’est la seule politique. » (Le Camion, premier projet). Si l’on a beaucoup glosé sur la vocation politique de cette double déclaration, autant peut-être que sur le projet cinématographique d’ensemble qu’elle semble supposer, d’aucuns parlant de cinéma impossible ou de mort du cinéma (Madeleine Borgomano, Sarah Gaspari), l’on n’a jamais vraiment comparé la structure des deux propositions : elles apparaissent rigoureusement parallèles, mais elles ne le sont pas. Aux yeux de Duras, le cheminement vers la perte est une politique par rapport au monde, mais le cinéma est déjà en soi un cheminement vers la perte, intrinsèquement, essentiellement.
En ce sens, il faut interroger à nouveaux frais l’aspect apocalyptique du cinéma de Duras, non plus au départ de sa réflexion politique littéraire (Détruire, dit-elle, Abahn, Sabana, David) mais bien plutôt à l’aune d’un pouvoir qu’elle accorde singulièrement à l’image et non au texte. Si elle réécrivait la plupart de ses textes, parfois de manière obsessionnelle, Duras n’a jamais déclaré un livre raté (tout au plus L’homme menti et Theodora Katz n’ont-ils jamais été achevés, mais ils n’ont pas été publiés non plus). Par contre, selon son propre et fier aveu, son cinéma est un ensemble de films ratés ou d’échecs, ce qui n’empêche pas l’écrivain de les donner à voir. L’apocalypse du cinéma durassien est thématique (tous les spécialistes l’ont constaté), mais elle est également structurelle, elle est conditionnée par le matériau : l’image est apocalyptique. L’image est un révélateur (au double sens photographique et apocalyptique), mais la révélation n’annonce que la perte et la destruction par l’opération même de la monstration. Ce qui est montré est toujours déjà irrémédiablement perdu et détruit.
Cette réflexion globale se décline selon deux axes qui sont autant de questions : d’une part, quelle est cette essence singulière que Duras attache à l’image ?, et d’autre part, pourquoi Duras ne considère-t-elle pas le texte sur le même plan que l’image ? Le premier axe permet ainsi de reparcourir l’ensemble de la production cinématographique durassienne : les délabrements du décor et la disparition des personnages de Son nom de Venise dans Calcutta désert, le ratage sur lequel reposent Le Camion et Le Navire Night, le reniement de Baxter, Véra Baxter, le noir abyssal de L’homme atlantique, mais aussi la perspective de la perte qui s’insinue dès les propositions de traitement de l’image dans le scénario de Hiroshima mon amour.

Beyoncé calls Lemonade a “visual album.” But while there’s been buzz about Beyoncé smashing up cars, and a lot of talk about the autobiographical themes of the lyrics, this 60-minute film’s music, words, and sound design haven’t been... more

Beyoncé calls Lemonade a “visual album.” But while there’s been buzz about Beyoncé smashing up cars, and a lot of talk about the autobiographical themes of the lyrics, this 60-minute film’s music, words, and sound design haven’t been talked about in relation to its images. Lemonade’s unusual form—a long-play music video—gives it the capacity to draw connections between the personal pain of infidelity and America’s terrible history of racism. Twelve video clips are linked by brief passages comprised of spoken-word poetry, visual tableaux and sound collage. These interludes lean toward avant-garde aesthetics. One thing avant-garde aesthetics and music video share is the ideal of holding several vantage points in suspension. Critics like bell hooks and Adam Szetela have called the film "fantasy feminism" and “boutique activism of the left.” Careful attention to sound, image and lyrics helps us see them lemonade is anything but.

Début des années cinquante, à Paris, le strip-tease s'acclimate comme le stade le plus aboutit de ce qui est autorisé à la scène en termes d'érotisme. Le succès rencontré par cet art du spectacle vivant est tel qu'à partir des années... more

Début des années cinquante, à Paris, le strip-tease s'acclimate comme le stade le plus aboutit de ce qui est autorisé à la scène en termes d'érotisme. Le succès rencontré par cet art du spectacle vivant est tel qu'à partir des années soixante d'autres arts se définissent par rapport à lui, le cinéma, par exemple, avec Agnès Laurent dans Mademoiselle Strip-tease (P. Foucaud, 1957), Nadia Gray dans La dolce vita (F. Fellini, 1960), Nico dans Strip-tease (J. Poitrenaud, 1963), Jane Birkin dans Comment réussir quand on est con et pleurnichard (M. Audiard, 1974), Romy Schneider dans L'important c'est d'aimer (1975), etc. À partir de documents d'archives privées (photographies de presse, revues anciennes, etc.), nous nous intéresserons à l'arsenal élaboré de situations, de postures, de mouvements et de gestes par les étoiles du strip-tease des années soixante, notamment Dodo d'Hambourg, Lili Niagara et Rita Renoir, dont s'inspire la femme fatale. Nous mettrons spécialement en évidence comment Rita Renoir incarnait une représentation subversive de la femme fatale, depuis ses noirs cérémonials du Crazy Horse, à ses scènes porno-satanistes du théâtre expérimental.

This essay shows Mexican independent cinema’s innovative approach towards the representation of children’s universe in the 1960s. The films En el balcón vacío, En el parque hondo and Tarde de agosto explore the child protagonists’... more

This essay shows Mexican independent cinema’s innovative approach towards the representation of children’s universe in the 1960s. The films En el balcón vacío, En el parque hondo and Tarde de agosto explore the child protagonists’ perspective on violence and exile, that contrast stereotypical and hegemonic representations of childhood constructed by the Mexican film industry in previous decades.

These Pixelscapes were found within a photograph of Kazimir Malevich (Ukranian-born artist, 1878-1935) via magnification, filter treatment (halftone) and isolation of the pixel(s) in Photoshop. Malevich founded the art movement,... more

These Pixelscapes were found within a photograph of Kazimir Malevich (Ukranian-born artist, 1878-1935) via magnification, filter treatment (halftone) and isolation of the pixel(s) in Photoshop. Malevich founded the art movement, Suprematism in Moscow, 1913 as a parallel to Constructivism. Suprematism ("supremacy of forms") is a study in abstraction conceived in itself ... non-objective and not related to anything except geometric shapes and colors ... and a precursor to Minimalism.

Mathieu Capel ÉVASION DU JAPON CINÉMA JAPONAIS DES ANNÉES 1960 La décennie 1960 est une période d’intenses bouleversements dans l’histoire du cinéma japonais. L’heure est à la libération sexuelle, à la contestation politique, aux... more

Mathieu Capel
ÉVASION DU JAPON
CINÉMA JAPONAIS DES ANNÉES 1960
La décennie 1960 est une période d’intenses bouleversements dans l’histoire du cinéma japonais. L’heure est à la libération sexuelle, à la contestation politique, aux mouvements citoyens contre la pollution industrielle : climat libertaire propice aux irrévérences, dont le monde cinématographique se fait comptable à travers une série de scandales. Mais l’accès du pays à la prospérité au tournant des années 1960, célébrée en grande pompe par les Jeux Olympiques de Tokyo de 1964, semble dissiper cette angoisse, entraînant les cinéastes de la nouvelle génération vers d’autres modèles théoriques et esthétiques, aptes à rendre compte de la nouvelle société de consommation et de communication de masse. C’est cette grande mutation qu’Évasion du Japon propose d’explorer.

Desde su aparición en 1971, 'El mundo visto' de Stanley Cavell ha marcado una pauta en los estudios sobre cine al elevarlo a la altura de la filosofía y ha supuesto un desafío para la propia filosofía de Cavell, enfrentada al escándalo... more

Desde su aparición en 1971, 'El mundo visto' de Stanley Cavell ha marcado una pauta en los estudios sobre cine al elevarlo a la altura de la filosofía y ha supuesto un desafío para la propia filosofía de Cavell, enfrentada al escándalo del escepticismo con la mirada de un experimentador cinemático.

In: Poslanje filologa, ur. C. Pavlović, T. Bogdan, 2008. Proučavanje filma često se temeljilo na dosezima i metodologijama drugih znanosti – od psihologije (primjerice, psihologije percepcije i kognitivne psihologije), sociologije i... more

In: Poslanje filologa, ur. C. Pavlović, T. Bogdan, 2008. Proučavanje filma često se temeljilo na dosezima i metodologijama drugih znanosti – od psihologije (primjerice, psihologije percepcije i kognitivne psihologije), sociologije i teorije književnosti, preko povijesti umjetnosti (odnosno teorije likovnih umjetnosti) do lingvistike, i tako dalje. Kada je o utjecaju teorije književnosti riječ, teorija proze i teorija fikcionalne književnosti ostavili su u filmologiji puno većeg traga od teorije stiha i teorije lirike, premda je još u zlatno doba ruskog formalizma (usp. američku antologiju sovjetskih tekstova Russian Formalist Film Theory; Eagle, 1981) bilo zapaženih pokušaja analize filma kao poezije. Jurij Tinjanov je, primjerice, još 1927. godine tvrdio da je zbog «skakutavosti» filma, zbog isprekidanosti vizualnog slijeda nastale tehnikom montaže, opravdano uspoređivati film s poezijom, umjesto (kao što je uobičajenije) s proznom književnošću (Tinjanov, 1971: 292). Napokon, i u Ejzenštejnovoj ideji montaže kao sudara kadrova (Ejzenštejn, 1964, Wollen, 1978) i naglašavanju znamenite montaže atrakcija (doduše, preuzete iz Ejzenštejnovog kazališnog iskustva) vidi se eminentno lirski potencijal filmske forme i filmskog medija. 1 No, čak i kada se vodeći teoretičari filma, poput utjecajnog Amerikanca Davida Bordwella, pozivaju na radove ruskih formalista, više ih zanima njihova teorija narativne književnosti (Bordwell, 1986), odnosno poznate teze o fabuli, sižeu ili motivaciji (sistematizirane kod Tomaševskog), a ruskoformalističku teoriju filma kao poezije potpuno zanemaruju.

Digitally composed from stereo photographs over a century old, Ken Jacobs' 2006 "Capitalism" films unsettle spatiotemporal relationships that structure not only photographic and cinematic representation but also dimensions of perception... more

Digitally composed from stereo photographs over a century old, Ken Jacobs' 2006 "Capitalism" films unsettle spatiotemporal relationships that structure not only photographic and cinematic representation but also dimensions of perception and history. They explore depth as an aesthetic and conceptual paradox that has driven Jacobs' career-long experiments in "paracinema."

Maria Tatar states that the fairy-tale Beauty and the Beast depicts, “The transformative power of empathy, that encodes messages about […] romance, marriage, and ‘The Other’” (9). Because of these coded messages, the story and its many... more

Maria Tatar states that the fairy-tale Beauty and the Beast depicts, “The transformative power of empathy, that encodes messages about […] romance, marriage, and ‘The Other’” (9). Because of these coded messages, the story and its many retellings have provided fertile ground for discussions on empathy and gender. The tale, from its very inception, has managed to resonate with how different eras view empathy and its interactions with gender relations, which can be seen through the multiple adaptations and variations of the tale. Through four chapters, my dissertation explores four iterations of Beauty and the Beast, along with other culturally mainstream “beastly” media, through the lens of gender and empathy. The first chapter explores Jeanne-Marie Leprince de Beaumont’s 1756 fairy-tale, and how it reflects conflicting ideas of sympathy and arranged marriage. The second chapter discusses how Jean Cocteau’s 1946 avant-garde film subverts the 1940s culture of gender conformism along with its forcing of female domesticity, and does so by reflecting Simone de Beauvoir’s ideas of gendered reciprocity. The third chapter considers the manifestation of the New Sincerity in Disney’s 1991 animated film, and how it prioritises male transformation over female self-definition. The fourth chapter, which covers the Disney 2017 remake, looks at how feminist critique targets the fairy-tale, and how it is counteracted by the trend of nostalgia within media. I conclude that the multiple iterations of Beauty and the Beast show that despite being a “Tale as old as time,” the story is still being told in accordance with western society’s view of gender relations and empathy, and it is very likely that the tale will continue to be told.

The first institutional history of European avant-garde cinema in the 1920s. Through the lens of the Stuttgart "Film and Foto" exhibition, the film portion curated by Hans Richter, this essay intertwines the history of European... more

The first institutional history of European avant-garde cinema in the 1920s. Through the lens of the Stuttgart "Film and Foto" exhibition, the film portion curated by Hans Richter, this essay intertwines the history of European avant-cinema, both as a mode of production and exhibition practice, with contemporary film theory. The result are the beginnings of film culture in Europe before 1930.

In the late 1970s, Pierre Bourdieu argued that the field of cultural production was distinguished along class lines by three different modes of cultural habitus: bourgeois disinterestness, petty-bourgeois allodoxia and working-class... more

In the late 1970s, Pierre Bourdieu argued that the field of cultural production was distinguished along class lines by three different modes of cultural habitus: bourgeois disinterestness, petty-bourgeois allodoxia and working-class necessity. Since that era, the petty-bourgeois habitus has become the dominant predisposition. Adding Bour-dieu's sociology of culture to Peter Bürger's historicized theory of the emergence of the avant garde as a critique of the "institution art," a new "avant garde hypothesis" becomes possible for today's age of post-Fordist biocapitalism. Based on Jacques Lacan's Four Discourses, the contemporary situation is shown to privilege specific forms of cultural production, in particular an activist Discourse of the Hysteric and a technocratic Discourse of the University. Psychoanalysis reveals the limits of these tendencies while also underscoring the archaic aspects of an aestheticist Discourse of the Master and the transferential logics of Analyst avant gardes.

The underground magazines of the seventies were innovative, provocative and often made with limited resources. In the second half of the 20th century, they represented a fertile laboratory for experimenting. They came about in the wake of... more

The underground magazines of the seventies were innovative, provocative and often made with limited resources. In the second half of the 20th century, they represented a fertile laboratory for experimenting. They came about in the wake of the 1968 protests, fostered by the common drive for a sort of revolt, and seemed to anticipate some of the trends that would fully develop with the advent of the digital era: from an innovative definition of the boundaries of the public sphere to a more original structure of hierarchies between producers and consumers.
A rich and multifaceted array of experiences paying particular attention to the renovation called for by a number of social stakeholders – from the fierce, second-generation feminism to the most extreme fringes of extra-parliamentary political action – is here explored by scholars from different fields of study through the analysis of the single cases and/or specific genres.
Such an array has inevitably drawn the renewed attention of periodical studies: indeed, while it should be said that such a period was short lived, the results it produced, the traces and the problematic legacy it left are now to be found in the ambitious, perhaps utopian project of a shared, polyphonic culture, fuelled by constant dialectics between the one and the many.

The 1920s saw the worldwide creation of the ‘City Symphony Films,’ avant-garde montages of the daily lives of cities. This study is grounded in the historical context of the modernisation of time, demonstrating how these films reflected... more

The 1920s saw the worldwide creation of the ‘City Symphony Films,’ avant-garde montages of the daily lives of cities. This study is grounded in the historical context of the modernisation of time, demonstrating how these films reflected and coped with the rise of an abstract and standardised conception of temporality.
Through the analysis of the historical reception of the films, I argue that they were perceived as offering an alternative to the precise and impersonal measure of the clock by using cinematic time as an experiential duration, set by the depicted action and the attempt to affect viewer’s emotions through their bodily sensations.
Watching these films today highlights the extent to which the processes of unification and standardisation have only intensified since, causing a rift between time and the human body. The antidote offered by these films, in the form of cinematic time as an experiential time that affects viewers through their bodies, is relevant today more than ever.

This paper will go through an analysis of Derek Bailey’s and Lars von Trier’s works within Free Improvisation music and Dogma 95. To do that, the different historical context will be presented and analysed together with a comparison of... more

This paper will go through an analysis of Derek Bailey’s and Lars von Trier’s works within Free Improvisation music and Dogma 95. To do that, the different historical context will be presented and analysed together with a comparison of the aesthetics of their work to have a final evaluation about the necessity of rules and spontaneity in the avant-garde art.