Peinture Research Papers - Academia.edu (original) (raw)
This essay examines and discusses a hitherto unpublished drawing reproducing a fresco in Siena, now lost but traditionally attributed to Simone Martini by sources ranging from Ghiberti to Della Valle. The drawing, from the collection of... more
This essay examines and discusses a hitherto unpublished drawing reproducing a fresco in Siena, now lost but traditionally attributed to Simone Martini by sources ranging from Ghiberti to Della Valle. The drawing, from the collection of the art historian Jean-Baptiste Seroux d’Agincourt housed in the Biblioteca Apostolica Vaticana, prompts discussion regarding the painting’s iconography and style.
Chaque article paru dans Allgemeines Künstlerlexikon (de quelques lignes à plusieurs colonnes) fait le point sur les connaissances relatives à l’artiste concerné et propose, lorsque cela est possible, une ou des pistes de recherches. La... more
Chaque article paru dans Allgemeines Künstlerlexikon (de quelques lignes à plusieurs colonnes) fait le point sur les connaissances relatives à l’artiste concerné et propose, lorsque cela est possible, une ou des pistes de recherches. La majorité de ces peintres belges du XVIIIe siècle ne fait l’objet d’aucune monographie ou article de fond.
-- POUR CITER CET ARTICLE :
G. de Wallens, avec R. Treydel, Gryef (Adriaen de, 1670 - 1715), dans Allgemeines Künstlerlexikon, t. 63, Leipzig, 2009, p. 527-528.
Rédaction des notices : « XIXe siècle », « Romantisme », « Intertextualité » ; « Lumière de Stendhal », « L’Enseigne de Gersaint », « La Mise à mort », « L’Exemple de Courbet », « Celui qui dit les choses sans rien dire » ; « Diderot », «... more
Compte-rendu d’une exposition au Musée Royal du Cinquantenaire à Bruxelles ; considérations sur le sous-financement des musées belges et sur l’inconséquence qu’il y a à programmer une exposition sans la soutenir par une action marketing... more
Compte-rendu d’une exposition au Musée Royal du Cinquantenaire à Bruxelles ; considérations sur le sous-financement des musées belges et sur l’inconséquence qu’il y a à programmer une exposition sans la soutenir par une action marketing ciblée.
Une passion dans le désert : Aillaud, Arroyo et Recalcati à la Maison Balzac Pour sa dernière exposition avant une fermeture d'un an pour travaux, la Maison de Balzac a réussi le pari de réunir treize tableaux du cycle Une Passion dans le... more
Une passion dans le désert : Aillaud, Arroyo et Recalcati à la Maison Balzac Pour sa dernière exposition avant une fermeture d'un an pour travaux, la Maison de Balzac a réussi le pari de réunir treize tableaux du cycle Une Passion dans le désert (1965) réalisée simultanément par Gilles Aillaud, Eduardo Arroyo et Antonio Recalcati d'après la nouvelle éponyme de Balzac. Si ce trio est connu c'est davantage grâce à une autre série intitulée Vivre et laisser mourir ou la Fin tragique de Marcel Duchamp, exécutée, en suivant le même processus collaboratif, quelques mois plus tard la même année. Cet ensemble figurant la mise à mort de Marcel Duchamp fut présenté lors de l'exposition Figuration narrative dans l'art contemporain à la galerie Creuze à Paris et provoqua un scandale immédiat 1. Lors de l'accrochage, les artistes participants à cet événement eurent des échanges virulents quant à l'élimination du père du Ready Made qui aboutirent à la signature d'une pétition contre cette oeuvre. Suivant une chronologie et une temporalité précises, les tableaux figurent le lynchage de Duchamp, sa mise à nu et son enterrement ainsi que trois reproductions de ces oeuvres phares : le Nu descendant l'escalier, Fountain et le Grand Verre. Redoublant de critique, après la mise en bière, le cercueil est porté par des émissaires du Pop Art et du Nouveau Réalisme – Warhol, Arman, Oldenburg et Raysse, entre autres. Tout comme Duchamp, les artistes du Pop Art étaient perçus par les acteurs de la Figuration Narrative comme les chantres de la classe bourgeoise rendant stérile et hermétique la culture. Les nombreux voyages qu'il effectue en Asie et en Afrique du Nord lui donnent l'occasion d'approcher l'exotisme et les animaux sauvages de près « Assassiner un vieillard est une chose laide et qu'on n'accomplit pas, en dépit des apparences, d'un coeur léger. Mais la misère interdit tout luxe, et Marcel Duchamp incarne aujourd'hui d'une manière si indue, et non par hasard, ce dont précisément l'humanité est le plus dépourvue : l'esprit d'aventure, la liberté d'invention, le sens de l'anticipation, le pouvoir de dépasser, que nous avons eu envie d'intervenir 2 », écrit le trio en guise d'introduction du texte accompagnant l'exposition. Si cette série est aujourd'hui remarquable par l'émotion qu'elle a suscitée dès sa première exposition, il n'en demeure pas moins que la plus confidentielle Passion dans le désert est l'oeuvre donnant véritablement naissance au mouvement de la Figuration Narrative. En ce sens, la Maison de Balzac propose au visiteur une double lecture (seuls quelques puristes et connaisseurs peuvent se targuer d'une relecture) : à la fois celle du court roman de Balzac, publié pour la première fois en 1830, racontant la rencontre et l'amour d'un homme et d'un félin et celle d'une oeuvre picturale novatrice s'affranchissant de la signature de l'artiste et recouvrant une puissance de récit.
Introduction aux oeuvres d'Igor Mac Rams, grand peintre méconnu qui a peint une centaine de toiles trés fortes, entre expressionisme, art brut et dessin illustré. Un regard unique et iinspiré, une dénonciation du monde moderne, de ses... more
Introduction aux oeuvres d'Igor Mac Rams, grand peintre méconnu qui a peint une centaine de toiles trés fortes, entre expressionisme, art brut et dessin illustré. Un regard unique et iinspiré, une dénonciation du monde moderne, de ses rouages machiniques, une plongée vertigineuse dans les mystères de l'humain...
- by Elyssa Belghith
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- Peinture
The question of abstract landscape in contemporary painting: Cy Twombly and Gerhard Richter Si la peinture abstraite n'a pas bien sûr fait mourir la peinture figurative qui existe après elle, si elle n'a pas supprimé le paysage... more
Maison mère de l'ordre des Antonins, l'abbaye de Saint-Antoine-en-Viennois constitue un cas exemplaire du rayonnement de l'art avignonnais, lié à l'axe naturel des échanges rhodaniens. Nous réexaminons cet important chantier et proposons... more
Maison mère de l'ordre des Antonins, l'abbaye de Saint-Antoine-en-Viennois constitue un cas exemplaire du rayonnement de l'art avignonnais, lié à l'axe naturel des échanges rhodaniens. Nous réexaminons cet important chantier et proposons de voir l'intervention de Jacques Iverny dans les plus belles fresques de l'abbaye, celles représentant la crucifixion.
L’Art, machine à voyager dans le temps Colloque international et interdisciplinaire organisé par Frédérique Toudoire-Surlapierre et Augustin Voegele 22-25 mars 2017 Université de Haute-Alsace Maison de l’Université, 2, rue des Frères... more
L’Art, machine à voyager dans le temps
Colloque international et interdisciplinaire
organisé par Frédérique Toudoire-Surlapierre et Augustin Voegele
22-25 mars 2017
Université de Haute-Alsace
Maison de l’Université,
2, rue des Frères Lumière,
Mulhouse
Le voyage dans le temps est un vieux rêve de l’humanité, qui, comme tous les vieux rêves de l’humanité, a trouvé sa place (privilégiée) dans la littérature et dans les arts. Ce colloque sera donc l’occasion de voyager à la fois dans le temps et à travers les arts, puisqu’il sera question, pendant ces quatre jours, non seulement de littérature, mais aussi d’architecture, de peinture, de danse, de musique, de cinéma, de photographie, de bande dessinée… Sans compter que c’est à un périple interculturel que nous sommes conviés : en effet, des chercheurs venus des cinq continents nous entretiendront d’écrivains, d’artistes ou de philosophes italiens, espagnols, portugais, allemands, écossais, roumains, lettons, américains ou encore thaïlandais.
« Les mains ont un rôle déroutant, souvent incompréhensible» . Ces mots du critique de l'art Itzhak Goldberg nous font saisir avec justesse la présence troublante des mains dans les portraits réalisés par le peintre d'origine russe, Chaïm... more
« Les mains ont un rôle déroutant, souvent incompréhensible» . Ces mots du critique de l'art Itzhak Goldberg nous font saisir avec justesse la présence troublante des mains dans les portraits réalisés par le peintre d'origine russe, Chaïm Soutine. Les mains deviennent pour cet artiste un élément de premier rang sur la scène du tableau. Elles évoquent par leur démesure tout un univers d’événements qui auraient laissé leur trace dans les déformations du corps, ce que Goldberg appelle une participation « à la traduction des pensées et des pulsions profondes de l'artiste », « une vision hallucinée ». Dans notre travail, il s'agira de dépasser la notion de subjectivité proposé par Goldberg pour interpréter le rôle des mains dans la peinture de Soutine.
There are several ways in which to recognise an auto-representational drive in the oeuvre of French artist Yves Klein. The possibility of an autobiographical reading of Klein’s oeuvre is therefore without dispute, especially in the cases... more
There are several ways in which to recognise an auto-representational drive in the oeuvre of French artist Yves Klein. The possibility of an autobiographical reading of Klein’s oeuvre is therefore without dispute, especially in the cases of his paintings and theoretic writing. Here I argue that the IKB series (usually known as “the blue monochromes”) is a series of auto-portraits. Indeed, I suggest that this interpretation is more coherent with Klein’s motivations and richer in consequences for a theory of auto-fiction.
Dans le dernier quart du XVIIe siècle, les grands mays présentés à Notre-Dame cherchent à édifier les âmes des fidèles et à emporter leur esprit, en utilisant des moyens plastiques qui anticipent la notion de sublime présente dans la... more
Dans le dernier quart du XVIIe siècle, les grands mays présentés à Notre-Dame cherchent à édifier les âmes des fidèles et à emporter leur esprit, en utilisant des moyens plastiques qui anticipent la notion de sublime présente dans la peinture au XVIIIe siècle.
Pièce emblématique du musée Fabre de Montpellier, “Vertumne et Pomone” de Jean Ranc révèle le goût français du 18ème siècle qui tourne à la galanterie raffinée, proche du libertinage, au cours de la Régence (1715-1723) correspondant à la... more
Pièce emblématique du musée Fabre de Montpellier, “Vertumne et Pomone” de Jean Ranc révèle le goût français du 18ème siècle qui tourne à la galanterie raffinée, proche du libertinage, au cours de la Régence (1715-1723) correspondant à la minorité de Louis XV.
Cette étude propose une analyse du conflit des principes de la création et du jugement des œuvres d’art au XVIe siècle, en visant en particulier les tensions entre l’imitation des modèles artistiques et l’imitation de la nature, la... more
Cette étude propose une analyse du conflit des principes de la création et du jugement des œuvres d’art au XVIe siècle, en visant en particulier les tensions entre l’imitation des modèles artistiques et l’imitation de la nature, la rationalité du disegno et le naturalisme du colorito, qui se sont manifestées lors de la polémique de l’esthétique toscane et de l’esthétique vénitienne. Il s’agit, d’une part, d’éclairer les principes esthétiques ainsi que le modèle progressif de l’histoire de l’art régi par la dialectique de la décadence et de la renaissance, que propose Giorgio Vasari dans son ouvrage majeur, les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes (1550/1568), et qui dirigent ses jugements critiques. Il s’agit, d’autre part, de montrer la nouveauté de la théorie vénitienne de l’art, en particulier du Diallogo della Pittura (1557) de Lodovico Dolce, qui consiste non seulement dans la codification de la pratique artistique vénitienne et l’affirmation du rôle primordial du coloris, mais aussi dans un traitement rhétorique de la peinture différent de celui entrepris par Alberti à Florence un siècle plus tôt, et dans une alternative plus « classique » à la théorie maniériste, en ce qui concerne les principes de la création artistique et les rapports entre peinture et nature.
Edition du texte critique : Aragon a fait paraître, dans les Lettres françaises à partir du 10 novembre 1949, le roman de Marceline Desbordes-Valmore, publié par Charpentier en 1833, L'Atelier d'un peintre. Il s'agit alors d'une parution... more
Edition du texte critique : Aragon a fait paraître, dans les Lettres françaises à partir du 10 novembre 1949, le roman de Marceline Desbordes-Valmore, publié par Charpentier en 1833, L'Atelier d'un peintre. Il s'agit alors d'une parution échelonnée, en vingt-cinq livraisons , assortie d’un texte critique fort élogieux et de documents associés ; la critique est ensuite reprise dans l'ouvrage d'Aragon, Lumière de Stendhal, paru chez Denoël en 1954 .
Le livre d’heures conservé à la Bibliothèque nationale d’Espagne, à Madrid, a été peint vers 1465-1470 par deux artistes méconnus qui gravitent autour des ateliers les plus influents de la vallée de la Loire au XVe siècle, celui du... more
Le livre d’heures conservé à la Bibliothèque nationale d’Espagne, à Madrid, a été peint vers 1465-1470 par deux artistes méconnus qui gravitent autour des ateliers les plus influents de la vallée de la Loire au XVe siècle, celui du groupe
Jouvenel et celui de Jean Fouquet. Le manuscrit est au carrefour des carrières des deux artistes et des deux foyers. Son programme iconographique comporte de nouvelles informations sur les échanges entre Jean Fouquet et les
artistes du groupe Jouvenel. Il apporte un complément à l’étude récente de François Avril sur les Heures dites de Jeanne de France parue dans Art de l’enluminure n°47.
Artiste peintre franco-anglais il vit à Dinan puis à Angers. aquarelliste, lithographe et graveur il s'intéresse aussi au vitrail. Il se passionne pour le saint-simonisme et se montre un soutien de la cause des femmes. Il s'installe en... more
Artiste peintre franco-anglais il vit à Dinan puis à Angers. aquarelliste, lithographe et graveur il s'intéresse aussi au vitrail. Il se passionne pour le saint-simonisme et se montre un soutien de la cause des femmes. Il s'installe en Algérie après 1858 et y termine sa vie
Tout au long de l’histoire de sa réception, Reflets dans l’eau a souvent été associé aux paysages aquatiques de peintres impressionnistes comme Manet, Renoir, Sisley, Monet. Pour Emile Vuillermoz, Paul Roberts, François Sabatier et tant... more
Tout au long de l’histoire de sa réception, Reflets dans l’eau a souvent été associé aux paysages aquatiques de peintres impressionnistes comme Manet, Renoir, Sisley, Monet. Pour Emile Vuillermoz, Paul Roberts, François Sabatier et tant d’autres, les sonorités de cette pièce évoquent des paysages typiques de ces peintres. Comment une expérience purement sonore peut-elle renvoyer à de telles perceptions visuelles suggestives, jusqu'à tisser, comme le disait André Suarès, un véritable « poème de l’agonie de la lumière » ? Les métaphores de la réception nous fournissent des clés de lecture de la pièce. Et une analyse perceptive de l’œuvre permet d’étudier les équivalences entre expériences auditives et visuelles comme mise en jeu de mécanismes de perception similaires. La poétique de la pièce se présente ainsi comme axée sur la relation entre une mobilité inertielle et géométrique de la surface et une mobilité vitale et non gestaltique du fond.
Le peintre Ingres a vécu avec son épouse à Florence de 1820 à 1824 chez Lorenzo Bartolini. A cette occasion il a copié la «Vénus d'Urbino» du Titien (1538) de la collection du Palais Pitti. La version d'Ingres est de la même taille que... more
Le peintre Ingres a vécu avec son épouse à Florence de 1820 à 1824 chez Lorenzo Bartolini. A cette occasion il a copié la «Vénus d'Urbino» du Titien (1538) de la collection du Palais Pitti. La version d'Ingres est de la même taille que l'original et a servi de modèle à son ami proche Bartolini pour créer un marbre sur le même sujet qui se trouve au Musée Fabre de Montpellier (France).
Pierre-Édouard Latouche et Pierre-Olivier Ouellet, Regards récents sur François et Thomas Baillairgé : Les œuvres, les écrits et les activités de deux acteurs clés du tournant néoclassique traversant les arts visuels au Québec entre 1780... more
Pierre-Édouard Latouche et Pierre-Olivier Ouellet, Regards récents sur François et Thomas Baillairgé : Les œuvres, les écrits et les activités de deux acteurs clés du tournant néoclassique traversant les arts visuels au Québec entre 1780 et 1830, Le Carnet de l’ÉRHAQ, no4 (printemps 2020), 131 p.
Les circonstances dans lesquelles s’opéra le transfert d’une partie des tableaux de la galerie d’Énée du Palais-Royal au château de Saint-Cloud restent obscures. Le duc Louis-Philippe avait laissé la jouissance du Palais-Royal à son fils,... more
Les circonstances dans lesquelles s’opéra le transfert d’une partie des tableaux de la galerie d’Énée du Palais-Royal au château de Saint-Cloud restent obscures. Le duc Louis-Philippe avait laissé la jouissance du Palais-Royal à son fils, Louis-Philippe-Joseph et à sa jeune épouse, Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre. Le jeune duc de Chartres entreprit des travaux de décoration et de réaménagement . C’est dans ce contexte qu’il fit démolir, en 1778, la galerie d’Énée, peinte au début du siècle par Antoine Coypel . On ne sait si c’est lui ou son père qui fit porter une partie des tableaux démontés à Saint-Cloud. Quoiqu’il en soit, sept des tableaux étaient installés, en 1779, dans la seconde antichambre de l’appartement du duc d’Orléans au premier étage du château, lorsque parut à cette date la nouvelle édition du Voyage pittoresque de Dézallier : il y avait Énée et Anchise, Énée et Achate apparaissant dans le temple à Didon, La mort de Didon, La descente d’Énée aux enfers, Jupiter apparaissant à Énée, Les funérailles de Pallas et La mort de Turnus . Il n’en restait plus, semble-t-il, que cinq en place en 1785, lorsque le château fut vendu à Marie-Antoinette.
Huile sur toile de 3,30x4,25 mètres, achevée entre 1784 et 1785 et conservée au musée du Louvre. L 'oeuvre a été réalisée par Jacques-Louis David, grand peintre néo-classique. Né en 1748 dans une petite famille bourgeoise, la situation de... more
Huile sur toile de 3,30x4,25 mètres, achevée entre 1784 et 1785 et conservée au musée du Louvre. L 'oeuvre a été réalisée par Jacques-Louis David, grand peintre néo-classique. Né en 1748 dans une petite famille bourgeoise, la situation de cette dernière va rapidement se détériorer. En effet, avec la mort rapide de son père, sa mère fait appel à son frère, architecte, afin de s'occuper de son fils. Face aux talents pour le dessin du jeune homme, il souhaite le former à l'architecture d'abord, mais se dirige finalement vers la peinture et ainsi, Jacques Louis David est formé par Joseph-Marie Vien (1716-1809), et, en parallèle, à l'Académie Royale, prestigieuse institution lui permettant ensuite d'accéder au prix de Rome. Cependant, la tâche est rude. En effet, à de nombreuses reprises, la première place lui échappe, ce qui nourrit une certaine rancoeur pour cette académie. Cependant, en 1774, la victoire lui sourit et, il part ainsi en Italie se formé pour une durée de quatre ans. Cependant, il y retourne plus tard avec son maître, qui va également influencer sa peinture, lui permettant d'embrasser le thème de l'Antiquité dans ses nombreuses oeuvres. Continuant à se faire une certaine renommée, la Révolution éclate et David est connu pour ses positions en faveur de celle-ci. Déjà, il va militer afin de fermer cette Académie Royale. C'est avec son discours intitulé " Sur la nécessité de supprimer les Académies " que le peintre est victorieux sur cette institution. David vote également pour la mort du roi et, échappe plus tard à la mort, en
Per avventurarsi in alcuni dei più seducenti ‘misteri’ della civiltà e della storia umane basta recarsi nelle maggiori pinacoteche di mezza Europa dove si custodiscono i più celebri ed enigmatici capolavori dell’arte pittorica italiana.... more
Per avventurarsi in alcuni dei più seducenti ‘misteri’ della civiltà e della storia umane basta recarsi nelle maggiori pinacoteche di mezza Europa dove si custodiscono i più celebri ed enigmatici capolavori dell’arte pittorica italiana. Tentando di decifrare i ‘soggetti segreti’ che si celano in essi, questo saggio è un invito ad abbandonare le più tranquille rotte iconologiche per intraprendere un viaggio in una delle più affascinanti avventure dell’uomo: l'alchimia. Il rapporto tra le grandi commissioni artistiche e la scienza della trasmutazione degli Elementi costituisce l’itinerario tematico del saggio che si dipana, come un filo di Arianna, all’interno del dedalo dei ‘misteri’ iconografici che si celano in alcuni tra i più grandi capolavori di Botticelli, Giovanni Bellini, Giorgione, Tiziano, che si considerano come icone sublimi dell'Arte e del Bello universali.
La COULEUR selon Charles Baudelaire Le tonnerre ne gronde plus dans le lointain, il tonne juste au-dessus de ce sujet qui a suscité tant d'interrogations et tant d'affirmations non fondées. Les plus grands spécialistes de Baudelaire ont... more
La COULEUR selon Charles Baudelaire Le tonnerre ne gronde plus dans le lointain, il tonne juste au-dessus de ce sujet qui a suscité tant d'interrogations et tant d'affirmations non fondées. Les plus grands spécialistes de Baudelaire ont parlé de sa vision des couleurs, et les plus grands spécialistes des couleurs ont évoqué leur vision de Baudelaire.
La filiation cinématographique et sa représentation Mémoire d'étude (1 re année de 2 e cycle) présenté sous la direction de M. François-René MARTIN et de M. Alain BONFAND Mai 2015 Le contenu de ce mémoire est publié sous la licence... more
La filiation cinématographique et sa représentation Mémoire d'étude (1 re année de 2 e cycle) présenté sous la direction de M. François-René MARTIN et de M. Alain BONFAND Mai 2015 Le contenu de ce mémoire est publié sous la licence Creative Commons CC BY NC ND LE CINEASTE A L'ECRAN : LA FILIATION CINEMATOGRAPHIQUE ET SA REPRESENTATION 1 Remerciements Tout d'abord, j'aimerais remercier pour leur confiance, leurs conseils éclairés ainsi que leur bienveillance M. François-René Martin et M. Alain Bonfand, professeurs à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Mes remerciements vont également à M. Jacques Aumont, professeur à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, qui fut un interlocuteur précieux à des moments-clés de mon travail. Je tiens aussi à exprimer toute ma reconnaissance envers mes aînés Philippe Bettinelli, Zoé Marty et particulièrement Thomas Lequeu, qui m'a aidé et soutenu dès les premiers jours de mes recherches. Merci à mes amis Jean-Charles Pintori, traducteur italien/français occasionnel et interlocuteur régulier et patient ; à Manon Godoc, pour son coup de pouce en fin de parcours ; et à Henri Simons et Clément Kolopp pour leur relecture. J'ai également une pensée toute particulière pour Fredrik Neij, Peter Sunde et Gottfrid Svartholm, cofondateurs du site The Pirate Bay, sans qui je n'aurais jamais pu assouvir mon désir intense de cinéma ces dernières années. Enfin, je voudrais dire un profond merci à mes parents, qui m'ont toujours accordé la plus grande confiance et apporté le plus grand soutien. 2 Avant-propos En préambule à ce mémoire d'étude, signalons tout d'abord que ladite étude ne prétend en aucun cas à l'exhaustivité. Ainsi, tous les exemples de filiations cinématographiques portées à l'écran n'ont pas été traités, dans un souci de représentativité. Les cinéastes russes ont été envisagés, puis exclus. Pour éviter certaines redondances, des films attendus comme A bout de souffle ou Brigitte et Brigitte n'ont pas été retenus au profit d'oeuvres plus « archétypales ». D'autres, comme Alex in Wonderland, n'ont tout simplement pas semblé dignes d'intérêt. On pourrait également s'étonner de l'absence de femmes réalisatrices ou de films du continent africain et asiatique (hors Japon) au sein du corpus. La recherche préliminaire à ce travail a pourtant été dirigée autant que possible dans le sens de ces exclus de l'histoire traditionnelle du cinéma. Mais le sujet de la représentation de la filiation, doté d'une telle consistance historiographique et supposant précisément de relater comment des artistes se sont emparés de l'histoire de leur art, par leur art, ne concerne irrémédiablement que les « grands » d'entre eux. De ce fait, il n'est question ici que de cinéastes masculins, et pour la grande majorité, occidentaux : lors du travail de recherche, un réseau de citations, d'hommages et de collaborations s'est naturellement fait jour entre des metteurs en scène « reconnus ».
Mémoire de Master I.
Département : Histoire de l'art.
Sous la direction de Betrand Tillier
Ce texte vise à rendre compte des développements de la théorie de l’énonciation à la suite de la question posée par Benveniste sur la possibilité d’étendre ce concept à la musique et à d’autres langages non verbaux (1974 : 43-78). Si les... more
Ce texte vise à rendre compte des développements de la théorie de l’énonciation à la suite de la question posée par Benveniste sur la possibilité d’étendre ce concept à la musique et à d’autres langages non verbaux (1974 : 43-78). Si les sémioticiens héritiers de Saussure qui se sont consacrés à la théorisation et aux analyses du langage visuel dans les années 1980 et 1990 n’ont pas abordé la question de l’énonciation, une deuxième et une troisième génération de sémioticiens ont par contre pris au sérieux ce problème et développé ce concept en en justifiant la légitimité dans un cadre extra-verbal.
Un retour sur cette question se révèle aujourd’hui nécessaire pour plusieurs raisons. Certaines sont internes à la discipline et aux sciences du langage – la légitimité du visuel en tant que langage, le dialogue entre la sémiotique et la linguistique –, d’autres sont extra-disciplinaires, venant surtout des sciences de l’information et de la communication, et concernent la demande d’une méthodologie capable d’expliquer le fonctionnement des images contemporaines. La question de l’énonciation est d’ailleurs le point de départ de toute analyse d’images non seulement dans sa version « restreinte » (l’énonciation énoncée, dont il sera question ici), mais aussi dans sa version « étendue » – qui englobe les contextes de production des images ainsi que les domaines qui la rendent intelligible (art, science, droit, religion, etc.).
Marked by dynamic social and artistic transformations, the 19th century saw the rise of the image. This century offered a new interpretation of Horace’s statement Ut pictura poesis. The 19th century Belgian authors breathed new life into... more
Marked by dynamic social and artistic transformations, the 19th century saw the rise of the image. This century offered a new interpretation of Horace’s statement Ut pictura poesis.
The 19th century Belgian authors breathed new life into this postulate by trying to capture the long-lasting effect of painting practices on the literary text, expressed in the ultimate visual intensity of the text. In order to render this intensity in their works, the 19th century Belgian authors resorted to the transposition of various elements and principles from painting into literature.
For that reason, this thesis focuses on the one hand on the profound relationship and intense interaction between literature and art in the 19th century Belgian context. One the other hand, it examines the different phases of the process of transposition of painting to literature, which represents a widespread aesthetic phenomenon in Europe of that period.
Furthermore, the thesis argues that the transposition of painting to literature has a far-reaching impact on the construction of Belgian literary field. The multiple references to the art of painting compensate for the absence of a sense of belonging to an established cultural and aesthetic tradition witch marked the 19th Belgian literature.
Taking into consideration the main role of painting in the formation of Belgian literary identity, the thesis aims to explore the factors, defining the place of painting in the context of the 19th century Belgian literature in French by tracing the development of the phenomenon of transposition and creating a unified typology of the painting principles and elements used in literature.
Vie et Oeuvre de Nicolas Barrera, peintre d'origine russe, formé à l'Académie de Léningrad, qui vécut après guerre en Espagne puis en France (ami de Camus, Highsmith, Brassens...). Il est l'auteur d'une Oeuvre remarquable reconnue en... more
Vie et Oeuvre de Nicolas Barrera, peintre d'origine russe, formé à l'Académie de Léningrad, qui vécut après guerre en Espagne puis en France (ami de Camus, Highsmith, Brassens...). Il est l'auteur d'une Oeuvre remarquable reconnue en France et à l'étranger, surtout en Allemagne où il passa de nombreuses années. Il obtint de nombreuses distinctions
- by François Labbé
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- Peinture
Cette étude propose une analyse des tentatives de légitimer la création artistique, qui ont eu lieu en Italie à la fin du XVIème siècle et pendant le XVIIème siècle. Il s’agit d’abord de la justification théologico-métaphysique de la... more
Cette étude propose une analyse des tentatives de légitimer la création artistique, qui ont eu lieu en Italie à la fin du XVIème siècle et pendant le XVIIème siècle. Il s’agit d’abord de la justification théologico-métaphysique de la création artistique par un principe suprasensible et a priori, l’Idée, dans les théories maniéristes de Gian Paolo Lomazzo et de Federico Zuccaro qui, en posant à la fois la question des conditions de possibilité de la création artistique et de la beauté, par rapport à l’Idée et à la nature, et la question des conditions du salut de l’art de peindre, arrivent à une association paradoxale de l’enthousiasme divin et de l’érudition, du génie et des règles. Il s’agit ensuite de la théorie néoclassique de Giovan Pietro Bellori qui, formulée à la suite d’un double combat mené contre les maniéristes et les naturalistes, arrive à légitimer la création artistique en lui assignant la poursuite d’un l’idéal de perfection. Dans ce cas-là, l’Idée de la beauté n’a plus une origine métaphysique mais elle est une invention imaginative, puisque découlant a posteriori de l’expérience réelle de l’artiste grâce à un processus sélectif, ce qui lui permet d’articuler sans contradictions l’instinct d’imitation et l’imagination, le jugement et l’enthousiasme.
- by Mauro Sebastianelli and +2
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- Cultural Studies, Art History, Art, Art Theory
- by Mauro Sebastianelli and +2
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- Cultural Studies, Portraits, Art History, Art
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- Cultural Studies, Art History, Art, Art Theory
Ecarts (courts essais et critiques d’art, 1990-2017) Daniel Aulagnier, Niels et Florent Azomaniov, Patrick Baillet, Sébastien Bayet, Caméra Caméra, Pierre Célice, Grégory Chatonsky, Bernard Demiaux, Reynald Drouhin, Marcel Duchamp,... more
Ecarts
(courts essais et critiques d’art, 1990-2017)
Daniel Aulagnier, Niels et Florent Azomaniov, Patrick Baillet, Sébastien Bayet, Caméra Caméra, Pierre Célice, Grégory Chatonsky, Bernard Demiaux, Reynald Drouhin, Marcel Duchamp, Jean-Pierre Formica, Serge Gainsbourg, Michel Gilles, Didier Goupy, Arthur Grand, Michel Guérin, Michel Jaffrennou, Yann Kersalé, Peter Larsen, Pierre Molinier, Dominique Moulon, Orlan, Dominique Païni, Dominique Roland, Jean-Luc Poivret